Le général Dominique Delawarde
Le général Dominique Delawarde n’est pas n’importe qui. Mieux. Il est, sans doute, le haut responsable militaire le mieux placé, de par ses hautes fonctions passées et les liens historiques qui lient Alger à Paris, pour évoquer cette question sensible et délicate en connaissance de cause. Il est en effet ancien chef «Situation-Renseignement-
Impressionnant, n’est-il pas vrai ! Mais, lorsque c’est ce même haut responsable qui bâtit une seconde étude sur celle de l’algérien, Ahmed Bensaâda, toute ce presse « au-dessus de tout soupçon », ne peut que mettre un terme à sa tacite censure de ce professeur émérite. Le général Dominique Delaware écrit ceci en épiloque de son étude dont un lien est donné à la fin de cet article, ainsi qu’un autre vers celui de La Patrie News : « L’auteur, Ahmed Bensaada n’est pas n’importe qui. D’origine algérienne, il a émigré au Canada il y a plus de vingt ans après avoir tenu des postes importants dans son pays d’origine à l’université d’Oran.
Professeur émérite, docteur en physique, consultant scientifique et pédagogique, auteur de manuels scolaires et de nombreux articles et ouvrages. Ahmed Bensaada récolte les hommages, mentions, certificats et prix de toutes sortes dont le prix du premier ministre en 2006 ». Avis, donc à tous ces « médias libres et indépendants » qui ont bannit de leur lexique le nom de ce professeur qui fait la fierté de l’Algérie d’abord, et qui a été le premier tirer la sonnette d’alarme sur cette guerre « cybernétique » déclenchée contre l’Algérie ensuite. En bon militaire qu’il est, le général Delaware va droit au but. S’aidant de très peu de textes, il inclut dans son étude des liens vers des vidéos qui éclairent d’un jour nouveau des affaires emblématiques, venues prouver de manière percutante que l’internet est bel et bien devenu une redoutable arme de guerre.
Pire. En certains cas de figures, c’est même une ADM (arme de destruction massive). Graphica, cette ONG utilisée contre l’Algérie en « appoint » au hirak dévoyé, a mené un travail de sape en profondeur dont un des résultats directs est peut-être l’assassinat odieux et barbare de Djamel Bensmaïl. Actuellement, le « néo-hirak » incarne une dangereuse et criminelle jonction entre les mouvements terroristes que sont le MAK et Rashad. L’affaire Alstom, elle, montre de quelle manière un puissant et riche allié peut se retrouver du jour au lendemain sur le banc des accusés, voire carrément dans une prison américain de haute sécurité. Dans le cas qui nous intéresse, et nous inquiète surtout, lorsque l’entité sionite, aidée en cela par le Maroc, il ya bel et bien lieu de se montrer plus vigilant et d’œuvrer plus que jamais à renforcer son front intérieur. Le scandale Pegasus, espionnage marocain à très grande échelle mené contre des opposants, des journalistes, des militants sahraouis et des responsables algériens à l’aide d’un logiciel fourni par l’armée sioniste, est là pour renforcer nos appréhensions ainsi que notre vigilance.
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