Camus : l'homme qui a fait sortir Yasmina Khadra de
ses gonds
Camus est victime de l'analyse idéologique de la littérature, selon Lakhdar Maakal
Selon Lakhdar Maakal, Albert Camus a fait les frais de l'analyse idéologique de la littérature, analyse dirigé par Mustapha Lacheraf et adopté par nombre de ses élèves plus tard, et dont ont été victimes entre autres, Mouloud Mammeri. Il a souligné que la littérature ne devait pas être abordé du point de vue politique, parce que c'était un travail créatif, issue de l'imaginaire, particulièrement quand on sait que Camus faisait part de ses opinions politiques en toute liberté, par l'intermédiaire d'articles de presse et qu'il n'avait donc pas besoin de faire passer ce genre de messages dans ses livres. Indiquant que l'Algérie avait chèrement payé le prix pour la liberté d'expression, et se demandant comment on pouvait maintenant porter des jugements sur l'histoire et la littérature et empêcher les autres de donner leur opinion. Il a, par ailleurs, déclaré concernant les critiques sur le fait que Camus ne citait pas les arabes ni les musulmans algériens dans ses livres, hormis dans deux livres, que l'imaginaire de Camus et ses personnages étaient européens et que l'on ne pouvait donc pas l'accusé de ne retranscrire que la réalité-son environnement- puisque c'est un fils de colon qui vit au milieu de colon, il décrivait donc que ce qu'il voyait sans jugement. Il a demandé à ce que l'on saisisse la symbolique profonde des œuvres de Camus, comme la mort de l'arabe dans son roman l'étranger, reflet de ce qui se passait dans la réalité de Camus, l'arabe n'était rien , il n'existait pas, et c'est cette idée qu'a voulu faire passer, parce que la mort d'un européen était condamnée, alors que celle d'un arabe était un non-événement pour les européens.
http://iflisen2008.over-blog.com/article-c...s-46462711.html
Camus est victime de l'analyse idéologique de la littérature, selon Lakhdar Maakal
Selon Lakhdar Maakal, Albert Camus a fait les frais de l'analyse idéologique de la littérature, analyse dirigé par Mustapha Lacheraf et adopté par nombre de ses élèves plus tard, et dont ont été victimes entre autres, Mouloud Mammeri. Il a souligné que la littérature ne devait pas être abordé du point de vue politique, parce que c'était un travail créatif, issue de l'imaginaire, particulièrement quand on sait que Camus faisait part de ses opinions politiques en toute liberté, par l'intermédiaire d'articles de presse et qu'il n'avait donc pas besoin de faire passer ce genre de messages dans ses livres. Indiquant que l'Algérie avait chèrement payé le prix pour la liberté d'expression, et se demandant comment on pouvait maintenant porter des jugements sur l'histoire et la littérature et empêcher les autres de donner leur opinion. Il a, par ailleurs, déclaré concernant les critiques sur le fait que Camus ne citait pas les arabes ni les musulmans algériens dans ses livres, hormis dans deux livres, que l'imaginaire de Camus et ses personnages étaient européens et que l'on ne pouvait donc pas l'accusé de ne retranscrire que la réalité-son environnement- puisque c'est un fils de colon qui vit au milieu de colon, il décrivait donc que ce qu'il voyait sans jugement. Il a demandé à ce que l'on saisisse la symbolique profonde des œuvres de Camus, comme la mort de l'arabe dans son roman l'étranger, reflet de ce qui se passait dans la réalité de Camus, l'arabe n'était rien , il n'existait pas, et c'est cette idée qu'a voulu faire passer, parce que la mort d'un européen était condamnée, alors que celle d'un arabe était un non-événement pour les européens.
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