... a mis les voiles, le grand vide s’est installé !
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Son parcours de journaliste à Alger républicain, lui a donné l’occasion de côtoyer A. Camus le Nobel auquel il a écrit en 1957 une lettre à propos de la guerre. Dans cette missive adressée à un compatriote, dit-il : “ On crie à Tipaza et Nador... Irons-nous ensemble apaiser le spectre de la discorde, ou bien est-il trop tard. Verrons-nous à Tipaza et Nador les fossoyeurs de l’ONU déguisés en juges... ” - 5 - Tipaza est dans l’écrit “ Noces à Djemila ” de Camus et Nador dans “ Nedjma ” de Kateb Yacine.
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Son verbe est un concept savant d’esthétique, confectionné à partir d’une culture populaire où résonnent la modernité, la révolte et l’ironie. Phare d’un projet de société clarifié par l’art, l’homme de lettres, le journaliste et le dramaturge algérien a laissé un indélébile programme sociétal d’inspiration révolutionnaire. De son vivant, il rayonnait comme un astre. Nedjma : étoile en langue arabe, est son roman majeur parmi nombreuses pièces théâtrales et recueils de poésie. D’une écriture sublimée et qui n’a pas d’égal encore de nos jours dans la littérature maghrébine, il porte une profonde et réfléchie projection pour son pays, à travers une histoire d’amour que la simplicité et l’ambiguïté s’approprient. Le nationalisme cet auteur éclairé, lui a valu et l’a obligé d’écrire qu’avec la langue de son peuple en créant une œuvre d’une forte dramaturgie. Car il est d’usage de s’adresser au peuple algérien avec le langage dialectal, sien et qu’il comprend au théâtre. Et de l’inscrire dans une universalité qui vérifie des engagements pensés, par Yacine, en avance des airs de son temps et même anticpateurs des plus actuels.
Francophone talentueux et d’une valeur
jamais démentie, il pouvait aller plus loin avec la langue de Molière.
Mais son subversif patriotisme, dans le contexte de la tâche historique
de décolonisation qui a animé et mobilisé sa génération, a puisé dans
le théâtre une sève comparativement équivalente aux œuvres qui colle à
l’histoire de toute l’humanité.
Il a mis les voiles, un grand vide s’est installé. Il rendit l’âme le
28 Octobre 1989 et n’a pas manqué son billet daté du joli mois
accompagnant les révolutions dont celle du 1ér novembre. Par sa
naissance, la guerre de libération se déclencha de, juste après, cette
heureuse mensualité d’espérance, dès zéro heure sonnante. Octobre,
encore lui qui fait gronder son charme automnal...
Les lieux se vident, plongent dans le silence, fatalement du départ des êtres chers dont la stature imposante occupe la mémoire aux dimensions de toute la matière cérébrale collective. Même parti, le combatif auteur de Nedjma restera, outre la cause éclairante de tout le tiers-monde, pour l’éternité comme une CNI (Carte d’Identité Nationale) matricielle à tout algérien.
http://www.youtube.com/watch?v=7B8EH1lvhTA&eurl=http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=51790
Que cela déplaisent à ses détracteurs avérés de grande nuisance sans l’atteindre, il est le fondateur d’un mythe colossal où la personnalité algérienne est démontrée et déployée à travers une œuvre culturelle au sens large du terme. Une production merveilleuse et prolifique de poésie, de romans, de spectacles, d’écrits multiples et surtout d’action concrète.
Reconnu aussi comme leader à part entière, pour ses valeureuses idées et sa présence personnelle, dans la rupture avec le colonialisme, disons le plus subversif des créateurs parmi l’élite indépendantiste. Il s’est exprimé sur les planches du 4è art et sur les pages pour que le retiennent celles des dictionnaires comme un géant de la langue française et dont son timbre personnel, le "katébien", valide à jamais l’émancipation de tout opprimé.
Keblout au sobriquet généalogique, ne devait rater une autre victoire de son peuple, celle d’octobre 1988. Il plia bagage et cette fois définitivement, un an après l’insurrection des générations insoupçonnées... Il a laissé en plein élaboration, outre ses analyses iconoclastes de cette autre subversion, une pièce, semblables à toutes les fresques katébiennes sur le 5 octobre et son rang dans toutes les épopées révolutionnaires qui jalonnent l’époque contemporaine. Et auxquelles il a assisté, au profil présent dans les annales de son siècle... Nul ne pouvait faire son art laborieux qu’il qualifiait si judicieusement en théâtre politique (la désignation est de lui) refusant de lui accoler d’autres qualificatifs que celui lié à la mémoire qu’il irrigue de son génie et à la cause des travailleurs qu’il a animé dans la troupe ACT (Action Culturelle des Travailleurs).
Il est de ces militants qui n’abandonnent pas les côtés et le premier rang des bâtisseurs de la liberté et du bien être. Même après sa disparition il demeure encore fervent défenseur de l’Algérie d’en bas et des humbles qui collectivement, selon son inébranlable croyance, modifient l’histoire. Révolutionnaire, chaque jour avancé devant ceux qui n’ont pas de barricades pour se faire entendre des dieux, Kateb Yacine représente, à lui seul, un pan entier du tumulte de l’histoire de la décolonisation.
Comme beaucoup de jeunes de son époque, il était très proche du PPA. Mais il a été déçu à l’instar de sa génération dont A. Benzine et d’autres encore : (… Le mouvement nationaliste avait commencé à dégénérer. Le PPA s’était transformé en MTLD, c’était déjà une compromission… Il y avait des luttes, on se bagarrait entre nous, c’était triste. (…) Mais l’idée que nous nous faisions était idyllique… Mais c’est plus tard que les hommes du CRUA l’ont réalisé, par d’autres moyens, des moyens de violence...) –1–
Au PCA (Parti Communiste Algérien), il était considéré comme un théoricien de valeur et homme de terrain à hautes bravoures, d’après les témoignages de ses compagnons encore en vie. Son verbe est un concept savant d’esthétique confectionné à partir d’une culture populaire où résonnent la modernité, la révolte et l’ironie. Son discours ne peut pas être affilié au populisme qu’il prenait, à chaque tournant, à faux.
Déjà meneur d’un art populaire s’inspirant de la lutte des classes, il était une boîte de résonance à très large spectre pour l’idéologie dont il se revendiquait. Créateur indépendant, il était l’extra-structure qu’on ne peut rencontrer dans une cellule de quartier ou d’entreprise. De part ses voyages et longs périples à travers de grandes métropoles du monde (Alger, Paris, Milan, Tunis, Bruxelles, Hambourg, Bonn, Stockholm, Trieste, Zagreb, Florence, Berlin, Moscou, Sédrata, Bel-Abbes, Constantine, Sétif... et tant d’autres) où auprès de certaines il séjourna des années, des mois... Il parcourait la Terre, cellule itinérante à lui seul.
Il ne pouvait être autrement, ses activités avaient la priorité sur son accompagnement à l’aventure politique de son parti. Ce dernier et ses responsables, en connaissance de cause et par traitement réservé dans les rangs, de même au sein de l’actuel P.C. (le P.A.D.S.), pour tous les artistes communistes, de les préserver intrinsèques et totalement libres de toute entrave pour ne jamais les priver de l’autonomie d’action. Lui davantage, il est le militant le plus charismatique, respectable, loyal, prêt à tous les combats et à toutes les ripailles. Et nous avons chanté l’hymne communiste, l’Internationale, lors de ses funérailles alors qu’il règne toujours et encore parmi nous et bien loin dans les sociétés qui gardent une fierté de son appartenance. “ ... Cela se débattait, je le souligne un peu lourdement, entre communiste ; Kateb était et est toujours communiste, et, que cela plaise ou non, on ne comprendrait rien à son œuvre si on oubliait ce point de repère essentiel... ” -2-
Comme intellectuel de haut rang, il rayonne imperturbablement et forcément sur les catégories lettrées d’abord et ensuite toute la population à laquelle il revient. Puis en cadre du militantisme sincère, il est superviseur avec beaucoup d’autres penseurs du sérail éclairé, du projet national, moderne et socialiste. Celui que le romantisme de la rigueur scientifique a élevé au rang de modèle efficace, harmonieux, juste et progressiste.
Figure emblématique aussi bien de la littérature que du modèle démocratique algérien, il avait un poids dans la littérature et le don de lui trouver l’écho et la résonance politique. Selon la clarté du programme idéologique et le projet philosophique qu’il a légué, le régime algérien devait prendre part et place dans l’idéal universel et est basé sur l’éducation avancée du peuple. Keblouti est immortel. Le théâtre « katébien », à porté éducative, parlait (par respect au savoir) de “ la poudre d’intelligence ”, la seule pièce algérienne jouée aux Etats Unis, considérée l’œuvre noyau de son génie littéraire, car prise directement de l’oralité et du personnage à la fois burlesque et mythique “ Djeha ”.
Il fut prophète de l’avant-garde artistique du nationalisme dans un contexte de colonialisme quand il prononça à 17 ans, le 24 mai 1947, à la tribune de la Société des Savants de Paris une conférence sur l’Emir Abdelkader. Le texte a été publié respectivement par Alger-Républicain et En-Nahdha en 1948 puis à la SNED en 1970, d’autres revues l’ont repris en France. L’Emir Khaled et les Amrouche “ Taous et Jean ” avaient, avant lui, fait une brèche, chacun à leur manière pour le personnage de l’héros national (l’Emir), dans l’enceinte de l’atrocité, aujourd’hui effacée, d’être français de deuxième grade.
Kateb yacine à Ath Yanni - kewego
Une manifestation culturelle à Ath Yanni n’est ni un fait insolite ou
singulier car cette région a donné le jour à plus d’un promoteur
tracteur et directionnel mais cette vidéo à la particularité il est
triste de parler au passé de montrer une célébration qui sera quelque
peu inhabituelle pour les régionaux du fait que les gens montrés dans
leur plus grande partie (Dieu leur fasse miséricorde) ne relèvent plus
de ce monde et le contexte est un peu significatif en un sens local,
"qui dirait "gaga" ferait pouffer de rire (même si le rire n’est pas de
circonstance) que les gens qui savent de qui il se retourne mais sinon
cela pour cette frange ciblée l’evénement est on ne peux plus naturel
Il divulgua cette fameuse version que l’Emir Abdelkader avait combattu, bien avant les français, les turcs dont le protectorat a été, sans nul doute, plus maléfique pour avoir livré sur un plateau d’argent, à la soldatesque qui débarquait à Sidi-Fredj, une société tribale et dans un indescriptible état d’arriération. ...Sur le chemin du pèlerinage, avait conscience qu’il tenait le fil de la nation et de l’Etat algérien. Aussi lutta-t-il d’abord contre l’autorité turque, jeta-t-il ensuite les tribus ralliées à l’assaut de l’armée française. -3- Pendant “ la guerre de 2000 ans ”, “ les ancêtres redoublent de férocité ”, son œuvre qui fouillait le thème capital de l’histoire et fonde la réponse identitaire, exprime la volonté juste de la violence.
L’œuvre de Kateb Yacine a deux impacts, réciproquement paradoxaux. Le premier, campé par une haine inculte de la modernité dont l’unique lecture est un gargarisme d’étroitesse nationaliste ou obscurantiste. Il relève des deux idéologies qu’il récusait de son verbe sarcastique. L’une pour avoir dilapidé un pays envié pour ses atouts et accouché la seconde, la secte hideuse qui a causé quelques 200 000 morts depuis son grand départ. Et le deuxième point de vue appartient aux lecteurs qui ont eu la chance de connaître son travail littéraire et sont admirateurs de ses opinions renflouées de courage et saturées d’une poésie volcanique. Il est une fascination vivante au projet “ sociétal ” digne d’honorer le combat des justes, les esprits épris d’évolution.
Versé à la pratique de la plume, il est ce héros unique et irremplaçable dans le personnel algérien contemporain des intellectuels de toutes les spécialités, une figure de proue à l’intelligentsia. Même si Jean Amrouche, Mouloud Feraoun (La Terre et le sang), Mohamed Dib (la trilogie Algérie) et Mouloud Mammeri (La colline oubliée et La sommeil du juste) avaient, avant lui, fait découvrir la littérature algérienne francophone au réalisme farouchement fidèle à l’image de leur peuple, la sortie de Nedjma, en 1956, a été comme “ une véritable bombe rhétorique ” - 4 - dans l’atmosphère de guerre.
Son parcours de journaliste à Alger républicain, lui a donné l’occasion de côtoyer A. Camus le Nobel auquel il a écrit en 1957 une lettre à propos de la guerre. Dans cette missive adressée à un compatriote, dit-il : “ On crie à Tipaza et Nador... Irons-nous ensemble apaiser le spectre de la discorde, ou bien est-il trop tard. Verrons-nous à Tipaza et Nador les fossoyeurs de l’ONU déguisés en juges... ” - 5 - Tipaza est dans l’écrit “ Noces à Djemila ” de Camus et Nador dans “ Nedjma ” de Kateb Yacine.
Celui de romancier lui a valu le respect de millions d’adeptes qui le vénèrent. Dans le monde, il devint l’homme de lettres représentant la cause algérienne quand sa belle étoile “ Nedjma ” rayonna avec l’ampérage d’un astre et des incalculables kilowatts, sur la surface de la Terre. La publication de son premier roman changea la donne à l’époque. La lecture de la littérature maghrébine d’expression française a multiplié et son style a été adopté dans les cercles littéraires avec la particularité d’appartenance nord-africaine.
Et celui du théâtre lui fit partager une chambre avec le plus grand dramaturge du XXème siècle, Berthold Brecht qui n’échappa pas aux persécutions du Nazisme Hitlérien ni au Maccartisme des USA. Ensuite son œuvre dramatique le classe, le pratiquant d’un théâtre engagé atypique. Un théâtre qui bouscule la conception criarde de la culture officielle locale et celle universelle que l’émancipation des peuples est en bute à la domination.
http://www.youtube.com/watch?v=KcI_rgj7144&eurl=http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=51790
Kateb Yacine fut puni, à 15 ans, d’une double peine pour avoir participé aux manifestations du 8 mai 1945, l’exclusion du lycée de Sétif et l’emprisonnement. Il a risqué d’être fusillé pour sa fougue juvénile, ce qui a depuis fait craquer sa mère, la plongeant dans les ténèbres des troubles psychiques. Femme dont il décela la généreuse sensibilité, il lui réserve la considération d’être une bibliothèque de poésie et de savoir, dit-il de son enfance déjà inspirée. C’est elle qui l’initia, la première, à faire rimer les mots. Sa première publication est le recueil de poèmes intitulé “ soliloques ” qu’un breton, propriétaire d’une imprimerie à Bône (Annaba) a fait sortir en 1946.
Sa rencontre avec Abdelhamid Benzine datait de bien avant qu’ils ne soient ensemble au camp, à leur arrestation pour leur participation au 8 mai 1945 à Sétif. Quand son père “ Oukil ” (avocat), était venu habiter Bougaâ (ex. Lafayette) et l’avait fait quitter l’école coranique pour celle instituée par l’occupant, le destin des deux hommes se scella. A. Benzine devait lui sanctionner des cours sur la demande du père. Il appartient à une ligné de poètes, écrivains, traducteurs... Puis son nom “ Kateb ” en arabe signifie : l’écrivain pour l’embellissement aristotélique au métier auquel il s’est consacré.
Il connut avant moi la prison à quinze ans. Il fut le premier militant que j’eus la chance de rencontrer. Nos deux familles étaient voisines dans le village de Bougaâ, ex-Lafayette. En ce temps-là, dans les années 40, Abdelhamid Benzine m’intimidait beaucoup. J’étais encore à l’école, et lui, c’était un “ grand ” c’est-à-dire qu’il était interne au collège de Sétif. ...Mon père lui demanda de me donner des cours de mathématiques... Nous discutions passionnément des journaux qu’il lisait et faisait lire autour de lui. Mais je ne savais pas alors que j’avais devant moi un militant déjà formé à la vie clandestine... Il était déjà l’un des membres les plus actifs du PPA illégal. -6-
http://www.youtube.com/watch?v=vlvS5BqnLWQ&eurl=http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=51790
A se demander comment les courants d’idées rétrogrades arrivent à distiller via le système scolaire, les mosquées et les rouages étatiques l’image étriquée qu’on lui veut. La population algérienne n’est pas, heureusement, acquise à de telles mauvaises fois haineuses, en aucun cas. Si ce n’est pas l’intervention d’idéologues de la félonie comme El-Ghazali (le faux dévot sévissant dans le pays du rebelle) qui, sans savoir que quand “ Mohamed prend sa valise ” de France pour rentrer au pays, il la ramène pleine de devises. La pièce du retour de l’honneur pour l’émigration qui a eu un immense succès partout où elle a été jouée, était la seule fois où la communauté algérienne s’est miroitée joyeusement à son propre théâtre. Elle n’a rien à voir avec aucune religion, et encore moins la musulmane.
La propagande du Cheikh égyptien, est en grande partie directement responsable de l’hécatombe causée depuis 1990 en Algérie. L’endoctrinement des disciples de l’islamisme qu’il prônait à la télévision algérienne pendant toute la décennie 80 à des heures de grande audition : Le lundi (après-midi de repos pour les établissements scolaires) à 19 h 30 et le vendredi, deuxième jour du repos de Week-end pour les algériens, en est l’une des sources de l’égarement de la jeunesse.
Au comble de l’ignorance de ce qu’est réellement “ Mohamed prend ta valise ” dont le thème de l’immigration a été traité différemment par Mahmoud Zemmouri avec son film “ Prend dix mille balles et casse-toi ”, le Cheikh a osé même souhaité que ce fils de l’Algérie profonde ne soit pas enterré sur le sol de sa patrie. Pure félonie... Il repose à El-Alia aux côtés de Boumediene et de l’Emir Abdelkader, au carré des martyrs. En feuilletant un des livres de Ghazali qui a pour titre “ L’islam et la Culture ”, en première page, il est dit que Lénine prétend que la religion est l’opium des peuples... Or c’est Marx qui a dit ça. L’ignorance de son sujet pour un Faqih nous montre de quels mensonges et erreurs se font éduquer les jeunes entre les mains de l’islamisme, privés des autres littératures.
La vie de Kateb Yacine, à l’instar de beaucoup d’écrivains, est faite de voyages. L’inspiration est rare dans un bureau ou un salon, la nécessité de la rechercher et de la happer oblige à la trouver partout où elle peut être. La table et le canapé permettent surtout de rédiger après que les matériaux, la documentation pour certains, soient accumulés. Ce que ne comprennent pas, justement, certains critiques et lecteurs que Yacine n’était pas voué à l’errance. Certes il y a le manque de confort dans sa trajectoire, mais c’est le cas de plusieurs auteurs qui partent aux lointains horizons.
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-1- In Révolution Africaine du 2 février 1963
- 2 - Revue “ Europe ” N° 828 du mois d’avril 1998 - article de Yves Benot sous le titre “ Tout commence demain ” page 43
- 3 - In revue “ Europe ” page 64, texte de Abdelwahab Meddeb intitulé “ L’interruption généalogique ”.
- 4- Même numéro revue “ Europe ” - article “ Le kaléidoscope du vagabond ” de Nadjet Khadda page 4.
- 5 - Ecrite en 1957 et est parmi le fond Albert Camus, détenu par sa femme. Publiée entière dans l’ouvrage intitulé “ Eclats de mémoire ”. Ce dernier a été publié, en 1994 à l’occasion de l’exposition de l’exposition tenue à l’Institut du Monde Arabe à Paris, par l’IMEC (détentrice actuelle d’une partie des archives de Kateb Yacine dont la majeure partie a été remise par son fils hériter).
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extrait de la préface de “ La montagne et la plaine ” roman d’A. Benzine édition El Adib.
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