Etant arrivés à la limite ''est'' de la wilaya de Tipaza soit l'Oued Mazafran, reprenons la route du bord de mer en sens inverse pour nous diriger cette fois ci vers la limite ''ouest'' de la wilaya, soit la daîra (commune) de Damous.
La route,Nationale 11, sinue et s'insinue entre les champs, se rapproche puis s'éloigne de la lisière. Elle vient au bord de l'eau, la frôle, s'y frotte, la caresse puis reprend les distances jalousement.
La route courtise à nouveau la mer, elle va j'usqu'à lécher son rivage et par moment j'ai l'impression qu'en sortant ma main par la fenêtre de l'auto j'arriverai à toucher l'eau. Parfois des criques comme de minuscules aspirations dans la matière.
Voici des murs de jonc protégeant les terres cultivées, les soustrayant aux vents mauvais, ou alors se dressent-ils pour que nous ne puissions pas toujours voir la mer. Parfois le paysage s'aplanit, se détend litteralement comme s'il faisait une pause: masse généreuse d'une foret de pins. Majésté des arbres. La mer réapparait de suite, splendide, éternelle.
Nous traversons plusieurs villages, déja décris ci-dessous. On repasse par Tipaza et dirigeons nous vers la ville Goiuraya. Il n'existe qu'une route qui mène à Gouraya, c'est la R.N 11 qui d'ailleurs va jusqu'à Oran en passant par la côte.
Par l'Est en venant d'Alger, il n'existe qu'une route qui mène à Gouraya, c'est la R.N 11 qui d'ailleurs va jusqu'à Oran en passant par la côte. Depuis Douaouda il faut aller tout droit en passant par les villes côtières que sont Fouka-Marine, Bou-Ismail, Bouharoun, Ain Tagourait, Tipaza, Nador, Cherchell, Sidi-Ghiles, Hadjeret En Ness, Messelmoun et enfin Gouraya.
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