Gaza existe toujours. Mais à Gaza on n’a plus le droit à l’existence.
Il n’y aura plus guère qu’un seul survivant : la mort
. Et là-bas elle n’est pas prête de mourir. Plus de 40 000 victimes et un seul présumé coupable : le sort.
L’ironie du sort. Et comment réagit le plus commun des mortels ?
Il cherche les torts au lieu de compter les morts ! 15 000 enfants assassinés et personne à incriminer.
Les damnés de la terre sont désormais passés de l’autre côté. Pour ne plus être victimes,
ils font des victimes : ils sont devenus : bourreaux.
.
Les commentaires récents