“là pour Nahel”, 17 ans, tué par un policier après un refus d’obtempérer.
Dans les rues d’aujourd’hui la révolte fait rage
En les grandes cités comme en les plus petites,
La France ne peut pas ainsi tourner la page
Lorsque on tue sa jeunesse aussi tôt, aussi vite
D’un coup de revolver sur la tempe posé !!!
C’est à se demander : puis-je sortir demain
Si les flics sont ainsi, comment pourrai-je oser
Emprunter un voie, un quelconque chemin?
S’il est vrai que casseurs et d’autres délinquants
Brisent les magasins, les vitrines des riches
Que cela n’a lieu d’être mais dites-moi quand
Et Qui et puis pourquoi le gouvernement triche
Lorsque le cœur éteint d’autres jeunes en pleurs
Manifestent de droit contre l’adversité,
Contre ce que l’on prend, leur propre liberté
A chaque coin de rue, comme nous Ils ont peur !
J’accuse le Pouvoir et qui se dit Français,
La Police truffée de tueurs patentés
Comme au temps de Pétain les Êtres déportés
Et puis Ceux-là qui pensent comme l’on pensait !
J’accuse, en mon Pays, et sans donner leurs noms,
Vous les connaissez bien, la télé parle fort ;
J’accuse l’assassin et je crie, je cris : NON !
Non, vous ne pourrez plus demeurer les plus forts !
Le policier pourri pouvait viser les pneus
La voiture n’aurait fait cent mètres de plus,
Mais sa vision d’un jeune était comme un aveux :
« Le tuer fut plus simple et sans histoire en plus ! »
J’accuse ici, de droit, du droit de résister
Contre la boucherie et qui est sans appel
Contre ce Darmanin fiévreux de s’imposer…
J’accuse tout Ceux-là qui ont tué : NAHEL !
Le 2.07.2023
Alain Girard
C.T.D.R.
ps : bien sûr aucune vidéo, ni photo n’existent sur le Web ! On cache bien les crimes !
https://plume-de-poete.fr/nahel-alain-girard/#:~:text=J'accuse%2C%20en%20mon%20Pays,plus%20demeurer%20les%20plus%20forts%20!
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