Camus :
"Je gravissais l'un après l'autre des coteaux dont chacun me réservait une récompense, comme ce temple dont les colonnes mesurent la course du soleil et d'où on voit le village entier,ses murs blancs et roses et ses vérandas vertes."
L'avenue qui descendait vers la mer.
Le beau jardin de l'hôtel du Rivage.
La poste. Une photo qui fera plaisir à tous les anciens de Tipasa.
Voici une vue générale de Tipasa.
Nos cartes postales d'autrefois.
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