Annick Cojean, grand reporter au Monde, était cette semaine l’Invitée d’Hubert Coudurier sur TÉBÉO et TébéSud à l’occasion de la sortie de la BD “Une farouche liberté” (éditions Steinkis) cosignée avec Sophie Couturier et Sandrine Revel, une adaptation du livre de Gisèle Halimi paru en 2020.
“Un roman graphique, ça donne beaucoup de liberté. Des journalistes comme vous et moi on a l’habitude du texte, de travailler sur notre matière et après de jouer avec les mots. Et là, tout à coup, il faut aussi jouer avec le dessin, exprimer en peu de mots l’essentiel”.
“Par le roman graphique, on peut faire passer à la fois de l’émotion, de la sophistication, des choses très raffinées, et de la nuance, surtout !”
“Gisèle Halimi a été pour l’indépendance de l’Algérie, pour Bourguiba, et quand la guerre est arrivée en Algérie, spontanément elle a voulu défendre l’indépendance et défendre les Algériens”
“C’est la vie d’une femme courageuse, intrépide, qui n’avait peur de rien, qui a pris tous les risques”.
“Grâce au hashtag Metoo et aux réseaux sociaux, les femmes se sont rendu compte qu’elles n’étaient pas seules”.
“On ne peut pas dire que la situation des femmes dans le monde va bien !”
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