Le chef de la délégation française et ministre d’État chargé des affaires algériennes Louis Joxe (au centre) entouré de Robert Buron (à gauche), ministre des Travaux publics et des Transports, et de Jean de Broglie, secrétaire d’État au Sahara et aux Départements d’outre-mer, se promènent devant l’Hôtel du Parc à Évian le 16 mars 1962, deux jours avant la signature des accords d’Évian qui devaient mettre fin à la guerre en Algérie. © Crédit photo : AFP Le 17 mars 1962, la délégation algérienne arrive au Parc Hôtel dans le cadre des accords d’Évian à Évian. De gauche à droite, Taïeb Bouhlarouf, Saad Dahlab, Mohamed Ben Yahia, Belkacem Krim, Ben Aouda, Reda Malek, Lakhdar Ben Tobbal, M’hamed Yazid et Seghir Mostefaï. AFP À Alger le 20 mars 1962 au lendemain de la proclamation du cessez-le-feu, des habitants regardent une affiche, appelant à la paix en Algérie, éditée par le gouvernement français et placardée sur les murs des villes et villages algériens. Abderrahmane Farés (debout), président de l’exécutif provisoire algérien, prononce le discours inaugural le 7 avril 1962 au Rocher-Noir à Boumerdes, aux côtés du haut-commissaire de France en Algérie, Christian Fouchet (à gauche), dans le cadre de l’application des accords d’Évian. AFP Le président de l’Exécutif provisoire algérien Abderrahamane Farés et le ministre d’État français chargé des Affaires algériennes Louis Joxe se serrent la main après s’être longuement entretenus à Paris le 24 avril 1962. AFP Le 10 mai 1962 à Alger des Algériens écoutent à la radio un discours du Gouvernement Provisoire de la République Algérienne après la signature des accords d’Évian. AFP Des Européens attendent le départ de leur avion à destination de la France le 23 mai 1962 à l’aéroport de Maison Blanche à Alger, emportant le peu qu’ils leur restent dans de maigres bagages. AFP Le 25 mai 1962, des rapatriés d’Algérie débarquent à Marseille. AFP Une femme et ses enfants viennent de débarquer du « Ville d’Oran » à Marseille le 26 mai 1962 comme de nombreux réfugiés notamment des Européens d’Algérie (pieds noirs) et des familles de harkis qui continuent d’affluer vers la France depuis la signature des accords d’Évian. AFP Une foule d’Européens d’Algérie voulant gagner la métropole ont envahi le hall de l’aérodrome d’Alger, le 18 mai 1962, deux mois après la signature des accords d’Évian alors que les attentats de l’OAS se multiplient dans tout le pays. AFP Dans le port d’Alger, une foule d’Européens attendent avec leurs bagages sur le quai le moment d’embarquer sur un bateau pour la France le 19 juin 1962. AFP Une foule d’Algériens manifestent leur joie en brandissant des drapeaux algériens le 3 juillet 1962 dans le quartier européen d’Alger devant la grande poste. L’Algérie a proclamé son indépendance après la signature des accords d’Évian le 18 mars 1962 et leur ratification par référendum en France le 8 avril 1962 puis en Algérie le 1er juillet 1962. AFP Les troupes de l’ALN (Armée de Libération nationale), branche armée du FLN (Front de Libération nationale) défilent à Alger, boulevard Carnot, derrière la Préfecture, au mois de juillet 1962, à la fin de la guerre d’Algérie. AFP Le 7 juillet 1962, des Européens attendent dans le port d’Oran avant d’embarquer pour la France, quelques jours après la déclaration d’indépendance de l’Algérie. AFP En juillet 1962 des Européens « pieds-noirs » réfugiés dans le port d’Oran en attente d’embarquer pour la France alors que l’Algérie a proclamé son indépendance depuis le référendum d’autodétermination du 1er juillet 1962. AFP À la nouvelle aérogare de Bordeaux Mérignac, les bénévoles de la Croix Rouge préparent les boissons chaudes qui seront servies aux rapatriés d’Algérie le 14 juillet 1962. Archives Sud Ouest À l’ancienne aérogare de Bordeaux-Mérignac, une bénévole de la Croix Rouge prépare les lits envoyés par l’armée destinés aux rapatriés d’Algérie le 16 juillet 1962. Archives Sud Ouest Le 19 juillet 1962, le porte-avions “Lafayette” venant d’Oran arrive à Toulon transportant près de 3000 rapatriés d’Algérie. Des réfugiés en provenance de Mers-El-Kebir, accompagnés d’un secouriste, débarquent du porte-avions “Lafayette” à Toulon le 19 juillet 1962. Le navire a ramené 2.633 rapatriés d’Algérie. AFP De nombreux bateaux arrivent quotidiennement dans le port de Marseille. Ici le 21 juillet 1962, des rapatriés d’Algérie attendent de pouvoir quitter le centre d’accueil pour être logés. AFP Dans le port de Marseille le 21 juillet 1962, des centaines de rapatriés d’Algérie attendent de savoir où ils seront logés. AFP Par Jean-Michel SelvaPublié le 19/03/2021 à 9h19Mis à jour le 12/03/2022 à 17h13 https://www.sudouest.fr/archives/portfolios/histoire-le-19-mars-1962-marque-la-fin-de-la-guerre-d-algerie-1722851.php .
Le chef de la délégation française et ministre d’État chargé des affaires algériennes Louis Joxe (au centre) entouré de Robert Buron (à gauche), ministre des Travaux publics et des Transports, et de Jean de Broglie, secrétaire d’État au Sahara et aux Départements d’outre-mer, se promènent devant l’Hôtel du Parc à Évian le 16 mars 1962, deux jours avant la signature des accords d’Évian qui devaient mettre fin à la guerre en Algérie. © Crédit photo : AFP Le 17 mars 1962, la délégation algérienne arrive au Parc Hôtel dans le cadre des accords d’Évian à Évian. De gauche à droite, Taïeb Bouhlarouf, Saad Dahlab, Mohamed Ben Yahia, Belkacem Krim, Ben Aouda, Reda Malek, Lakhdar Ben Tobbal, M’hamed Yazid et Seghir Mostefaï. AFP À Alger le 20 mars 1962 au lendemain de la proclamation du cessez-le-feu, des habitants regardent une affiche, appelant à la paix en Algérie, éditée par le gouvernement français et placardée sur les murs des villes et villages algériens. Abderrahmane Farés (debout), président de l’exécutif provisoire algérien, prononce le discours inaugural le 7 avril 1962 au Rocher-Noir à Boumerdes, aux côtés du haut-commissaire de France en Algérie, Christian Fouchet (à gauche), dans le cadre de l’application des accords d’Évian. AFP Le président de l’Exécutif provisoire algérien Abderrahamane Farés et le ministre d’État français chargé des Affaires algériennes Louis Joxe se serrent la main après s’être longuement entretenus à Paris le 24 avril 1962. AFP Le 10 mai 1962 à Alger des Algériens écoutent à la radio un discours du Gouvernement Provisoire de la République Algérienne après la signature des accords d’Évian. AFP Des Européens attendent le départ de leur avion à destination de la France le 23 mai 1962 à l’aéroport de Maison Blanche à Alger, emportant le peu qu’ils leur restent dans de maigres bagages. AFP Le 25 mai 1962, des rapatriés d’Algérie débarquent à Marseille. AFP Une femme et ses enfants viennent de débarquer du « Ville d’Oran » à Marseille le 26 mai 1962 comme de nombreux réfugiés notamment des Européens d’Algérie (pieds noirs) et des familles de harkis qui continuent d’affluer vers la France depuis la signature des accords d’Évian. AFP Une foule d’Européens d’Algérie voulant gagner la métropole ont envahi le hall de l’aérodrome d’Alger, le 18 mai 1962, deux mois après la signature des accords d’Évian alors que les attentats de l’OAS se multiplient dans tout le pays. AFP Dans le port d’Alger, une foule d’Européens attendent avec leurs bagages sur le quai le moment d’embarquer sur un bateau pour la France le 19 juin 1962. AFP Une foule d’Algériens manifestent leur joie en brandissant des drapeaux algériens le 3 juillet 1962 dans le quartier européen d’Alger devant la grande poste. L’Algérie a proclamé son indépendance après la signature des accords d’Évian le 18 mars 1962 et leur ratification par référendum en France le 8 avril 1962 puis en Algérie le 1er juillet 1962. AFP Les troupes de l’ALN (Armée de Libération nationale), branche armée du FLN (Front de Libération nationale) défilent à Alger, boulevard Carnot, derrière la Préfecture, au mois de juillet 1962, à la fin de la guerre d’Algérie. AFP Le 7 juillet 1962, des Européens attendent dans le port d’Oran avant d’embarquer pour la France, quelques jours après la déclaration d’indépendance de l’Algérie. AFP En juillet 1962 des Européens « pieds-noirs » réfugiés dans le port d’Oran en attente d’embarquer pour la France alors que l’Algérie a proclamé son indépendance depuis le référendum d’autodétermination du 1er juillet 1962. AFP À la nouvelle aérogare de Bordeaux Mérignac, les bénévoles de la Croix Rouge préparent les boissons chaudes qui seront servies aux rapatriés d’Algérie le 14 juillet 1962. Archives Sud Ouest À l’ancienne aérogare de Bordeaux-Mérignac, une bénévole de la Croix Rouge prépare les lits envoyés par l’armée destinés aux rapatriés d’Algérie le 16 juillet 1962. Archives Sud Ouest Le 19 juillet 1962, le porte-avions “Lafayette” venant d’Oran arrive à Toulon transportant près de 3000 rapatriés d’Algérie. Des réfugiés en provenance de Mers-El-Kebir, accompagnés d’un secouriste, débarquent du porte-avions “Lafayette” à Toulon le 19 juillet 1962. Le navire a ramené 2.633 rapatriés d’Algérie. AFP De nombreux bateaux arrivent quotidiennement dans le port de Marseille. Ici le 21 juillet 1962, des rapatriés d’Algérie attendent de pouvoir quitter le centre d’accueil pour être logés. AFP Dans le port de Marseille le 21 juillet 1962, des centaines de rapatriés d’Algérie attendent de savoir où ils seront logés. AFP Par Jean-Michel SelvaPublié le 19/03/2021 à 9h19Mis à jour le 12/03/2022 à 17h13 https://www.sudouest.fr/archives/portfolios/histoire-le-19-mars-1962-marque-la-fin-de-la-guerre-d-algerie-1722851.php .
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