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Après la Seconde Guerre mondiale, les Nations Unies fondent un Etat juif sur le territoire palestinien jusqu’alors sous mandat britannique. C’est le début du régime israélien, mais également de conflits qui durent jusqu’à nos jours.
Un contexte de violences permanentes
L’occupation israélienne de la Cisjordanie, de Gaza et de Jérusalem-Est – depuis plus de 50 ans – pèse lourdement sur les populations, dans un contexte de violences permanentes et d’augmentation croissante du nombre de colonies. Dans la bande de Gaza, les conditions de vie des Palestiniens se sont considérablement dégradées : le blocus instauré en 2007 a plongé l’économie dans le chaos, asphyxiant progressivement les habitants de ce territoire, également le théâtre d’offensives militaires israéliennes régulières et dévastatrices.
Les restrictions de circulation imposées par les autorités israéliennes affectent durement les populations des territoires palestiniens occupés, notamment dans leur accès aux soins médicaux. Le système de santé palestinien présente de nombreuses déficiences, notamment dans des domaines spécialisés comme la chirurgie ou la santé mentale. Les équipes de Médecins Sans Frontières (MSF) interviennent donc autour de trois axes principaux : la prise en charge des cas de traumatologie, le traitement des grands brûlés et le soutien en santé mentale.
« Grande Marche du Retour »
Les manifestations dites de la « Grande Marche du Retour », organisées à la frontière par les Gazaouis presque chaque vendredi entre 2018 et 2019 – pour faire reconnaître leurs droits sur leurs terres – ont été lourdement réprimées par les autorités israéliennes : plus de 8 000 personnes ont ainsi été blessées par balles réelles. L’urgence de leur prise en charge opératoire et la nécessité d’un suivi médical postopératoire ont impliqué un renforcement des activités de MSF à Gaza, les capacités de soins locales étant complètement submergées.
Un cycle de violences sans fin et de répressions meurtrières
Depuis les années 2000, les épisodes de guerre à la frontière entre la bande de Gaza et Israël se répètent avec un recours systématique aux bombardements aériens lors des offensives militaires de l’armée israélienne : opérations « Pluies d’été » (2006), « Plomb durci » (2008-2009), « Pilier de défense » (2012), « Bordure protectrice » (2014). Cette dernière, la quatrième en huit ans, a été la plus meurtrière : près 2 200 morts côté palestinien, dont 70 % de civils, et plus de 10 000 blessés. Les équipes MSF ont été directement témoins d’attaques sur les civils et de destructions délibérées d’infrastructures essentielles.
Entre mars 2018 et la fin 2019, les manifestations pacifiques de la « Grande Marche du Retour », organisées tous les vendredis par les habitants de Gaza, ont été réprimées dans un bain de sang par les forces armées israéliennes. Semaine après semaine, malgré les efforts des quelques acteurs de santé sur le terrain, les besoins urgents de milliers de personnes souffrant de blessures causées par des balles dévastatrices ont largement dépassé les capacités de soins disponibles dans les services hospitaliers locaux, déjà affaibli par plus de dix ans du blocus.
Les droits de l’homme dans les territoires occupés
Les développements internationaux indiquent que les crimes israéliens contre le peuple palestinien sont toujours au centre de l’attention mondiale. Le régime israélien a déjà commis de nombreux crimes dans les territoires occupés de la Palestine. Israël a également insisté sur les violations des droits de l’homme depuis le début de l’émergence et de la présence en Palestine, ainsi que de toutes les questions militaires et de la violence contre les musulmans des territoires occupés.
Israël a rapporté à plusieurs reprises le rapport sur les droits de l’homme des Nations Unies et a assisté à la plus grande violation des droits de l’homme au monde en raison de la violation des droits des femmes. Les résolutions émises contre Israël sur les violations des droits de l’homme sont pleines de «demandes», de «condamnations», de «préoccupations» et de «expression de regret» ainsi que de commander «la fin immédiate» aux violations des droits de l’homme.
Le présent document tente d’évaluer les violations des droits de l’homme par le gouvernement israélien, en particulier dans la guerre contre Gaza, en utilisant la méthode de la recherche analytique descriptive du point de vue du droit humanitaire.
Les réalisations de la recherche indiquent que, dans cette guerre, le régime sioniste a commis des crimes tels que l’utilisation des armes interdites, une attaque des populations civiles et des biens civils, des attaques sur les écoles et les mosquées ainsi que les hôpitaux, etc. Les crimes de guerre et les crimes sont contre l’humanité et les designers, les Américains et ses auteurs sont poursuivis, jugés et punis.
Et à la fin, le monde est dans le souhait de la justice et de la paix.
Michelle Toussaint (https://twitter.com/MichelleTouss20)
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