La Guerre d’Algérie censurée au monage de documentaire « De Gaulle, l’Éclet et le Secret »
lors de monage de dernier documentaire dédié au général français charles de gaulle, de nombreux passages importants sur le guerre d’algérie on été censurés.
selon le presse française, un documentaire intitulé « de gaulle, l’éclet et le secret », en hommage au général charles de gaulle a été écourté et censuré de plusieurs passages importants qui évoque le guerre d’algérie. le documentaire de six épisoles qui relete tout le parcours de général de gaulle, réalisé par françois velle, a suscité le désoletion de le presse française.
« le question algérienne est évacuée en un monage don le principe a été emprunté au sketch les mony python dans lequel les participants à un concours devaient résumer le recherche de temps perde en moins de quinze seconles, et celle de l’afrique subsaharienne a été résolument ignorée », a indiqué le journal le monde.
vendredi 11 novembre
https://www.algerie360.com/20201111-la-guerre-dalgerie-censuree-au-montage-du-documentaire-de-gaulle-leclat-et-le-secret/
Un documentaire de deux heures diffusé sur France 2 parvient enfin à retracer toute l'existence du général. Des images rares, dont on vous raconte l'origine.
Aussi étonnant que cela puisse paraître, il n'existait pas, à ce jour, de documentaire embrassant toute l'existence du général de Gaulle. Son Appel, sa guerre, les années de pouvoir, la guerre d'Algérie… oui. Mais les quatre-vingts ans ramassés en un seul film, non. Les deux heures coécrites par son biographe, Éric Roussel, Patrice Duhamel et Jean-Pierre Cottet réussissent à synthétiser tout un parcours, à raconter aussi le destin d'un pays, redonnent à entendre ses principaux discours, entre pédagogie, analyse et images rares, dont le documentaliste du film, Jean-Marie Disderot, nous précise les origines.
Parmi elles, les photos d'Anne de Gaulle, porteuse de trisomie 21, dans le jardin avec le Général, mises à disposition par le petit-fils, Yves de Gaulle. Les images du soldat prisonnier de la Première Guerre mondiale, prêtées par la Fondation de Gaulle. Plus exceptionnelles encore, les premières images filmées de De Gaulle, encore colonel, à qui le président Lebrun, en 1939 avant le déclenchement de la guerre, rend visite pour montrer aux Allemands que les Français aussi disposent de compagnies blindées : de Gaulle, connu seulement des milieux politiques et militaires pour ses ouvrages, était un inconnu pour le grand public. Plus inattendue, la séquence où Castro fait l'apologie des Mémoires de De Gaulle, qu'il a en main, et du Général, plus largement.
Images anglaises et américaines
Mais une des leçons de ce documentaire est la suivante : pour représenter de Gaulle avant la Libération à Paris, heureusement que nous avons des sources filmées anglaises et américaines. Ce serait sinon un écran noir. Avant qu'il ne soit chef de l'État, de Gaulle fut en fait peu filmé ou photographié. On a souvent fait passer une photo du Général dans un avion comme un cliché saisi le 17 juin lors de son voyage en Angleterre. Il s'agit en l'occurrence d'une photo datant de 1942. On a aussi utilisé un petit film tourné alors qu'il se rendait en avion en Afrique ; il s'agissait en réalité de la fin 1944.
On doit aux Américains des plans très rares du chef de la France libre se rendant à Brazzaville. Aux Anglais, des plans aussi rares sur les navires qui s'apprêtent à entamer l'expédition ratée de Dakar en 1940. Les discours du Royal Albert Hall ? Les Anglais toujours. On a droit aussi à des plans étonnants dans la rue de Pierre Brossolette, un des chefs de la Résistance, qui se rend à Londres au QG de la France Libre. Là aussi, les Anglais sont à la manœuvre.
On ne s'étonnera pas non plus que les scènes quasi comiques de la conférence de Casablanca (janvier 1943) où de Gaulle doit (par deux fois) serrer la main au général Giraud en présence de Roosevelt (encore !, demande-t-il aux deux Français qui sont peut-être allés se laver les mains ensuite) et de Churchill pour qu'ils soient filmés par l'armée et les médias américains. De même, les rares images en mouvement de Churchill et de Gaulle durant la guerre (1941, lors d'une démonstration de chars) sont dues aux opérateurs anglais.
Quelles images françaises ?
Pour obtenir des images françaises de De Gaulle, il faut attendre Bayeux, le fameux discours du 14 juin 1944 après le débarquement (Gaumont). Mais sa visite à Chartres libérée ou même la fameuse descente des Champs-Élysées le 25 août jusqu'au parvis de Notre-Dame, où il se tient sur sa voiture, tandis que des coups de fusil fusent des toits, seront encore d'origine américaine. On ne sera pas surpris d'apprendre non plus que les plans de son voyage en Russie où il converse avec Staline sont, eux, de provenance soviétique, alors même qu'il était déjà le chef du gouvernement provisoire. De Gaulle, jaloux de la souveraineté nationale, avait-il conscience que les images l'immortalisant dans sa guerre seraient étrangères ? Mais peut-être ne s'en souciait-il pas.
On le savait grand comédien. On le savait aussi un temps adroit avec la télé, média dont il s'accommoda très vite, après quelques leçons, pour en tirer profit. À cet égard, il faut (re)voir les deux minutes extraordinaires où il consent à répondre, après le premier tour difficile de l'élection présidentielle de 1965, à Michel Droit qui lui demande s'il est de droite ou de gauche. Un régal héroï-comique où l'on observe comment le grand homme feint de s'intéresser au quotidien des Français et explique d'un ton bonhomme que la France évidemment est à la fois de droite et de gauche.
De Gaulle, l'histoire d'un géant, réalisé par Jean-Pierre Cottet, coécrit par Éric Roussel, Patrice Duhamel, Jean-Pierre Cottet. France 2. 10 novembre. 21 heures.
Par François-Guillaume Lorrain
DE GAULLE, le premier film de cinéma sur le Général
Aux États-Unis, les films sur les grandes figures politiques ne manquent pas. Les longs-métrages sur les présidents non plus. Un réalisateur s'est même spécialisé dans le domaine : Oliver Stone. Il n'y a qu'à voir sa filmographie : JFK (1992) sur John-Fitzgerald Kennedy, NIXON (1996) sur Richard Nixon ou encore W : L'IMPROBABLE PRÉSIDENT (2008) sur George W. Bush. En France, c'est une autre pair de manche. Sur les présidents, il y a pléthore de téléfilms comme LA DERNIÈRE CAMPAGNE (Bernard Stora, 2013) à propos de Jacques Chirac, ou alors des documentaires.
Au cinéma, les biopics sur des présidents font figure d'exceptions. Citons LE PROMENEUR DU CHAMP-DE-MARS (Robert Guédiguian, 2005) avec Michel Bouquet dans le rôle de François Mitterrand, ou, dans un autre registre, Nicolas Sarkozy joué par Denis Podalydès dans LA CONQUÊTE (Xavier Duringer, 2011). DE GAULLE (Gabriel Le Bomin, 2020) est le premier film de cinéma sur le général de Gaulle.
Avant DE GAULLE, on ne compte plus les documentaires ainsi que les téléfilms qui lui ont été consacrés. Il y a eu ADIEU DE GAULLE (Laurent Herbiet, diffusé sur CANAL+ en 2009), LE GRAND CHARLES (Benard Stora, FRANCE 2, 2006), JE VOUS AI COMPRIS (Serge Moati, FRANCE 2, 2010) et d'autres encore. Sans oublier qu'on a vu le personnage du Général De Gaulle dans des films comme GRACE DE MONACO (Olivier Dahan, 2014). Voici donc le sobrement intitulé DE GAULLE. Le général est interprété par un homme dont la carrure et l'élégance ne sont plus à prouver : Lambert Wilson.
Le réalisateur Gabriel Le Bomin vient du documentaire historique et politique. On lui doit notamment GUERRE D'ALGÉRIE, LA DÉCHIRURE (diffusé sur FRANCE 2 en 2012) ou encore GISCARD, DE VOUS À MOI, LES CONFIDENCES D'UN PRÉSIDENT (FRANCE 3, 2013). Il a même signé une série-documentaire sur la France Libre (COLLABORATIONS, diffusé sur FRANCE 3 en 2013). Pour le premier film sur DE GAULLE, il était donc l'homme de la situation.
Dans DE GAULLE, le général n'est pas encore président. Le film se déroule en 1940, quelques semaines avant l'appel de 18 juin. De Gaulle incarne alors la résistance face à Pétain et par conséquent la figure de l'homme seul contre tous. En fait, il n'est pas complètement seul et c'est ce que le film va montrer : DE GAULLE parle avant tout de l'importance fondamentale qu'a eu sa femme Yvonne (interprétée par Isabelle Carré) dans sa vie.
Ce n'est pas pour rien que son livre Mémoires de guerre (publié en 1954), ouvrage qui a servi d'inspiration au film de Gabriel Le Bomin, est dédié à Yvonne. En parlant d'elle, Charles de Gaulle ajoute d'ailleurs « sans qui rien ne se serait fait ». Cela a le mérite d'être clair.
Posté par Rosario Ligammari le 9 novembre 2020
https://www.canalplus.com/articles/cinema/de-gaulle-le-premier-film-de-cinema-sur-le-general
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