L’Algérie n’était rien avant… avant d’avoir été une colonie.
Ce n’est pas moi qui le dit mais une abrutie qui a appris l’histoire dans un livre de géographie qui tenait absolument à nous apprendre qu’elle n’a rien appris !
Quel mal lui a pris de prendre son intellect pour de l’esprit ?
Sa pensée en modèle réduit a toujours séduit tous les pauvres d’esprits : « L’Algérie ne serait rien, sans la France »… un état sauvage mais sans état et avec des sauvages. C’est la France qui leur a appris la nage mais ne leur a pas désappris le courage, au point qu’ils ne sont toujours pas parvenus à tourner la page… à oublier ses mirages et ses ravages.
Cette abrutie croit savoir l’heure, même si sa montre ne le démontre guère… elle n’a pas l’air d’avoir fait la guerre… elle ne sait toujours pas ce que c’est qu’une question d’honneur, question qui peut remettre tout bonheur en question !
En guise de réponse, à notre abrutie de service, j’ai envie de raconter la fable du lion et du moucheron :
Il était une fois un moucheron qui fut invité à la fête d’anniversaire du lion, il voulut briller par son franc parlé et dit au roi lion :
« Sir, vous avez toutes les qualités mais un seul défaut : vous puez de la gueule ! »
Le roi lion n’apprécia point sa franchise, loin s’en faut, et décida de l’avaler sur le champ.
Mais certaines âmes tentèrent de voler au secours du moucheron en plaidant son ignorance, son inconsistance, voire son innocence.
Le lion, pour ne pas gâcher la fête, décida de surseoir à sa décision et sans y renoncer définitivement, il remit l’exécution au lendemain… croyant que la nuit porte conseil…
Mais le lendemain au réveil, c’était pire que la veille… il rappela le moucheron en lui disant : « le mot qui fait mal ne peut cesser de faire mal, on a beau dire que c’est le mot de la veille, sans lui il n’y a plus de réveil. »
Et il l’avala.
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