Non, je ne vais pas me mettre à pleurer sous prétexte que ça déplairait au consistoire qui ne veut pas entendre parler du bétail comme d’un détail. Faille que faille, vaille que vaille, raille qui raille !
Je crois que je déraille… et que je vais finir par me retrouver sur la paille avec mes ouailles… aïe ! Aïe ! Aïe !
Pour la petite histoire… aucun élément d’aucun ensemble n’a jamais accepté d’être considéré comme un élément non essentiel… ciel, je suis essentielle !
L’extermination pour un juif, l’esclavage pour un noir, le colonialisme pour un algérien… Aucun des trois ne vous donne le droit de retoucher la grande histoire… sous peine d’avoir des histoires… que vous soyez révisionniste ou divisionniste, il ne faut pas plaisanter avec la sacro sainte mémoire. Devoir de mémoire…
Macron vient de demander à Stora de revisiter la story de l’Algérie… en lui murmurant au creux de l’oreille : « tu ne chercherais pas si tu ne m’avais déjà trouvé ».
Il prend Alexandre Benalla pour Ben Bella, le feu leader algérien.
On ne peut pas l’accuser de ne pas vouloir s’excuser celui-là.
Ou il est rusé ou il a quelque chose à se faire pardonner ?
Ou peut être qu’il se dit qu’il va falloir un jour ou l’autre, rendre la France à l’Algérie ! Oui, j’ai bien dit l’Algérie.
Parce que c’est le seul pays qui a vraiment les moyens de la racheter ou d’assurer son salut.
Je ris ? Peut-être bien que oui… peut-être bien que non… comme tous les ressortissants algériens qui rient de tout et de rien, lorsqu’ils voient leurs enfants grandir en France et brandir le drapeau algérien… car ils ont tous natifs de ce mariage forcé entre France et Algérie et célébré en 1830.
La France, c’est le père matrice, l’Algérie, c’est la mère patrie… ils n’ont jamais pu se passer l’une de l’autre même si le conflit a toujours fait leur lit, leur rapport a toujours été contre nature… chacun ou chacune se prend pour l’homme et prend l’autre pour sa femme… un combat d’avant-garde puisque aucun, aucune ne veut de la garde des enfants de l’autre…
C’est Mabrouk qui écrit la chanson d’Enrico Macias : « j’ai quitté mon pays, j’ai quitté ma maison… » C’est bon, c’est bon !
Il faut se faire une raison depuis que les algériens lui ont ramené en bateau sa maison et l’ont installé à la Plaine Saint Denis en lui disant : « Aïcha ! Aïcha ! Ne t’en va pas… tu es ici, chez toi… » Cheb Mami l’a mieux décliné je crois avec son cœur au pays des merveilles… la France ou l’Algérie ?
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