Ele est parmi les femmes qui ont le plus marqué l’histoire de ce que certains spécialistes appellent «La bataille de Constantine».
Meriem Bouatoura ne savait pas qu’en choisissant de quitter le maquis pour rejoindre le réseau des fidayine dans la ville de Constantine, elle allait connaître une fin héroïque. Née le 17 janvier 1938 à N’gaoues, (actuelle wilaya de Batna) dans une famille de propriétaires terriens, Meriem Bouatoura, surnommée Yasmina, fréquente l’école de son village natal, avant de s’installer en 1948 avec sa famille à Sétif où son père ouvre un commerce de vêtements.
Brillante élève, elle rejoint le lycée Eugène Albertini (actuel Mohamed Kerouani) grâce à l’encouragement de son père. C’est dans ce milieu qu’elle s’engage dans le militantisme et décide de monter au maquis en réponse à l’appel de grève du 19 mai 1956.
En décembre de la même année, elle fera partie avec d’autres jeunes filles dans la wilaya II historique du premier groupe d’assistantes et d’infirmières de l’ALN dirigé par le Dr Lamine Khene. En 1960, elle demande d’intégrer les rangs de la guérilla urbaine à Constantine.
Elle obtient l’autorisation de Si Messaoud Boudjeriou, premier responsable militaire de cette région. Elle rejoint ainsi le groupe de Slimane Daoudi, plus connu par Hamlaoui et prend part à plusieurs opérations contre les services de la police et de l’armée françaises. L’échec de la liquidation d’un traître finira mal.
Merci Gilles.
C'est gentille þour elle, Amine.
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Rédigé par : Ben | 20/08/2022 à 14:22
Je viens de m'informer qui était cette dame du non de bouattara Meriem pourquoi ?il se trouve que son nom remplace le nom de brunache de la rue ou j'habitais à Constantine et même si cette jeune fille martyrs pour les algériens et combattante pour d'autres en tout cas pour moi une jeune fille (22 ans)avec un certain idéal que je respecte de surcroît d'après les dires la beauté de cette fille je viens de recevoir des photos de cette rue en plein centre de Constantine vous avez rendue cette héroïne laide aussi laide que cette qui part en lambeaux honte aux institutions qui s'occupe d'une ville quand on a des gens qui ont donné leurs vie le moindre respect et d'honorer leurs mémoire en sanctualisant ces endroits quelle honte vous portez en les laissant dans un tel délabrement ou est le respect et le souvenirs de cette jeune fille que dieu repose son âme amen
Rédigé par : Gilles Lellouche | 11/08/2022 à 11:18