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Annexée à la France de 1830 à 1962, l'Algérie a été marquée par de grands bouleversements à cette époque. Découvrez l'Algérie d'antan à travers ces images d'archives.
Ici le port d'Alger, en 1961
A l'image, une famille algérienne près d'Alger en 1930. A l'époque coloniale, les populations locales étaient appelées "indigènes".
A côté d'Alger, Maison-Carrée (actuel El Harrach) était une ville de garnison. Ici, la caserne du 10ème COMA.
L'Hôtel de ville d'Oran a été construit en 1886, soit en pleine période coloniale. Son architecture reflète d'ailleurs le style employé en France à la même époque
Les zouaves étaient une unité de l'Armée d'Afrique, mise en place par la France pendant la période coloniale, de 1830 à 1962. Ici, près de Constantine en 1912.
En 1958, cette route des environs d'El Oued vient d'être achevée. Elle permettra de faciliter la circulation dans cette région désertique du Grand Erg oriental.
Visible sur les hauteurs d'Alger, la basilique Notre-Dame d'Afrique a été construite entre 1858 et 1872, par l'architecte français J-E Fromageau. Symbolique, la phrase suivante est écrite sur l'un de ses murs : "Notre Dame d'Afrique, priez pour nous et pour les musulmans".
Connue aujourd'hui sous le nom d'Annaba, Bône a été l'une des premières villes algériennes annexées par la France. A l'image, le théâtre de la ville et la statue de Bertagna, en 1930,
Constantine a été l'une des dernières villes algériennes à résister aux troupes françaises. Ici, un quartier populaire de la ville, en 1902.
Située au nord-est de l'Algérie, Timgad est célèbre pour ses vestiges de l'empire romain, comme ce théâtre, photographié en 1930. Cet ensemble a été classé patrimoine mondial par l'Unesco en 1982.
Avant l'Indépendance de l'Algérie en 1962, près d'un million de Français vivaient dans le pays. Ici, une famille sur les quais du port d'Oran en 1948.
Rebaptisée place des martyrs après l'Indépendance, cette place d'Alger s'appelait la place du Gouvernement à l'époque de l'Algérie française. A l'image, on aperçoit la mosquée Djamaa Djedid.
Les Spahis algériens étaient une unité de cavaliers de l'Armée d'Afrique, rattachée aux forces armées françaises. A l'image, les sous-officiers du 5°régiment de Spahis.
Souvenirs de l'époque de l'Algérie française, l'enseignement du français comme seconde langue débute dans les premières années du cursus scolaire. A l'image, un maître d'école entouré de quelques élèves dans le village de Bouchared.
De style mauresque, le palais d'été du Gouverneur d'Alger, ici en 1930, abrite aujourd'hui la résidence du Président algérien.
Située tout près de la frontière tunisienne, la ville d'Ouenza a été créée par les Français au début du XIXe siècle autour d'une mine de fer
Des forêts de cèdres spectaculaires se trouvent en Algérie, comme dans le parc national des cèdres de Theniet el had ou dans le parc national de Belezma.
La commune des Attafs, d'abord nommée Saint-Cyprien des Attafs puis El Attaf aujourd'hui, a été créée en 1868 par le cardinal Lavigerie. Ce dernier avait pour intention de fonder des villages chrétiens. Ici, la gare en 1900.
Alger la franche
https://www.liberation.fr/planete/2012/07/06/alger-la-franche_831690/
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Rédigé par : Ben | 22/05/2022 à 19:33
Et le revers de la médaille?
Rédigé par : Braham | 02/02/2012 à 02:54
Rectification oubli dans la précédente saisie...Lire s'il vous plaît : " Ce sont de belles images..."
Rédigé par : AMAROUCHE | 02/02/2012 à 02:16
Bonjour !
Ce de belles images marquées de souvenirs indélébiles et de nostalgie à vrais dire, mais qui manquent encore pour décrire les autres localités surtout les plus isolées comme le douar El-Maïn, commune mixte des Bibans, arrondissement de Sétif, département de Constantine....La piste, les cafés maures, les fontaines, l'école où avait ensegné Monsieur Alban Pellissier à la fin du 18 ème siècle, le père d'Augustin Ibaazizen muté là venant de l'école de Beni-Hafed à la suite d'un tremblement de terre en 1905lire le pont de berek mouch,le testamen d'un berberbère parus aux éditions de la table ronde dans les années 1980,les instituteurs Tahrat Tahar,Bouatta Rabah,Coutrès,Raoul vers les années 1940, Rivalin,Forêt,Camlme et Germain avec son épouse en 1952....La société de transport de voyageurs Belkhier Layachi, ligne Bordj Bou-Arréridj - El-Maïn, étc, étc...
Et les journaux indigènes d'expressions française ou arabe comme la voix des humbles que dirigeait Monsieur Tahrat Larbi pour défendre la juste cause des instituteurs indigènes d'expression française, l'hebdomadaire El Balagh El Djezaïri(Le Communiqué Algérien) fondé par le chef de la confrérie musulmane Ahmed Mostepha Al Alawi à Mostaganem que gérait feu AMAROUCHE Lakhdar vers les années 1930 à St Eugène puis retransféré au 7,rue de Lorraine - Belcourt - Alger jusqu'à la fin de ses jours en 1954...Le 35, rue Marengo où il habitait...Que dire des auto-écoles d'Alger, des taxieurs Constantine - Alger ou El-Maïn ?
Merci pour la publication d'autres anciennnes photos.
Rédigé par : AMAROUCHE | 02/02/2012 à 02:14
A CEUX QUI SE LAMENTENT SUR LE SORT DE LEUR VILLAGE FOUKA. N OUBLIEZ PAS QUE VOUS LA VIEZ DESERTE SINON COMMENT COMPRENDRE CE RENONCEMENT AU PROFIT D UNE INVASION DE GENS VENUS D AILLEURS INDIRECTEMENT VOUS AVEZ DEBLAYER LA VOIE A SA DEGRADATION. OU SONT LES GENS DE FOUKA LES VRAIS BIEN SUR CEUX QUI LA PORTENT DANS LEUR COEUR. MAIS HELAS IL N YA PIRE SOURD QUE CELUI QUI NE VEUT PAS ENTENDRE.
Rédigé par : ABBAD SARAH | 14/10/2010 à 16:09