...aux portes des mégapoles françaises
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multiples déclinaisons de séjours
Le désert algérien a le vent en poupe. Désormais, Français et Européens, ainsi que Nord-américains et Japonais inclinent à parcourir les boucles du sud saharien.
Djanet et le grand sud algérien, ce sont de multiples déclinaisons
de séjours.
Il y a pléthore d'offres déclinées par les réceptifs en Algérie.
Des treks classiques, circuits en 4x4, en méharée, à moto ou en quad, à ceux plus insolites pour les amateurs d’histoire, d’art, d’écologie, avec des parcours de découverte de la flore, de la culture oasienne (tissage, forge, joaillerie, célébrations festives…) et de l’art rupestre,
S’organisent de la même manière des séjours Incentive pour consolider et redynamiser les équipes, dans le grand décor naturel du Sahara.
Et pour vivre ces moments d’exception, rien de plus simple et de plus rapide.
En vol direct Paris/Djanet, le désert saharien est à moins de 4 heures de la capitale française. Des partenariats avec les compagnies Air Algérie ou Air Tassili ont en outre permis de densifier les dessertes en direction du grand sud et de développer les vols charters.
De nombreuses agences de voyages algériennes et françaises sont ainsi positionnées sur la destination.
A commencer par Cherif Menaceur, directeur général de Timgad voyages, une agence algérienne qu’il a créé en 1981, et qui est agréé I.A.T.A et A.T.A.F.
Il y a pléthore d'offres déclinées par les réceptifs en Algérie.
Des treks classiques, circuits en 4x4, en méharée, à moto ou en quad, à ceux plus insolites pour les amateurs d’histoire, d’art, d’écologie, avec des parcours de découverte de la flore, de la culture oasienne (tissage, forge, joaillerie, célébrations festives…) et de l’art rupestre,
S’organisent de la même manière des séjours Incentive pour consolider et redynamiser les équipes, dans le grand décor naturel du Sahara.
Et pour vivre ces moments d’exception, rien de plus simple et de plus rapide.
En vol direct Paris/Djanet, le désert saharien est à moins de 4 heures de la capitale française. Des partenariats avec les compagnies Air Algérie ou Air Tassili ont en outre permis de densifier les dessertes en direction du grand sud et de développer les vols charters.
De nombreuses agences de voyages algériennes et françaises sont ainsi positionnées sur la destination.
A commencer par Cherif Menaceur, directeur général de Timgad voyages, une agence algérienne qu’il a créé en 1981, et qui est agréé I.A.T.A et A.T.A.F.
Incentives pour consolider et redynamiser les équipes
Le réceptif est également membre d’U.F.T.A/F.U.A.A.V. Parmi ses
nombreux partenaires figurent Explorator, Sobretour Selectour, Havana
Tours, Pascal Voyages…
Il propose des ballades sahariennes et des circuits à la carte pour des clients qui proviennent de France, des Etats-Unis, du Royaume-Unis, de Suisse ou de Turquie, et dont la moyenne d’âge se situe entre 45 et 70 ans.
« En 2009, nous avons reçu des clients en individuels, en petits groupes de 5 à 8 personnes ou de 16 à 22, voire jusqu’à 36, pour des anciens d’Algérie » précise C.Menaceur.
Le coût moyen d’un séjour dépend du nombre de participants au voyage et de la période de départ. Pour le Sud algérien (de Tamanrasset à Djanet), il varie entre 70 et 120 euros par jour.
Depuis 10 ans, Nagib Rouagdia, directeur de CEPSH localisé entre la France et l’Algérie, organise pour sa part des treks management pour décideurs dans le désert algérien, à Timimoun.
Il accompagne des entreprises, principalement des PME/PMI intervenant sur les marchés de la haute technologie et de la recherche et développement.
Il propose des ballades sahariennes et des circuits à la carte pour des clients qui proviennent de France, des Etats-Unis, du Royaume-Unis, de Suisse ou de Turquie, et dont la moyenne d’âge se situe entre 45 et 70 ans.
« En 2009, nous avons reçu des clients en individuels, en petits groupes de 5 à 8 personnes ou de 16 à 22, voire jusqu’à 36, pour des anciens d’Algérie » précise C.Menaceur.
Le coût moyen d’un séjour dépend du nombre de participants au voyage et de la période de départ. Pour le Sud algérien (de Tamanrasset à Djanet), il varie entre 70 et 120 euros par jour.
Depuis 10 ans, Nagib Rouagdia, directeur de CEPSH localisé entre la France et l’Algérie, organise pour sa part des treks management pour décideurs dans le désert algérien, à Timimoun.
Il accompagne des entreprises, principalement des PME/PMI intervenant sur les marchés de la haute technologie et de la recherche et développement.
« Recueillement, retour sur soi, et découverte de populations...»
« Nous organisons ces séjours
pour des cadres juniors et seniors de sociétés allemandes, françaises,
belges et italiennes. L’objectif est de développer la cohésion au sein
des équipes s’agissant de la transmission des apprentissages. »
Le coût moyen est de 2 000 à 2 500 Euros la semaine. Et pour ceux qui préfèrent le confort des hôtels à celui plus spartiate des nuits à la belle étoile, le Gourara Hôtel saura les contenter.
Localisé à Timimoun, l’établissement travaille avec l’Office nationale algérien du tourisme (ONAT), Point Afrique, le Touring club d'Algérie.
« Notre hôtel reçoit un grand nombre de retraités, principalement des Français, mais également des Allemands, des Espagnols, des Italiens.
Nous comptons également une clientèle d'affaires qui travaille pour les multinationales pétrolières installées dans le Sud algérien ainsi que des missionnaires. La durée moyenne des séjours est de 4 jours », précise Monsieur Ouyahia, directeur de l’établissement.
S’agissant de la partie MICE, le pourcentage oscille entre 35 à 40 % du chiffre d'affaire global.
A noter que l’hôtel sera fermé pour cause de travaux de rénovation avant le mois de juin, pour une durée de 10 mois.
Le coût moyen est de 2 000 à 2 500 Euros la semaine. Et pour ceux qui préfèrent le confort des hôtels à celui plus spartiate des nuits à la belle étoile, le Gourara Hôtel saura les contenter.
Localisé à Timimoun, l’établissement travaille avec l’Office nationale algérien du tourisme (ONAT), Point Afrique, le Touring club d'Algérie.
« Notre hôtel reçoit un grand nombre de retraités, principalement des Français, mais également des Allemands, des Espagnols, des Italiens.
Nous comptons également une clientèle d'affaires qui travaille pour les multinationales pétrolières installées dans le Sud algérien ainsi que des missionnaires. La durée moyenne des séjours est de 4 jours », précise Monsieur Ouyahia, directeur de l’établissement.
S’agissant de la partie MICE, le pourcentage oscille entre 35 à 40 % du chiffre d'affaire global.
A noter que l’hôtel sera fermé pour cause de travaux de rénovation avant le mois de juin, pour une durée de 10 mois.
« Recueillement, retour sur soi, et découverte de populations à l’hospitalité légendaire, cela il n’y a que notre grand Sahara pour vous le garantir », confirme Cherif Rahmani, ministre de l’Aménagement du territoire, de l’Environnement et du Tourisme.
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Véronique NARAME
Jeudi 25 Février 2010
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