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T H A L A S S A
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Vendredi 02 mai à 20h50
Accueil
Thalassa ouvre une jolie page sur un grand pays maritime, l’Algérie, qui depuis des décennies avait un peu oublié son bord de mer. A travers trois reportages, c’est un regard neuf et inattendu sur l’Algérie que Thalassa vous propose : une poignée de volontaires qui se bat contre ceux qui défigurent ses côtes, un passionné qui cultive les coquillages, un vieux monsieur observe les changements de son port, Alger. Bords de mer en Algérie, c’est le début d’une nouvelle histoire d’amour entre un pays et sa méditerranée.
Mais Thalassa voyagera aussi dans le grand sud, à la découverte d’un archipel français perdu dans l’Océan indien, les Kerguelen. Dans des paysages magnifiques, de jeunes scientifiques passent l’hiver pour tenter de comprendre et d’analyser l’impact de la présence de l’homme sur cette nature sauvage.
Et puis Thalassa continue son voyage dans le sillage des grands navigateurs, ce soir nous faisons connaissance avec Lapérouse, envoyé par Louis XVI pour découvrir et cartographier d’autres terres. Sur ses traces, Sabine Quindou nous ménera en Mélanésie, dans ces îles méconnues du Pacifique.
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Jijel, un balcon sur la mer
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Jijel, un balcon sur la mer
Un reportage de Malek Sahraoui et Halim Sahraoui.
Une coproduction France 3/ Thalassa/Bonne Compagnie
Quelle agence de voyage propose un séjour sur les côtes algériennes ? Aucune. Le pays est certainement le plus fermé de la Méditerranée. Depuis l’Indépendance en 1962, les autorités n’ont jamais cherché à développer le tourisme. L’exportation des hydrocarbures pourvoit pour l’instant aux besoins du pays. Une volonté toute nouvelle émerge pourtant. L’Algérie veut s’ouvrir, diversifier son économie et donc, mise sur le tourisme. C’est une seconde révolution. L’Algérie se réveille doucement d’un long sommeil et découvre une situation catastrophique sur le plan écologique. La plupart des plages sont polluées, les côtes souillées dans la plus grande indifférence.La corniche de Jijel est l’un des plus beaux sites de la Méditerranée. Une route taillée dans le massif au dessus de criques aux eaux limpides. La région est à l’écart des grands axes de circulation, ce qui l’a préservée d’un urbanisme galopant et d’une grande pollution.
Aujourd’hui, le site est dans la ligne de mire des professionnels du tourisme qui y trouvent tous les ingrédients d’une future destination balnéaire.Mais l’environnement de la corniche est très fragile, son écosystème menacé chaque jour un peu plus. Dans la ville de Jijel, une poignée de femmes et d’hommes se battent pour sauver leur côte. Un engagement citoyen dans un pays où la parole n’est pas toujours facile à prendre.Une petite pousse dans le monde du silence.
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Nono d’Alger
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Nono d'Alger
Un reportage de Malek Sahraoui et Halim Sahraoui
Une coproduction France 3 / Thalassa / Bonne Compagnie
Nono ouvre ses volets tous les matins sur l’un des plus beaux spectacles qui soit : la baie d’Alger.
Ce
vieux pêcheur est le seul à habiter sur un îlot, au bout d’une jetée,
face à la ville blanche. Nono voit Alger aujourd’hui comme une immense
scène de théâtre. Autrefois, il y a joué un rôle, un des grands
personnages du port, de ceux qui alimentent toutes les légendes.
La rencontre avec Nono fige un instant la course folle d’une ville qui s’étend, se transforme et perd ses racines.
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Les pionniers du rivage d'Algérie
Un reportage de Malek Sahraoui et Halim Sahraoui
Une coproduction France 3 / Thalassa / Bonne Compagnie
Les Algériens se nourissent très peu de la mer. Quelques poissons et aucun fruit de mer.
Pourtant, la côte recèle toute une variété de coquilages mais personne ne les consomme, contrairement aux pays voisins. Kamel porte un vieux projet depuis 20 ans. Proposer des moules et des huîtres sur les étals des poissonniers.
Sa ferme marine a ouvert l’an dernier, contre vents marées. Les lenteurs de l’administration et les problèmes techniques sont des obstacles quotidiens mais le plus dur est encore de changer habitudes. Kamel ne voit que des avantages à ses cultures en mer. L’embauche de jeunes et une alternative à la surpêche.
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Capitaine Fatma ! La péche au féminin ! Raïssa !
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Voir le reportage de Thalassahttp://www.dailymot ion.com/relevanc e/search/ thalassa% 2Balgerie/ video/x31d84_ algerie-thalassa _travel
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Reportage mal 'barré' de Thalassa sur l'Algérie. Peut-être que l'équipe des reporters a fait dans l'urrgence. pour des raisons sécuritaires probablement. La cote algérienne est beaucoup plus grande et beaucoup plus interessante que ce reportage laisse voir.
Plus minable que ça, tu meurs... :)
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Convention-cadre entre le Commissariat national du littoral et le Conservatoire du littoral français : Vers la création d’une banque de données sur le littoral
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Une convention-cadre de partenariat entre le Commissariat national du littoral (CNL) et le Conservatoire du littoral français (CLF) a été signée mercredi dernier à Alger, en présence du ministre de l'Aménagement du territoire, de l'Environnement et du Tourisme, M. Chérif Rahmani.
Cette convention, signée par le directeur du CNL, M. Abdelali Begoura, et le directeur du CLF, M. Emmanuel Lopez, a pour objectif de faire profiter le CNL de l'expérience du Conservatoire français, en matière de protection des parties vulnérables du littoral et la protection de la faune et la flore.
La création d'une banque de données sur le littoral algérien, notamment, figure parmi les axes de cet accord présenté par M. Begoura, à l'issue de la cérémonie de signature.
Le CLF est également appelé, dès la mise en oeuvre de cette convention, à fournir une aide technique au personnel et cadres du CNL dans la gestion de ce genre d'espaces ainsi que les procédés susceptibles de préserver le littoral et ses îles des agressions qui portent préjudice à l'environnement.
M. Chérif Rahmani à rappelé, en ouverture de la cérémonie de signature, que le CLF avait accompagné la mise en place du Commissariat national du littoral qui constitue, a-t-il dit, la première structure du genre après le CLF (France), dans l'ensemble du pourtour méditerranéen.
Tout en mettant en évidence le rôle leader du CLF dans la protection du littoral et son importance sur le plan écologique, le ministre a indiqué qu"'il a consenti aussi une contribution importante dans la mise en oeuvre d'une politique de protection du littoral en Algérie et la consécration d'un dispositif juridique visant la préservation du littoral".
"Le conservatoire français accompagne les efforts algériens dans ce domaine depuis 3 ans", a-t-il souligné, ajoutant qu'il détient une grande expérience dans le domaine de la protection des zones humides et les zones vulnérables du littoral".
Il a, à cet effet, relevé que la présence de cet organisme français en Algérie s'inscrit dans le cadre d'une coopération pour la préservation des zones humides et des îles, à l'instar des Ilès Habibas, Rechgoun (l'Ouest du pays) et les Anses de Kouali (Tipasa) qui possèdent un énorme patrimoine de faune et de flore, "dont des espèces uniques au monde", a-t-il dit.
Le CNL fournira également une aide à la partie algérienne dans la mise en place d'un plan de gestion de ces Ilès, a encore précisé le ministre, soulignant que le technicien chargé de l'application de ce plan, aux îles Habibas suit actuellement une formation spécialisée.
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02-05-2008
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