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Son Excellence, Monsieur le Président,
C’est à travers une douleur qui nous habite et loin d’être apaisé, que nous venons très respectueusement solliciter de votre haute indulgence l’autorisation d’une audience.
Nous, les Familles et principalement les familles BOGHARI , résidants essentiellement sur une ancienne carrière coloniale depuis 1952, entre le site de Sainte Salsa et le Douar Hadid, à la sortie Est de Tipaza, Malgré les nombreuses doléances nous avions transmis et souvent de main à main à Monsieur le chef daïra, nous n’avons toujours pas reçu à ce jour une concrète réponse écrite suite à notre négociation qui a permis de sortir d’un lieu où nous avions une intégration et enracinement autour d’un environnement que nous avions crées autour de nos maisons qui ont été entièrement détruites.
Suite aux négociations avec les instances locales Particulièrement avec le Chef Daira et le Secrétaire Générale représentant le Wali de Tipasa et à notre engagement de quitter nos habitations avec toutes les conséquences douloureuses que vous pouvez imaginez, Monsieur le Président, nous sommes surpris de voir que ni la Daïra, ni l’OPGI, nous transmettre notre Acte des appartements dont nous avons été destinataires bien malgré nous et à la dernière minute par manque de communication qui s’affiche encore plus grande même après notre accord de sortir.
Ce qui fût fait ; est fait. Une autre page se tourne, et avec tous le respect que nous devons au Moudjahed Si Abdelkader et père de la réconciliation nationale, une autre colonisation cette fois-ci culturelle et approuvé par l’Unesco à la demande de la Wilaya, qui conditionne le déménagement et recasement d’algériens sur d’autres lieux non réfléchis sur le prétexte d’un développement au sacrifice des enfants de l’Algérie, pour soi-disant un meilleur patrimoine de l’humanité.
Au vu du déficit de communication des collectivités locales et leur absence d’une stratégie concerté et sociale, la Rapidité a été celle retenu par les autorités de la wilaya, pour un projet que nous avons passivement du accepté, mais aujourd’hui sans recevoir la réponse aux promesses faites par Monsieur le Chef Daïra et le Monsieur le Secrétaire Générale à savoir les promesses suivantes :
1- « Vous obtiendrez un Acte au dinar symbolique, dés que vous sortirez et occuperez les appartements que nous vous avons préparé à travers ce recasement ! ... »
2- « … Nous organiserons une étude au cas par cas d’une indemnité selon la superficie et environnement crée !.. »
3- « Nous n’avons pas pour le moment des appartements pour tout le monde, alors les personnes qui habitent parmi vous sur le site seront concernés mais individuellement et seront traités aussitôt que nous poursuivront le recasement pour d’autres sites, car il y’aura d’autres recasement à Tipaza, vous n’êtes pas les seules concernées … nous tiendrons nos engagement, affirme le chef daira et le secrétaire-général en présence du maire… ».
Son excellence, ces trois points qui sont des promesses verbales ont constitués notre accord et négociation qui non toujours pas été tenu alors que nous apprenons que d’autres recasement doivent avoir lieu à Tipaza pour d’autres habitants envers qui nous sont solidaires , alors que nos préoccupations ne recueillent pour le moment aucune réponse et nous inquiète au plus au point,
Sommes convaincus que Son Excellence avait instruit les collectivités locales afin que les recasements se fassent dans la dignité et surtout dans de bonnes conditions avec indemnisations, mais sommes navrés, de voir, que pour le moment aucun responsable ne daignent nous répondre.
A toutes fins utiles, Monsieur le Président, nous tenons à votre précieuse disposition les photos et films d’une cité que les familles dont la majorité d’entres elles occupés depuis 1952, accompagné de la liste et recensements des personnes et familles qui habitaient sur les lieux qui pour quelques se retrouvent sans toit que nous sommes obligé pour l’heure de les loger dans nos hlm par dignité et humanité et ce pour réussir et accompagné le projet d’un classement d’un site ou plusieurs site Patrimoine de l’Humanité.
Nous espérons que le Magistrat du Pays puissent convaincre les collectivités locales de tenir les promesses et de continuer leurs missions celle de vouloir réussir un programme qui dépassent les limites de la culturel civilisationelle.
Dans l’attente d’une éventuelle audience auprès de l’un de vos conseillers pour l’un de nos portes paroles,
Son Excellence,nous attirons votre indulgente attention sur le fait que l'initiative de nous expulser en Trois Jours releve exclusivement de Mon le Wali, une procédure jugé selon l'unesco qui nous a reçu, nous disant que c'est une préocédure qui les a inquiètez au plus au point au point même de convoquer l'Ambassadeur d'Algérie auprès de l'Unesco pour désaprouver cette décision anti-social et qui ne coorespondant nullement aux engagement signé entre l'unesco et l'état algérien. Donc, si un wali décide tout seul sur un coup de tête, alors le développemenbt culturel de tipasa est voué d'ores et déjà à l'échec, selon les termes du responsable du Patrimoine Mondiale, certainement une procédsure qui cache la mauvaise gestion d'un dossier qui demande concertation mutuelle telle que définie dans la convention signé par les deux partie...
Alors, il y'a lieu de s'inquiètez.
Nous vous prions de croire, Son Excellence, Monsieur le Président, en nos sentiments les plus fraternels
Les Familles et leurs enfants.
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