tion hellénistique" (C.Boube-Picot).
45. Enq/clopdia of Word Art, McGraw-Hill, New York 1959, p. 110.
46. Juba, dans Jacoby, F., Die Fragmente des Griechischen Histori- ker, J. Brill, Leiden 1964, Vol. 3a, n.275, p.316.
versale Rizzoli, Milano 1987, p.32.
47. Fall, Y.K., L'Afrique à la naissance de la cartographie moderne, 14ème/15ème siècles : les cartes majorquines, Ed. Karthala, Paris 1982. Par Aethiopia il faut entendre l'Afrique méridionale alors connue jusqu'aux abords des zones sub-sahariennes (Libya étant la partie septentrionale, de l'oasis de Siwah à l'Atlantique) ; cf. Mveng, E., op. cit., pp.90/96.
48. Mveng, E., op. cit., p. 56.
49. Tarn, W.W., La Civilisation Hellénistique, Payot, Paris 1936, pp. 270/271 : "Juba II de Mauritanie, qui achetait n'importe quel faux et compilait des grands travaux non critiques sur toute sortes de sujets en se servant impunément de colle et de ciseaux".
50. Segre, M., art. cit., p.72.
51. Merkelbach, R., introduction aux oeuvres d'Apulée, dans Metamorfosi, Biblioteca Universale Rizzoli, Milano 1987, p.32.
52. Ampolo, C. et Manfredini, M., Plutarco : le vite di Teseo e Romolo, Mondadori, Milano 1988, p. LI. 53.JWd.,L/LI,n.l.
54. Momigliano, A., Saggezza straniera : L'ellenismo e le altre culture, Einaudi, Torino 1980, p.24. Momigliano écrit que si le monde romain adopta pendant longtemps le grec comme deuxième langue, les Grecs par contre ne pratiquèrent pas le latin, et il se demande si cette fermeture linguistique, au moment où s'étendait Yoikouméne méditerranéenne, ne fut pas cause de décadence et stagnation pour la culture grecque.
55. Février, P.-A., op. cit., tome II, p. 66 ; inscription en l'honneur de de Publius Flavius Pudens Pomponianus, dit Vocontius.
56. Ibid., pp.119/121 ; Romanelli, P., op. cit., p.68 "à la fin de la période antique les Libyens demeuraient puniques, une révolution culturelle que Rome ne réussit jamais à contrecarrer".
57. De Sanctis, G., 'Siface', Enciclopedia Treccani, Vol. XXXI, Milano 1930, p.733.
58. Mommsen, T., op. cit., tome II, p.730, n.19, citation d'après Sextus Aurelius Victor, historien romain d'Afrique (Pv^ème siècle)
59. Voir une monnaie d'argent de Juba Rex conservée au Cabinet des Médailles, Bibliothèque Nationale, Paris, num. inv. 860, publiée dans Six Mille ans de Civilisation au Maroc, catalogue du patrimoine muséographique marocain, Ed. Le Petit Palais, Paris 1990, p.270.
60. 'Cléopâtre Reine' ; BA. indique en abrégé le titre fiaoûxooa. (basilissa) ou Bacilicca ; cf.aureus, num. inv. 331, Musée Numismatique de la Banque du Maroc, Casablanca.
61. Momigliano, A., op. cit., p.19. Selon d'autres auteurs, l'utilisation romaine du grec pourrait s'expliquer "par la nécessité de joindre, par delà le public romain cultivé, aussi le monde non latin méditerranéen, et cela surtout pour essayer de contraster l'influence d'une certaine historiographie grecque philocarthaginoise", Conte, G.B. et Piannezzolla, E., Storia e testi délia letteratura latina, tome I, Le Monnier, Florence 1990, p.132.
62. Monod, Th., Au bord de l'Océan Ténébreux : Atlantique et Afrique, Institut Français d'Afrique Noire, Saint-Louis 1944, p. 6.
63. Kerényi, K., Gli Dei e gli Eroi délia Grecia, Garzanti, Milano 1976, tomes II, pp. 87.
64. On peut trouver textes et analyse des périples dans E.Mveng, op. cit., H, 6.
65. Segre, M., art.cit., p. 74, n.3.
66 "Que la source soit un auteur latin est prouvé par le fait que les noms de toutes les îles, excepté Ombrion, sont en forme latine, alors que Pline ne traduit généralement pas les noms grecs, et puisque dans ce même texte il cite Sebosus, il doit en être la source", Segre, ibid., n.l
67. Fall, Y.K., op. cit., p.195, à propos de la légende, donnée dans des cartes de l'Afrique des siècles XN et XV, sur les Banu Khaleb/Benicheleb/Banu Caleb etc., il écrit "pour Krestchmer, il faudrait voir la source de ces légendes dans la géographie antique"et cite Strabon, Pline et Solin (qui parle de gens aux têtes de chiens sachant seulement aboyer) ; on pourrait se demander si cette légende ne fut pas alimentée par l'histoire ancienne des chiens de Canaria.
68. Mendes Correa, A.A., 'Canarie : etnologia', Enciclopedia Treccani, vol. VIII, Milano 1930, p.684.
69. Dans la version du récit de Juba II chez Pline (VI, 204) on parle d'une autre île voisine appelée elle aussi Junonia ; mais Sebosus et Ptolémée - qui ne s'accordent pas sur tous les noms et sur le nombre des îles - en mentionnent une seule avec ce nom. Y eut-il aussi confusion avec les renseignements, par d'autres sources, sur le groupe Madera/Porto-Santo ? Ptolémée mentionne, parmi les Fortunées, une île qui aurait été appelée 'jamais visitée ou touchée avant' (aprositos nesos), selon Segre elle serait l'unique qui Juba aurait réellement prétendu avoir découverte.
70. Junon était appelée aussi Junio caprotina ; le Musée du Vatican conserve une statue en marbre de Junon représentée revêtue d'une peau de chèvre ; d'origine étrusco/latine Juno fut assimilée à Héra à laquelle aussi, en Grèce, on immolait des chèvres ; à Sparte on appelait Héra 'dévoratrice de chèvres'. Le nom d'Héraklès signifie 'gloire de Héra', cf. Graves, R., I miti Greci, Longanesi, Milano 1998, p.413, n.l.
71. Kerényi, K., op. cit., tome I, pp.91/92..
72. Fantar, M., Eschatologie phénicienne punique, Ed. INAA, Tunis 1970, p.14.
73. Février, P.-A., op. cit., tome II, p.13.
74. Dans les cartes majorquines du XlVème analysées par Yoro Fall (op. cit.) elles sont appelées encore plus souvent Des Fortunées que Canaries.
75. Segre, M., art. cit., p.76, al
76. ibid., p.79,n.l
77. Fall, Y.K., op.cit., p.218 ; Ibn Fâtima - d'après la citation d'Ibn Sa'd - parle de la culture de la canne à sucre "des Djudla, près du Djebel al-Lamm" ; il s'agit, écrit Fall, des Gozola/Gutzo- la du nord de Cap Bojador des cartes majorquines.
78. ibid., paragraphe sur 'les pêcheurs des côtes sahariennes', pp.158/160. Y.Fall se demande si "les cartographes majorquins ont-ils pu disposer du récit d'Ibn Ftima".
79. Enl981, la revue marocaine Amazigh (n.6) reproduisait l'article "Mille ans avant Colomb des Marocains ont découvert l'Amérique" ; le Prof J. Galager, archéologue à la Fordham Uni- versity, aurait découvert une inscription dans le Connecticut qui témoignerait de l'arrivée vers l'année 480 d'un groupe d'exilés du Nord-afrique ; selon l'auteur ceci confirmerait une autre inscription, trouvée dans la région de Figuig, faisant allusion à des navires partis du port marocain de Teth (Tit ? ) pour traverser l'Atlantique... In the European discovety of America, Oxfort Press, N.Y. 1971, p. 22, Samuel Morrison réfute l'hypothèse de voyages atlantiques pré-colombiens afro-phéniciens tout en citant de nombreuses recherches et publications qui les prouveraient.
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