En ces temps où les chemises brunes et un avenir sombre menacent notre société, voici un livre qui vient à point pour expliquer d’où vient l’extrême-droite française.
Jean-Philippe Ould Aoudia, dont le père a été assassiné par un commando OAS, publie OAS, archives inédites et révélations, aux éditions Tirésias.
Très documenté, riche en détails historiques et en informations inédites, cet ouvrage montre que le terrorisme et l’obscurantisme des idées peuvent survenir à tout instant, alors même qu’on s’en croit protégé par un système, soit-il démocratique.
Préfacé par Sylvie Thénault, l’ouvrage démontre aussi que ne pas dénoncer et accepter les idées qui mènent au fascisme est « une faute contre la République »…
Jean-Philippe Ould Aoudia né le 4 septembre 1941 à Alger. Médecin à la retraite il est l’auteur de plusieurs ouvrages aux éditions Tirésias-Michel Reynaud. Et a collaboré à plusieurs ouvrages sur la guerre d’Algérie. Il préside l’association Les Amis de Max Marchand, de Mouloud Feraoun et de leurs Compagnons qui honore l’œuvre et la mémoire de six dirigeants des Centres sociaux éducatifs, — créés Germaine Tillion dont ces cendres entrent au Panthéon en mai 2015 —, assassinés par l’OAS sur leur lieu de travail et dans leur mission d’éducation.
OAS
Archives Inédites, Révélations
Auteur : Jean-Philippe Ould Aoudia
Préface : Sylvie Thénault
Illustrations : nombreux documents et lettres manuscrites
Format : 16x24. 182 pages
ISBN : 979-10-96330-22-7
Date de parution : 2024
Éditions Tirésias
https://editionstiresias.com/produit/oas/
En PJ, le bon de commande ainsi qu’une bibliographie de l’auteur.
Messages
1. la force locale algérienne 19 mars 1962 juillet 1962 , 26 juin, 15:57, par priou yvon
Dans la tourmente algérienne, pendant les trois mois de la Période Transitoire
par le non-respect de l’OAS, du Cessez le feu en Algérie du 19 mars 1962-
- un militaire du contingent de 2e classe, natif de Vouneuil-sous-Biard 86, qui avait été mutés d’office par l’Armée Française, dans l’unité 434 de la force locale Algérienne * comme Militaire Français du contingent de Métropole, pour aides et pacification, en subissant une énorme et inoubliable humiliation
– en ayant l’obligation en plus comme mission, tous les jours de recevoir un Lieutenant de l’ALN émissaire du GPRA de Tunis, pour le conduire à son capitaine FSE pour les rassemblements
a été oublié ensuite, comme ses camarades militaires du contingent FSE mutés comme lui en force locale,
et qui de plus, ont été déclarés déserteurs en juillet 1962, car cette période militaire transitoire n’est pas inscrite sur nos livrets militaire individuel
témoigne dans ce livre avec un Militaire Algérien du contingent d’Alger, sur le parcours qu’ils ont effectué ensemble dans les Aurès avant le 19 mars 1962 pendant la guerre d’Algérie à Tifelfel, ou la guerre avait débuté en 1954, et, ensuite dans la force locale Algérienne à Tifelfel, Tkout et Guyotville, jusqu’à l’indépendance.
*(Accords d’Evian )-10% FSE -90 % FSNA - dans les 114 unités constituées par plus de 91 régiments de l’armée Française sur toute l’Algérie, pour cette période transitoire du 19 mars a juillet 1962