Bernard-Henri Lévy jouant au ministre de la Guerre avec l'argent des Français. D. R.
«Ainsi donc, l’Algérie a choisi son camp, celui du terroriste Poutine, du mafieux Prigozhin [Evgueni Prigojine, fondateur du groupe Wagner, ndlr], des crimes contre l’humanité sans nombre, de la guerre contre les démocraties et, tôt ou tard, de la défaite. Au moins, les choses sont claires.» Dixit Bernard-Henri Lévy. Que répondre à ce philosophe de pacotille, automate en plastique de l’Internationale sioniste imposé à la classe dirigeante française, tous courants confondus, et aux outils de propagande officiels et officieux sommés de consacrer un espace à ce cornet amplificateur de voix à chaque fois que de besoin pour répercuter le discours de la guerre que lui dictent ses initiateurs ?
Qui mieux que les Français eux-mêmes connaissent le vrai visage de cet escroc qui siphonne l’argent du contribuable français pour la réalisation de ses lubies, lui qui aime jouer au soldat tiré à quatre épingles dans de faux décors ? Nous prenons la liberté de reproduire un article éloquent de L’Observatoire du Journalisme – Slava Ukraini de BHL : le bide du siècle ? – sur les frasques de l’assassin du guide libyen Mouammar Kadhafi pour le compte de son acolyte Nicolas Sarkozy.
«Après Pourquoi l’Ukraine diffusé sur Arte en juin 2022, bijou de propagande lacrymale, Bernard-Henri Lévy a commis Slava Ukraini (Gloire à l’Ukraine), un documentaire sorti en salles à la fin du mois février. Ne reculant jamais devant un éclat de rire, nous nous étions infligé le chef-d’œuvre de BHL l’année dernière. Cette fois-ci, nous avons passé notre tour, et nous ne sommes manifestement pas les seuls à avoir agi ainsi.
Les fans de BHL, une espèce excessivement rare
Ils étaient 208 à se rendre en salles le 22 février, date anniversaire du début de la guerre russo-ukrainienne, pour visionner le nouveau film de BHL. Si l’on retire à cela la cour réunie par le réalisateur-philosophe le soir de la sortie de son film au cinéma l’Arlequin, dans le très cossu 6e arrondissement de Paris, ce sont environ 150 personnes qui ont en France fait l’effort de payer leur entrée.
Il s’agit là évidemment d’un flop intégral, d’une humiliation qui conduirait tout réalisateur normalement constitué à mettre un terme définitif à sa carrière. Mais tout indique que rien n’arrêtera BHL qui, il est vrai, utilise l’argent des copains.
BHL, d’un flop l’autre
L’homme à la chemise déboutonnée enchaîne, en effet, les humiliations depuis le début de sa carrière cinématographique. Même lorsqu’il avait mis en scène Arielle Dombasle, son film Le Jour et la Nuit n’avait attiré que 73 147 spectateurs en 1997. Cet échec n’avait pas découragé BHL, qui, treize ans plus tard, en 2010, a eu le culot de faire réaliser un documentaire sur son propre film, Autopsie d’un massacre.
En 2012, son Serment de Tobrouk, sorte de caution pseudo-documentaire à son travail d’influence politique, n’avait récolté que des mauvaises critiques, alors que même sur le plan de la promotion BHL avait sorti l’artillerie lourde, son film ayant été présenté hors compétition au Festival de Cannes. Résultats des courses : 2 540 entrées au total. Plus récemment, en 2015, sa pièce de théâtre Hôtel Europe, un one-man-show sous la forme d’un monologue en cinq actes, autrement dit un discours castriste à la sauce mondialiste, avait dû arrêter les frais en cours de route, faute de spectateurs.
Avec l’argent des autres, le ridicule ne tue pas
En réalité, toutes les entreprises «journalistiques» et «artistiques» de BHL sont de cuisants échecs. Et pourtant, BHL court toujours, de théâtre d’opération en théâtre d’opération, mais surtout de théâtre en théâtre. Une véritable incontinence cinématographique… Possible en partie grâce à l’argent du contribuable français !
Sur les 800 000 euros engagés pour réaliser et produire son dernier navet, 300 000 proviennent de France Télévisions, sans compter la surface médiatique dont dispose BHL pour faire la promo de ses lubies. Quand il ne parvient pas à soutirer de l’argent aux Français pour faire ses films, il toque à la porte de ses amis oligarques français, Drahi et Pinault.
BHL, une anomalie française
A l’image de ses films, ses livres sont également des bides, sauf quand il se met à parler de sujets intéressant le plus grand nombre. Le grand bourgeois BHL n’avait, en effet, pas supporté le premier confinement. Privé de soirées mondaines, de théâtre et de voyages, il avait signé Ce virus qui rend fou, écoulé à plus de 14 000 exemplaires, un record pour un livre de BHL, même si cela reste modeste au vu de la promotion et de la distribution dont a bénéficié l’ouvrage.
En définitive, BHL est à lui tout seul un argument pour ceux n’en pouvant plus des médias de grand chemin et de ces élites chaque jour un peu plus coupées des réalités. Il est la preuve que le système médiatique français ne tourne plus rond depuis belle lurette. Dans un monde désintoxiqué de toute cette propagande mondialiste, BHL ne serait qu’un héritier argenté quelconque publiant à compte d’auteur, à qui il ne viendrait pas à l’idée de vouloir expliquer aux Français ce qu’il est bon de penser ou non.»
Que dire de plus ? Comment les Français se laissent-ils racketter par ce vaurien ?
juin 19, 2023
https://www.algeriepatriotique.com/2023/06/19/lautomate-tueur-du-lobby-sioniste-bernard-henri-levy-menace-t-il-lalgerie/
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