Thomas Legrand, petit journaleux au service de l'Internationale sioniste. D. R.
Un journaliste français du quotidien de gauche Libération s’est permis d’attaquer injustement Algeriepatriotique dans une sortie qui n’est pas si hasardeuse que ça car elle répond évidemment à un agenda bien particulier, confirmant les manœuvres perfides d’un certain lobby qui agit depuis l’Hexagone pour déstabiliser l’Algérie. En effet, le timing choisi par le journaleux Thomas Legrand n’est pas du tout fortuit. Son article intitulé «Diatribe antisémite contre Benjamin Stora au vu et au su du pouvoir» (rien que ça !) n’étant en fait qu’un prétexte que cet hypocrite à la solde de «qui l’on sait» utilise pour faire passer un message au pouvoir en place au pays des droits de l’Homme qui conserve les crânes de certains de nos martyrs… au Musée de l’Homme de Paris. Donc, vos histoires de droit de l’Homme et tutti quanti pas à nous, et surtout pas venant de vous !
Son écrit diffamatoire est, en fait, une réponse évidente à tous ceux qui s’évertuent à s’ingérer dans les affaires algéro-algériennes en prétextant la promotion des libertés dont la liberté de la presse. Et sûrement que ce plumitif agit à la demande de ceux qui cherchent, sans succès, à vouloir imposer à l’Algérie une vision du monde bien particulière. Il suffit de voir ce qu’il est advenu de la Libye qui a été détruite par ces mêmes Occidentaux pour comprendre où ces démons-crates veulent nous mener. Et ça ose encore, sans vergogne, nous parler démocratie et libertés. M. Legrand, c’est bien la France de Sarkozy qui est derrière l’assassinat de Mouammar Kadhafi face à la caméra. Et quel rôle joue régulièrement votre BHL national qui sème le chaos partout où il passe, n’est-ce pas ? Bon, bref ne parlons pas trop de BHL sinon je risque d’être accusé d’antisémitisme. Car cette accusation d’antisémitisme, c’est juste un moyen perfide que vous avez trouvé pour attaquer ce journal, non ? Bien-sûr, c’est évident.
Je ne parlerai pas non plus des propos de votre ancien ministre des Affaires étrangères M. Laurent Fabius qui a osé dire que le groupe terroriste Al-Nosra, c’est-à-dire Al-Qaïda, faisait du bon boulot en Syrie. Non, je ne le dirai pas pour ne pas être qualifié d’antisémite. L’accusation d’antisémitisme à l’encontre d’Algeriepatriotique n’étant, sous la plume téléguidée de ce journaliste, qu’un prétexte qu’il utilise pour arriver à ses fins. Comme on dit, «la fin justifie les moyens». Donc, M. Legrand utilise la question de l’antisémitisme pour arriver à ses fins. CQFD. Il ne fait qu’instrumentaliser le sempiternel chantage à l’antisémitisme qui fait recette quand on y met les formes. Mais dans le fond, ce qui semble déranger ceux qui sont à la manœuvre derrière cette attaque sournoise contre le journal algérien n’est pas ce prétendu antisémitisme contre l’historien Benjamin Stora mais l’actualité en Algérie. M. Legrand veut donner à l’Algérie des leçons des libertés à l’endroit de notre pays. Toujours cette arrogance française qui l’empêche de tirer elle-même les leçons de son histoire. Il attaque ce journal en utilisant la judéité de l’historien Stora de manière hypocrite car on a bien compris que le problème pour lui et ceux qui se cachent derrière cette manœuvre précommandée se situe ailleurs.
Le voilà donc à nous dresser un tableau noir de la situation de la presse en Algérie qui «ne cesse de se refermer», selon ses dires. Il nous parle d’une «dégradation du débat général que l’on constate avec cette mécanique infernale, maintenant bien connue». Quelle sortie, on y croirait presque à ces propos qui reflètent, en fait, la réalité faussée de ceux qui ont fait des mensonges et des détournements de la réalité des faits leur spécialité au quotidien.
Legrand continue sa petite leçon de démocratie à travers son regard de citoyen et de journaliste français soi-disant irréprochable ouvert au monde. Il nous explique ainsi : «Dans les sociétés ouvertes et pluralistes comme les nôtres, la presse, le monde universitaire et le personnel politique continuent, tant bien que mal, à s’échanger des arguments et à proposer une diversité d’angles de vue. Mais dans les sociétés fermées, comme l’est de plus en plus l’Algérie, l’effet polarisant d’une vision du monde paranoïaque joue à plein.»
Tout cela pour en venir à l’actualité algérienne et, plus particulièrement, à la situation de la liberté de la presse en Algérie. Il prend le prétexte de la fermeture du journal Liberté pour en venir au cas du journaliste au rabais Ihsane El Kadi qui a été arrêté il y a quelques jours et dont les deux médias, Radio M et Maghreb-Emergent, ont été ciblés par des mesures administratives.
Mais notre journaliste français prend des libertés avec la réalité des faits. Tout d’abord, il faudrait qu’il s’informe avant de prétendre vouloir informer. Thomas Legrand devrait travailler son sujet avant de faire des sorties hasardeuses qui ne mèneront à rien sinon à se décrédibiliser. Avant d’écrire n’importe quoi sur le journal Algeriepatriotique qu’il accuse de manière éhontée et mensongère d’être un site proche des militaires au pouvoir à Alger, notre arrogant donneur de leçons devrait revoir sa façon de travailler. Je dis cela humblement en tant que lecteur fidèle de ce journal algérien. Mais quand on a affaire à tant de mauvaise foi, comme c’est le cas avec ce journaliste français, il ne faut pas hésiter à dire les choses. Il a beau être journaliste, français, champion du monde exportateur des valeurs universelles toutes catégories confondues, on ne va pas se laisser endormir et enfumer comme ça sans rien dire. M. Legrand, le journal Algeriepatriotique, au cas où cela vous aurait échappé, n’est pas proche du pouvoir d’Alger comme vous le nommez du haut de votre arrogance occidentale puisqu’il y est frappé par la censure depuis des années.
Ensuite, au lieu de vous lancer dans des accusations comme vous le faites, les autorités algériennes sont compétentes et savent très bien ce qu’elles font. Et concernant le cas de votre protégé Ihsane El-Kadi des preuves accablantes contre lui ayant conduit aux mesures frappant ses deux médias existent. Et ce n’est pas pour rien que je l’ai qualifié de journaliste au rabais puisque c’est ce qu’il est. Et son travail de journaliste aussi était un travail au rabais. C’est la définition de plumitif. Un mercenaire qui se cachait derrière sa fonction par opportunisme. Ce n’est pas une insulte puisqu’il relève de faits connus depuis un bon moment déjà. Vous voulez défendre la liberté de la presse en Algérie qui est à la botte de la France car, et c’est un secret de Polichinelle, elle est elle-même financée par le Quai d’Orsay, c’est-à-dire votre ministère des Affaires étrangères. Et ça, vous le savez très bien, n’est-ce pas ? Pas étonnant donc que dans votre billet d’humeur vous y avez glissé perfidement «au vu et au su du pouvoir». C’est plus qu’un message subliminal, sans aucun doute.
Vous accusez sans fondement un journal algérien car deux médias en Algérie, qui sont financés avec des fonds étrangers, agissaient en toute illégalité depuis des années, utilisant des méthodes subversives dans le but de déstabiliser le pouvoir. Mieux vaut laisser la justice algérienne faire son travail dans ce dossier de Ihsane El-Kadi. Les autorités en place savent ce qu’elles font.
Quant aux accusations contre Algeriepatriotique concernant un prétendu discours à caractère antisémite et d’être à la solde du pouvoir d’Alger, ce ne sont que des allégations vite fait démontables. Car on a vite fait de comprendre que vous vous servez de la judéité de M. Stora pour arriver à vos fins. Quelle perfidie vraiment !!! Une petite question, M. Legrand : ne seriez-vous pas vous-même un peu antisémite sur les bords à l’encontre des Algériens ? Tant de clichés ne peuvent être le fruit du hasard. Normal, dans un pays qui n’a pas soldé son passif au regard de son histoire et qui continue d’avoir une attitude pleine d’arrogance qui démontre bien que l’idéologie colonialiste est toujours vivante dans la classe politique française, toutes tendances confondues, mais aussi dans certains milieux qui vivent toujours dans une nostalgérie. Pas étonnant que l’Assemblée nationale française vient d’élire un nostalgique de l’Algérie française, membre du Rassemblement national, José Gonzalez, sympathisant de l’ancienne organisation terroriste OAS, à la vice-présidence du Groupe d’amitié France-Algérie. Incroyable mais vrai !
Le journaliste Thomas Legrand devrait nous donner la définition d’officines de propagandes diverses quand ils visent certains journaux algériens qui ne sont financés ni par la France (comme c’était le cas des deux médias Radio M et Maghreb-Emergent), ni par l’Algérie. Car, je me répète, Algeriepatriotique est un journal indépendant qui est censuré en Algérie et qui ne reçoit de fond d’aucune officine.
C’est vraiment incroyable cette inversion accusatoire. Que Legrand donneur de leçons sache que s’il y a bien un domaine dans lequel excellait Ihsane El Kadi et ses comparses, c’est bien celui de la propagande. Car les deux médias de M. El Kadi qui ont été frappés par des mesures administratives étaient bel et bien des outils de propagande qui officiaient au vu et au su de tous, depuis des années, dans le but de renverser le pouvoir en utilisant la subversion comme méthode de travail.
Algeriepatriotique n’est pas un outil de propagande officiant avec des méthodes particulières et ne cherche en aucun cas d’influer sur la politique interne de pays tiers comme la France, par exemple. Ce journal électronique algérien n’est pas lié, ni de près ni de loin, à des groupes classés comme organisations terroristes. M. Legrand, renseignez-vous donc, si vous ne l’êtes pas déjà, sur l’organisation terroriste Rachad, qui est en fait l’émanation de l’ex-FIS dissous (Front islamiste du salut).
L’Algérie a combattu vaillamment le terrorisme islamiste durant la décennie noire, et son Armée nationale et populaire n’a jamais cessé de lutter contre la vermine intégriste. Elle continue ainsi de veiller, sans relâche, à la sécurité de ses habitants et à l’intégrité du territoire national. Car la souveraineté en Algérie est sacrée. Mais certains ont préféré brader notre souveraineté au profit d’officines étrangères, en utilisant de façon détournée ces fameuses libertés : liberté de la presse, liberté d’informer, liberté d’expression… A ce niveau-là, on peut dire que la liberté à bon dos, surtout quand on sait que les libertés dont certains se font aujourd’hui les défenseurs sont celles qui conduisent inévitablement au chaos comme en Irak, en Syrie, en Lybie… L’Algérie est vaccinée car elle a connu les affres du terrorisme islamiste. Et M. Ihsane El-Kadi fait partie de ceux qui ont flirté avec ceux qui ont du sang sur les mains et qui revendiquaient les assassinats de journalistes et de gauchistes comme Mourad Dhina, du mouvement terroriste Rachad, ex-FIS. M. Ihsane El-Kadi a milité, on sait aujourd’hui pourquoi, pour que l’organisation terroriste Rachad rejoigne le mouvement populaire hirak, qui avait été dévoyé et détourné de ses aspirations légitimes une fois qu’il fût infiltré par des groupuscules extrémistes, qu’il s’agisse de l’extrémisme islamiste avec Rachad ou l’extrémisme identitaire avec le MAK.
Je conseille donc à M. Thomas Legrand un célèbre youtubeur algérien en la personne de M. Rafaa. Un vrai nationaliste algérien qui défend avec ferveur et dignité notre nation en mettant à nu toutes les méthodes et les stratagèmes utilisés par tous ceux qui se révèlent être de véritables dangers pour la sécurité nationale en Algérie, mais également un véritable danger pour l’humanité entière. Je lui conseille également les travaux de notre cher Professeur M. Ahmed Bensaada, un autre nationaliste algérien compétent et qualifié. Ils vous donneront des leçons de ce qu’est un travail d’investigation de qualité. Et quand M. Thomas Legrand met en avant l’échange d’arguments et la diversité d’angles de vue, qu’il sache qu’Ihsane El-Kadi et sa clique ont toujours refusé le débat contradictoire, préférant rester figés dans cette posture de faux opposants. M. El Kadi allant même jusqu’à insulter le Professeur Bensaada de barbouze lors de la sortie de son livre Mais qui sont ces ténors autoproclamés du hirak ? qui mettait à mal ceux qui ont, en fin de compte, dévoyé et détourné ce mouvement populaire à des fins plus qu’obscures.
Je rappelle à M. Legrand qu’être nationaliste n’est pas un gros mot pour les Algériens car notre nationalisme est issu du mouvement révolutionnaire national qui a conduit à la libération du pays après 132 années de colonisation. Notre nationalisme n’est pas expansionniste lui, il ne menace pas d’autres pays comme celui des Occidentaux. Au contraire, puisqu’il a même servi d’exemple dans les pays du tiers-monde à des mouvements révolutionnaires et/ou de libération qui avaient à cœur l’indépendance de leurs territoires et l’émancipation de leurs peuples de l’oppression de vos sociétés dites modernes. L’Algérie a su jouer ce rôle dans le Mouvement des pays non alignés de manière non arrogante. Elle aspire, comme de plus en plus de nations, à une vision multipolaire du monde. Elle ne veut pas tomber dans le piège de la paranoïa que veulent nous tendre ceux qui n’ont jamais pu accepter notre indépendance et qui se sont cru obligés de nous donner des leçons de façon arrogante. C’est fini le temps des colonies, M. Legrand ! L’Algérie a accédé à sa libération et ne compte pas se soumettre à l’ancien colonisateur qui semble ne pas vouloir se détacher de cette idéologie colonialiste.
L’Algérie a toujours su conserver cette position de non-alignement dans sa relation au monde. Elle n’a pas, contrairement aux pays occidentaux et notamment à la France, une empathie à géométrie variable concernant la guerre en Ukraine. C’est pour cela que l’on n’a pas à recevoir de leçons de quiconque en matière de libertés, en matière de lutte contre le terrorisme islamiste… L’Algérie est fidèle à ses principes et ne bradera jamais sa souveraineté sous couvert de la promotion des «valeurs universelles des droits de l’Homme» d’un pays qui refuse d’assumer son passé criminel et qui vient d’élire à la vice-présidence du Groupe France-Algérie un député du Rassemblement national, nostalgique et sympathisant de l’OAS.
Que Thomas Legrand nous parle plutôt du rôle pro-pédophilie du journal Libération dans lequel il officie en tant que journaliste. Car le journal Libération est mal placé pour faire la leçon à Algeriepatriotique, surtout quand on a avoué avoir protégé un journaliste pédophile. Ainsi, de ses 10 à ses 18 ans, le jeune Franck Demules a été abusé par le journaliste Christian Hennion, alors qu’à la rédaction du journal tout le monde était plus ou moins au courant. Libération qui a employé et défendu un journaliste emblématique pédophile. Ce n’est pas nouveau puisque certains ont dénoncé à plusieurs reprises le rôle pro-pédophilie du journal Libération. Sa position face au cas Matzneff symbolise également l’attitude d’une certaine presse de gauche. Comme le journal Le Monde par ailleurs (et que dire du silence complice autour des affaires sordides de Pierre Bergé et Yves Saint-Laurent autour de la fameuse villa Marjorelle à Marrakech…).
Vive l’Algérie une et indivisible !
Vive l’ANP digne héritière de l’ALN !
janvier 5, 2023 - 9:26
https://www.algeriepatriotique.com/2023/01/05/reponse-au-journal-de-liberation-qui-accuse-algeriepatriotique-dantisemitisme/
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L'historien Benjamin Stora victime d'un “antisémitisme insupportable”
Certains y lisent une nouvelle preuve de ce que l’Aglérie se replie sur elle-même, mais d’aucuns constatent surtout l’agressivité et la violence du propos. L’universitaire Benjamin Stora, qui enseigne l’histoire du Maghreb contemporain, est pris à partie dans un média algérien. Et ce, alors que les journaux indépendants endurent de virulentes attaques.
Le Pen Club français a réagi, en condamnant la diatribe médiatique. Leur tribune est ici reproduite dans son intégralité.
Pour Benjamin Stora lâchement attaqué avec l’aval du pouvoir algérien !
C’est sur le site Algérie Patriotique proche du pouvoir militaire algérien que Benjamin Stora, auteur d’un remarquable travail de mémoire concernant l’histoire partagée de la France et de l’Algérie se voit attaqué. Et ce en des termes qu’il faut bien qualifier de marqués par un antisémitisme insupportable.
« La pauvre France est en droit de se faire conduire comme bon lui semble dans l’écriture de son histoire, mais le peuple algérien refuse d’emprunter ce même chemin tracé par Benjamin Stora, ses semblables et ses aïeux. Ceux-là mêmes qui furent à l’origine de la prise d’Alger, les Bacri et les Busnach — commerçants véreux convoitant l’immense trésor de la Régence pour leurs maîtres les Rothschild, les Seillière et les Schneider »
Aucune critique de ce boulet à l’initiative des institutions algériennes ou dans la presse comme si c’était là un point de vue recevable et partagé !
À l’heure où l’Algérie bâillonne ses citoyens, arrête le directeur de radio M et de « Maghreb émergent » qui comptaient parmi les seules voix libres et démocratiques restantes et les condamnent à des fermetures inacceptables, Le Pen Club français veut affirmer sa solidarité avec le peuple algérien menacé dans ses droits les plus élémentaires.
Il apporte tout son soutien à Benjamin Stora, historien de haute tenue qui incarne l’honneur de notre pays par les recherches scientifiques et équilibrées qu’il mène, un travail rigoureux pour faire éclore la vérité à charge et à décharge des deux peuples qui aspirent aujourd’hui, nous n’en doutons pas, à une vraie collaboration.
Antoine Spire et Le Pen Club français
07/01/2023 à 12:57
https://actualitte.com/article/109437/tribunes/l-historien-benjamin-stora-victime-d-un-antisemitisme-insupportable
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