Pour les Algériens qui aiment, encore, lire...
Avant que vous ne lisiez, écoutiez ou regardiez la suite, je tiens à préciser à ceux et à celles qui ne font pas la différence entre « le baiser et la morsure »... morsure, ce dont « à quoi rêvent les loups », il est inutile d'aller plus loin car vous n'auriez pas les capacités à comprendre ce qu'est « l'équation africaine » où il est démontré que « Dieu n'habite pas la Havane » et que « les sirènes de Bagdad » sont loin d'être « les agneaux du seigneur »!
Pour ceux et celles qui savent « ce que le mirage doit à l'oasis », il leur sera aisé d'étancher leur soif du savoir et comprendre, par conséquent, ce « qu'attendent les singes » à l'issue de « la dernière nuit du Raïs », du leader, du chef... attendre quoi ?...
Attendre « la part du mort » qui fait « le sel de tous les oublis »... comme « ce que le jour doit à la nuit » en somme... le sel, la mort et l’oubli ! Les critiques littéraires, surtout chez nous, sont ceux qui sont incapables de produire ce qu'ils critiquent ! Alors qu'ils aillent au diable ou… plutôt pire…qu’ils aillent voir « les hirondelles de Kaboul »... et surtout, à l’occasion, voir si j'y suis ! "L'écrivain" algérien sait qu'écrire en Français sera considéré comme le comble de « l'imposture des mots » dans « l'olympe des infortunes » qu'est devenu le paysage culturel algérien ! Il est conscient qu'il sera jeté dans l'arène des obscurantistes tel un gladiateur et qu'il devra faire face à « l'attentat » dont il sera victime... et lui, bon gré mal gré, puisant sa plume dans l'encrier de ses états d'âme, la lèvera, sa plume, comme un glaive en scandant « morituri » te salutant s'adressant à la foule… foule faisant office de Claude ou César... écrivain convaincu que ses glorieux combats littéraires le rendront immortel aux yeux de Zeus , d’Apollon, d'Allah ou… tout simplement « pour l’amour d’Éléna » ou d'une lointaine cousine nommée k... « cousine k »…k comme kryptonite…qui lui fit découvrir ses faiblesses de superman débutant dans la folle farandole des mots et des lettres qui font les contes qui nous bercent... Il est vrai que « les anges meurent de nos blessures »... et nos blessures sont cette foule dont on est issus qui ne cesse d’enfanter une société où « les vertueux » sont inexistants... un monde de démons !"
Djamel B dit Sidi râle
Avec mon total soutien à notre illustre et talentueux écrivain algérien Yasmina Khadra
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