les confidences d'Etienne Daho sur son enfance
Un livre confession. Ce vendredi 28 octobre, Étienne Daho a publié l'ouvrage Étienne Daho, a Secret Book, dans lequel le chanteur lève le voile sur son enfance, sa famille et son parcours. Un livre riche de 400 pages, écrit par son amie de lycée, Sylvie Coma. Et à cette occasion, l'artiste a accepté d'accorder un entretien à Paris Match ce jeudi 27 octobre.
Étienne Daho est ainsi revenu sur ses huit premières années à Oran, au moment de la guerre d'Algérie. Une époque qu'il évoque aussi longuement dans son livre. "En Algérie, la vie était compliquée à cause de la guerre mais, enfant, on s'accommode de tout et l'on peut même jouer sous les bombes. Mes sœurs et moi devions éviter les cadavres dans la rue, nous baisser pour passer sous les fenêtres par peur de prendre une balle, s'allonger dans les voitures quand on circulait", a confié l'interprète de Week-end à Rome à nos confrères.
Étienne Daho : "je ne voulais pas être considéré comme l'immigré"
En 1960, alors qu'il était encore tout jeune, Etienne Daho et sa mère ont été abandonnés par son père, un militaire de carrière et musicien porté sur la fête. Et en 1964, à l'âge de 8 ans, le garçon quitte l'Algérie avec sa tante Francine, direction Reims dans un premier temps, puis Rennes. "Mon père avait disparu en France en 1960, ma mère comme moi ne pouvions pas quitter l'Algérie sans son autorisation. Donc je suis venu seul avec ma tante et mon oncle qui se sont occupés de moi", a (...)
sam. 29 octobre 2022 à 9:49 AM
https://fr.news.yahoo.com/devions-%C3%A9viter-cadavres-rue-confidences-134931471.html
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