Le conflit franco Algérien (1954-1962) avait opposé la France, une nation post industrielle et électronique à des tribus algériennes traditionnelles, irréconciliablement divisées. Ce qui les rendait d’autant plus vulnérables aux infiltrations et aux manipulations des machiavéliques services coloniaux aux moyens humains et matériels illimités
La récente disparition d’Ahmed Mahsas a fait perdre à jamais à l'Algérie un pan de son histoire contemporaine.
Le congrès de la Soummam ne devrait plus faire aucun doute sur les véritables intentions de ses animateurs : l’administration Soustelle, Ben Khedda, les centralistes, Abane Ramdane et autres.Faute de pouvoir réduire le FLN/ALN par force des armes, l'administration coloniale avait tablé sur la force des ruses et trahisons politiques.
Issu d’une famille qui a porté son lourd tribu, jusqu’à l’exemplarité, de sang, de larmes, de privation de liberté… à la lutte pour la libération de l’Algérie du joug colonial, mon respect à l’égard de la famille révolutionnaire, à ses martyrs, à son peuple, toute génération confondue, est sans aucun doute : permanent, profond, sincère et des plus vifs.
Parce que je suis convaincu que le colonialisme, l’impérialisme, le néo-colonialisme, la corruption, la destruction des pays, la clochardisation des peuples et autres fléaux, trouvent leurs sources et leurs énergie dans le mensonge et la manipulation de l’histoire. Je refuse d’aborder l’histoire de mon pays par l’étroite lucarne de l’analogie, de l’intérêt individuel ou de la « Iqlmia » (régionalisme).
Je m'insurge ici et ailleurs, maintenant et toujours à tout forme d'opportunisme tendant à comparer Abane Ramdane et Larbi Ben M’hidi au préfet-résistant français, à Jean Moulin. Les résitant français en France n'étaient pas forcément des humanistes en Algérie. Les Généraux : de Gaulle, Massu, Bigeard, Aussaresses… étaient des résistants en France mais aussi des tyrans sanguinaires en Algérie pour lesquels les résistants algérins n'étaient que de vulgaires terrorsites et traités avec une extrêm cruauté.
Le journal arabophone el Khabar a récemment publié une interview de feu Ahmed Mahsas qui a révélé, sans toutefois préciser la date exacte, qu’il tenait de feu Abdelhamid Benzine, communiste, qui deviendra directeur du journal « Alger Républicain », qu’Abane Ramdane devait adhérer à l’UDMA, au parti de Ferhat Abbas, parti dans lequel à un moment donné son père a compté parmi ses élus du conseil municipal de Michelet. Il ressort de la même source que c'était donc feu Abdelhamid Benzine qui avait conseillé à Abane Ramdane d’adhérer plutôt au FLN qu’au parti de Ferhat Abbas.
J’ai suffisamment assez d’indices pour ne pas dire de preuves irréfutables selon lesquelles Abane Ramdane n’a jamais appartenu au PPA/MTLD, ni à l’OS, ni aucun mouvement indépendantiste algérien avant sont adhésion au FLN vers avril 1955.
Par quel miracle, avec ses amis centralistes, des condamnés à mort par le FLN, a-t-il pu confisquer la direction de la révolution algérienne en quelques mois aussi bien à l'intérieur du pays comme à l'extérieur ?
Larbi Ben M’hidi était un ancien mais modeste militant nationaliste algérien au sein PPA/MTLD. Cependant, il n’avait jamais appartenu à aucun de ses bureau politique, à aucun de ses comités centraux ni à aucun état-major de l’OS. Il a fait partie des « 22» du CRUA qui l'ont coopté chef de la 5ème région, l’Oranie.
Sa région a certes offert à l’histoire de l’Algérie le premier martyr de la guerre de libération, Ben Abdelmalek Ramadane et le premier condamné à mort guillotiné, Ahmed Zabana, mais c’était aussi la région d’Algérie qui avait fait le moins parler d’elle au lendemain du 1er novembre historique de 1954.
Suite à son échec, Ben M’hidi a abandonné sa région pour aller au Caire remonter les bretelles à Ben Bella. Or, à l’époque de l’OS (1947-1950) la région de l’Oranie était de loin la mieux structurée d’Algérie. L’acte le plus marquant de l’OS, le hold-up historique de la poste d’Oran a eu lieu dans l’Oranie.
Les militants grillés dans les autres régions d’Algérie : Constantinois, Kabylie, Algérois : Aït Ahmed, Boussouf, Ben M’hidi et bien d’autres, trouvaient le gîte et le couvert dans l’Oranie, dans la région dirigée de main de maître par un certain Ahmed Ben Bella.
Sans doute que la rencontre du Caire entre ce dernier et Larbi Ben M’hidi a dû être tendue jusqu’au point de rupture. Et peut-être que Ben M'Hidi avait-il estimé que le soutien des autres membres de la délégation extérieure du FLN n’était pas à la hauteur de ses attentes.
Rappelons que les principaux dirigeants : centralistes, de l’UDMA, des Oulémas : Ferhat Abbas, Ben Khedda, Bachir el Ibrahimi, plus tard Abane Ramdane, avaient critiqué la révolution de novembre et ses déclencheurs de manière encore plus virulente que les colons les plus extrémistes. Leurs critiques leur ont valu des condamnations à mort par le FLN. Certains d’entre eux ont été abattus. D’autres ont échappés de peu à des attentats.
En 1956, la délégation extérieure du FLN recrutait à tour de bras du personnel politique et militaires sans trop regarder dans kleur passé. Elle avait recyclés plusieurs anciens condamnés à morts : Cheikh Abbas, Abdelhamid Mahri, Ferhat Abbas, Ben Khedda, entre beaucoup d’autres. Pourquoi Larbi Ben M’hidi n'avait-il pas trouvé grâce à ses yeux?
Une fois de retour en Algérien, pourquoi le même Larbi Ben M’Hidi n’avait-il pas regagné sa région ? A-t-il ralliés les rangs des condamnés à mort par le FLN, les centraliste et Abane Ramdane par conviction politiques ou par esprit de vengeance contre Ben Bella et la délégation extérieure du FLN ?
Une fois cette dernière écartée de la direction de la révolution par les services coloniaux, ceux qui ont décrété à peine un mois plutôt le fameux slogan : «Primauté de l’intérieur sur l’extérieur" et du « Civil sur le militaire », les membres du CCE autre que Larbi Ben M’Hidi, ont sans encombre quitté l'Algérie pour regagner l’extérieur pour s'y refugier jusqu'au terme de la guerre d'Algérie, où certains d’entre eux étaient devenus des militaires, avec le grade suprême de colonel, sans jamais tirer un seul coup de fusil ni ne tireront sur un seul symbole de la colonisation.
Est-ce par hasard que le seul historique et membre du CCE, arabe, Larbi Ben M’hidi, s’était fait prendre et exécuter par pendaison ?
A noter que la plate-forme du faux congrès de la Soummam n’a jamais été appliquée. Elle a été abrogée par un vrai congrès du Caire d’août 1957 qui avait blâmé et rétrogradé Abane Ramdane que ses amis de la Soummam, Krim Belkacem, Omar Ouamarane, Ben Khedda, Dahleb... ont marginalisé avant de le condamner à mort et de l'escorter au Maroc où il sera liquidé par garrottage.
Aucun algérien qui a connu et- subi les : « Evènements d’Algérie » ne peut croire qu’en 1956, un"Congrès nationalaiste algérien pouvait se tenir au coeur d'un secteur des plus sécurisé d’Algérie, dans la Vallée de la Soummam, sans que les services coloniaux n'en soient informés par le menu voir même sans en être les véritables architectes.
Il existe suffisamment assez d’indices qui indiquent que Larbi Ben M’Hidi, une fois qu’il s’était rendu compte qu’il avait été manipulé par des soummamistes, qui avaient besoin d’un historique arabe pour donner un semblant de légitimité à leur complot, il avait pris ses distances avec eux. N'est-ce pas la raison pour laquelle il a était marginalisé voir même livré à l’ennemi qui l'a arrêté et liquidé parce qu'il savait trop sur ses faux compagnons qu'ils l'ont fourvoyé ?
Par ailleurs, des experts en graphologie ont attribué la rédaction de la plate-forme de la Soummam à des : "...pattes de hauts fonctionnaires de l'administration coloniale." Certains soummamistes ont occupé dans cette administration des fonctions de grattent papiers subalternes. Pourquoi le ou les rédacteur (s) de cette plate-forme, qui a fait pschitt, demeure (nt) t-il (s) anonyme(s), dans un pays où le moindre évènement est qualifié de révolution pendant que le ou les génie(s) qui ont rédigé le chef d'oeuvre, la plate-forme de la Soummam, demeure (nt) encore anonymes un demi-siècle aprè de terme des évènements d'Algérie ? Qui a la trouille de la vérité historique ?
A noter que toutes les régions d'Algérie : la I, la II, la III, la IV, la V, la fédération de France, la délégation extéieur du FLN, ont globalement et dans le détail rejeté et le congrès de la Soummam et sa plate-forme, qui n'a jamais été appliqué nulle par, qui sera abrogée un an après presque jour pour jour, en août 1957, par le congrès du Caire.
Abane Ramdane y sera rétrogradé et mis sur la voie du garage. Ses amis centralistes l'ont marginalisé et abandonné. Ses pairs du CCE, Krim Belkacem, Omar Ouamrane, entre autres, l'ont condamné à mort escorté au Maroc où il a été mis à mort dans des conditions effroyables.
Nontons également que le seul membre de la délégation extérieur du FLN qui adhérer au congrès de la Soummam et à sa plate-forme était Monsieur Aït Ahmed. Mohamed Boudiaf lui reprochera toujours d'y avoir adhéré non pas par logique politique mais pour des considérations régionalistes. A méditer !
La récente disparition d’Ahmed Mahsas a fait perdre à jamais à l'Algérie un pan de son histoire contemporaine.
Le congrès de la Soummam ne devrait plus faire aucun doute sur les véritables intentions de ses animateurs : l’administration Soustelle, Ben Khedda, les centralistes, Abane Ramdane et autres.Faute de pouvoir réduire le FLN/ALN par force des armes, l'administration coloniale avait tablé sur la force des ruses et trahisons politiques.
Issu d’une famille qui a porté son lourd tribu, jusqu’à l’exemplarité, de sang, de larmes, de privation de liberté… à la lutte pour la libération de l’Algérie du joug colonial, mon respect à l’égard de la famille révolutionnaire, à ses martyrs, à son peuple, toute génération confondue, est sans aucun doute : permanent, profond, sincère et des plus vifs.
Parce que je suis convaincu que le colonialisme, l’impérialisme, le néo-colonialisme, la corruption, la destruction des pays, la clochardisation des peuples et autres fléaux, trouvent leurs sources et leurs énergie dans le mensonge et la manipulation de l’histoire. Je refuse d’aborder l’histoire de mon pays par l’étroite lucarne de l’analogie, de l’intérêt individuel ou de la « Iqlmia » (régionalisme).
Je m'insurge ici et ailleurs, maintenant et toujours à tout forme d'opportunisme tendant à comparer Abane Ramdane et Larbi Ben M’hidi au préfet-résistant français, à Jean Moulin. Les résitant français en France n'étaient pas forcément des humanistes en Algérie. Les Généraux : de Gaulle, Massu, Bigeard, Aussaresses… étaient des résistants en France mais aussi des tyrans sanguinaires en Algérie pour lesquels les résistants algérins n'étaient que de vulgaires terrorsites et traités avec une extrêm cruauté.
Le journal arabophone el Khabar a récemment publié une interview de feu Ahmed Mahsas qui a révélé, sans toutefois préciser la date exacte, qu’il tenait de feu Abdelhamid Benzine, communiste, qui deviendra directeur du journal « Alger Républicain », qu’Abane Ramdane devait adhérer à l’UDMA, au parti de Ferhat Abbas, parti dans lequel à un moment donné son père a compté parmi ses élus du conseil municipal de Michelet. Il ressort de la même source que c'était donc feu Abdelhamid Benzine qui avait conseillé à Abane Ramdane d’adhérer plutôt au FLN qu’au parti de Ferhat Abbas.
J’ai suffisamment assez d’indices pour ne pas dire de preuves irréfutables selon lesquelles Abane Ramdane n’a jamais appartenu au PPA/MTLD, ni à l’OS, ni aucun mouvement indépendantiste algérien avant sont adhésion au FLN vers avril 1955.
Par quel miracle, avec ses amis centralistes, des condamnés à mort par le FLN, a-t-il pu confisquer la direction de la révolution algérienne en quelques mois aussi bien à l'intérieur du pays comme à l'extérieur ?
Larbi Ben M’hidi était un ancien mais modeste militant nationaliste algérien au sein PPA/MTLD. Cependant, il n’avait jamais appartenu à aucun de ses bureau politique, à aucun de ses comités centraux ni à aucun état-major de l’OS. Il a fait partie des « 22» du CRUA qui l'ont coopté chef de la 5ème région, l’Oranie.
Sa région a certes offert à l’histoire de l’Algérie le premier martyr de la guerre de libération, Ben Abdelmalek Ramadane et le premier condamné à mort guillotiné, Ahmed Zabana, mais c’était aussi la région d’Algérie qui avait fait le moins parler d’elle au lendemain du 1er novembre historique de 1954.
Suite à son échec, Ben M’hidi a abandonné sa région pour aller au Caire remonter les bretelles à Ben Bella. Or, à l’époque de l’OS (1947-1950) la région de l’Oranie était de loin la mieux structurée d’Algérie. L’acte le plus marquant de l’OS, le hold-up historique de la poste d’Oran a eu lieu dans l’Oranie.
Les militants grillés dans les autres régions d’Algérie : Constantinois, Kabylie, Algérois : Aït Ahmed, Boussouf, Ben M’hidi et bien d’autres, trouvaient le gîte et le couvert dans l’Oranie, dans la région dirigée de main de maître par un certain Ahmed Ben Bella.
Sans doute que la rencontre du Caire entre ce dernier et Larbi Ben M’hidi a dû être tendue jusqu’au point de rupture. Et peut-être que Ben M'Hidi avait-il estimé que le soutien des autres membres de la délégation extérieure du FLN n’était pas à la hauteur de ses attentes.
Rappelons que les principaux dirigeants : centralistes, de l’UDMA, des Oulémas : Ferhat Abbas, Ben Khedda, Bachir el Ibrahimi, plus tard Abane Ramdane, avaient critiqué la révolution de novembre et ses déclencheurs de manière encore plus virulente que les colons les plus extrémistes. Leurs critiques leur ont valu des condamnations à mort par le FLN. Certains d’entre eux ont été abattus. D’autres ont échappés de peu à des attentats.
En 1956, la délégation extérieure du FLN recrutait à tour de bras du personnel politique et militaires sans trop regarder dans kleur passé. Elle avait recyclés plusieurs anciens condamnés à morts : Cheikh Abbas, Abdelhamid Mahri, Ferhat Abbas, Ben Khedda, entre beaucoup d’autres. Pourquoi Larbi Ben M’hidi n'avait-il pas trouvé grâce à ses yeux?
Une fois de retour en Algérien, pourquoi le même Larbi Ben M’Hidi n’avait-il pas regagné sa région ? A-t-il ralliés les rangs des condamnés à mort par le FLN, les centraliste et Abane Ramdane par conviction politiques ou par esprit de vengeance contre Ben Bella et la délégation extérieure du FLN ?
Une fois cette dernière écartée de la direction de la révolution par les services coloniaux, ceux qui ont décrété à peine un mois plutôt le fameux slogan : «Primauté de l’intérieur sur l’extérieur" et du « Civil sur le militaire », les membres du CCE autre que Larbi Ben M’Hidi, ont sans encombre quitté l'Algérie pour regagner l’extérieur pour s'y refugier jusqu'au terme de la guerre d'Algérie, où certains d’entre eux étaient devenus des militaires, avec le grade suprême de colonel, sans jamais tirer un seul coup de fusil ni ne tireront sur un seul symbole de la colonisation.
Est-ce par hasard que le seul historique et membre du CCE, arabe, Larbi Ben M’hidi, s’était fait prendre et exécuter par pendaison ?
A noter que la plate-forme du faux congrès de la Soummam n’a jamais été appliquée. Elle a été abrogée par un vrai congrès du Caire d’août 1957 qui avait blâmé et rétrogradé Abane Ramdane que ses amis de la Soummam, Krim Belkacem, Omar Ouamarane, Ben Khedda, Dahleb... ont marginalisé avant de le condamner à mort et de l'escorter au Maroc où il sera liquidé par garrottage.
Aucun algérien qui a connu et- subi les : « Evènements d’Algérie » ne peut croire qu’en 1956, un"Congrès nationalaiste algérien pouvait se tenir au coeur d'un secteur des plus sécurisé d’Algérie, dans la Vallée de la Soummam, sans que les services coloniaux n'en soient informés par le menu voir même sans en être les véritables architectes.
Il existe suffisamment assez d’indices qui indiquent que Larbi Ben M’Hidi, une fois qu’il s’était rendu compte qu’il avait été manipulé par des soummamistes, qui avaient besoin d’un historique arabe pour donner un semblant de légitimité à leur complot, il avait pris ses distances avec eux. N'est-ce pas la raison pour laquelle il a était marginalisé voir même livré à l’ennemi qui l'a arrêté et liquidé parce qu'il savait trop sur ses faux compagnons qu'ils l'ont fourvoyé ?
Par ailleurs, des experts en graphologie ont attribué la rédaction de la plate-forme de la Soummam à des : "...pattes de hauts fonctionnaires de l'administration coloniale." Certains soummamistes ont occupé dans cette administration des fonctions de grattent papiers subalternes. Pourquoi le ou les rédacteur (s) de cette plate-forme, qui a fait pschitt, demeure (nt) t-il (s) anonyme(s), dans un pays où le moindre évènement est qualifié de révolution pendant que le ou les génie(s) qui ont rédigé le chef d'oeuvre, la plate-forme de la Soummam, demeure (nt) encore anonymes un demi-siècle aprè de terme des évènements d'Algérie ? Qui a la trouille de la vérité historique ?
A noter que toutes les régions d'Algérie : la I, la II, la III, la IV, la V, la fédération de France, la délégation extéieur du FLN, ont globalement et dans le détail rejeté et le congrès de la Soummam et sa plate-forme, qui n'a jamais été appliqué nulle par, qui sera abrogée un an après presque jour pour jour, en août 1957, par le congrès du Caire.
Abane Ramdane y sera rétrogradé et mis sur la voie du garage. Ses amis centralistes l'ont marginalisé et abandonné. Ses pairs du CCE, Krim Belkacem, Omar Ouamrane, entre autres, l'ont condamné à mort escorté au Maroc où il a été mis à mort dans des conditions effroyables.
Nontons également que le seul membre de la délégation extérieur du FLN qui adhérer au congrès de la Soummam et à sa plate-forme était Monsieur Aït Ahmed. Mohamed Boudiaf lui reprochera toujours d'y avoir adhéré non pas par logique politique mais pour des considérations régionalistes. A méditer !
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