Plus rien ne va… plus rien ne vaut…
Ce lamento qui va crescendo ne vaut vraiment pas la peine d’être prix au sérieux… il n’est pas si effroyable, il est plutôt lamentable. Ce ne sont que des pleureuses, des consciences malheureuses qui élèvent leur voix pour qu’on n’entende pas leurs faux pas, leurs dérapages ou leurs mauvais usages de la règle, de l’équerre et du compas.
Qui dit vrai ? Qui ment ?
Ce sont toujours les mauvais sujets qui nous exposent les bons objets de tourment.
Une pègre composée de 10 petits nègres qui nous refont à chaque rentrée le distinguo entre ce qui leur parait doux et ce qui leur paraît aigre.
- Le premier petit nègre : il n’aime pas les couleurs. Il ne voit le monde qu’en noir et blanc… avec des musulmans qui menacent tous les non-musulmans. Pour compromettre cette menace, il faut être antimusulman. Car il n’y a qu’une chose à retenir, sous peine de voir notre beau pays dépérir : la théorie du déclassement qui n’est que l’aboutissement de la lutte des classes et la pratique du grand remplacement qui n’est que le commencement de la fin des classes. L’école est finie. Il n’y a plus de patriotes, il n’y a plus que des chiottes.
- Le deuxième petit nègre : il prétend pour être encore plus intègre, que tout se désintègre. Il commence par situer l’origine de la violence qui secoue la France avant de destituer la bien-pensance qui nous recommande de porter des masques pour échapper à la vermine. C’est la théorie de l’ensauvagement : toutes les incivilités sont commises par des non civilisés qui ignorent et ont toujours ignorés les gestes barrières et qu’il faut incessamment sous peu reconduire à la frontière. Car on ne devient pas français, on l’est ou on ne l’est pas. On n’a guère le choix… que de la guerre… la paix est une chimère.
- Le troisième petit nègre : il semble avoir la science infuse d’un Claude Allègre. Il distingue au fond deux états dans l’Etat, dans notre état, dans tout état politiquement et correctement perçu : un état sans fond avec des ministres qui font semblant et un état profond avec des sinistres à tout bout de champ, mais qui font la pluie et le beau temps car toute politique se nourrit de la tension entre les deux versants ou les deux versions pour faire diversion. Et si l’état manifeste n’a jamais servi à rien, c’est parce qu’il a toujours été asservi par un état latent, caché, secret, celui des puissances de l’argent… qui décident qui est obscur, qui est limpide.
- Le quatrième petit nègre s’estime encore plus invincible. Il nous dit que derrière toute main visible, il y a une main invisible. Autrement dit, si on ne réfléchit pas en termes de complot, on n’a aucune chance de mettre un terme à ce méli-mélo… ne retenez pas le drame, retenez juste la dramatisation. Non le comment mais le pour-quoi. C’est la fameuse théorie du complot qui nous apprend qu’il ne faut plus se hasarder « devant » avant d’avoir regardé « derrière »… et c’est extraordinaire parce que c’est invérifiable… ou infalsifiable. 11 septembre, 15 novembre… toujours la même marche à l’ombre.
- Le cinquième petit nègre : il n’est pas seulement petit, il est aussi maigre. Et comme tous les maigres, il est tenté par la pêche aux gros mensonges. Il voudrait pénaliser les certificats de virginité pour couper l’herbe sous les pieds de tous les arriérés de l’islamicité… c’est le fond de commerce exploité par tous les tenants de la laïcité qui ne jure que par la parité homme-femme… ou mieux encore que par la parité homme-dieu. Il sera désormais interdit de certifier que Monsieur a, oui ou non, une queue entre les jambes. C’est à sa compagne d’en décider. Il ne sait pas que l’hymne à la Joie n’a de sens que si la joie préserve son hymen, son intégrité pérenne.
Je poursuivrai plus tard… parce que je vous avoue que ce masque que l’on m’impose m’ôte toute envie de poursuivre !
Ce lamento qui va crescendo ne vaut vraiment pas la peine d’être prix au sérieux… il n’est pas si effroyable, il est plutôt lamentable. Ce ne sont que des pleureuses, des consciences malheureuses qui élèvent leur voix pour qu’on n’entende pas leurs faux pas, leurs dérapages ou leurs mauvais usages de la règle, de l’équerre et du compas.
Qui dit vrai ? Qui ment ?
Ce sont toujours les mauvais sujets qui nous exposent les bons objets de tourment.
Une pègre composée de 10 petits nègres qui nous refont à chaque rentrée le distinguo entre ce qui leur parait doux et ce qui leur paraît aigre.
- Le premier petit nègre : il n’aime pas les couleurs. Il ne voit le monde qu’en noir et blanc… avec des musulmans qui menacent tous les non-musulmans. Pour compromettre cette menace, il faut être antimusulman. Car il n’y a qu’une chose à retenir, sous peine de voir notre beau pays dépérir : la théorie du déclassement qui n’est que l’aboutissement de la lutte des classes et la pratique du grand remplacement qui n’est que le commencement de la fin des classes. L’école est finie. Il n’y a plus de patriotes, il n’y a plus que des chiottes.
- Le deuxième petit nègre : il prétend pour être encore plus intègre, que tout se désintègre. Il commence par situer l’origine de la violence qui secoue la France avant de destituer la bien-pensance qui nous recommande de porter des masques pour échapper à la vermine. C’est la théorie de l’ensauvagement : toutes les incivilités sont commises par des non civilisés qui ignorent et ont toujours ignorés les gestes barrières et qu’il faut incessamment sous peu reconduire à la frontière. Car on ne devient pas français, on l’est ou on ne l’est pas. On n’a guère le choix… que de la guerre… la paix est une chimère.
- Le troisième petit nègre : il semble avoir la science infuse d’un Claude Allègre. Il distingue au fond deux états dans l’Etat, dans notre état, dans tout état politiquement et correctement perçu : un état sans fond avec des ministres qui font semblant et un état profond avec des sinistres à tout bout de champ, mais qui font la pluie et le beau temps car toute politique se nourrit de la tension entre les deux versants ou les deux versions pour faire diversion. Et si l’état manifeste n’a jamais servi à rien, c’est parce qu’il a toujours été asservi par un état latent, caché, secret, celui des puissances de l’argent… qui décident qui est obscur, qui est limpide.
- Le quatrième petit nègre s’estime encore plus invincible. Il nous dit que derrière toute main visible, il y a une main invisible. Autrement dit, si on ne réfléchit pas en termes de complot, on n’a aucune chance de mettre un terme à ce méli-mélo… ne retenez pas le drame, retenez juste la dramatisation. Non le comment mais le pour-quoi. C’est la fameuse théorie du complot qui nous apprend qu’il ne faut plus se hasarder « devant » avant d’avoir regardé « derrière »… et c’est extraordinaire parce que c’est invérifiable… ou infalsifiable. 11 septembre, 15 novembre… toujours la même marche à l’ombre.
- Le cinquième petit nègre : il n’est pas seulement petit, il est aussi maigre. Et comme tous les maigres, il est tenté par la pêche aux gros mensonges. Il voudrait pénaliser les certificats de virginité pour couper l’herbe sous les pieds de tous les arriérés de l’islamicité… c’est le fond de commerce exploité par tous les tenants de la laïcité qui ne jure que par la parité homme-femme… ou mieux encore que par la parité homme-dieu. Il sera désormais interdit de certifier que Monsieur a, oui ou non, une queue entre les jambes. C’est à sa compagne d’en décider. Il ne sait pas que l’hymne à la Joie n’a de sens que si la joie préserve son hymen, son intégrité pérenne.
Je poursuivrai plus tard… parce que je vous avoue que ce masque que l’on m’impose m’ôte toute envie de poursuivre !
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