Pour paraître moins mesquins, les Républicains qui n’ont pas toujours le temps d’ouvrir un bouquin, viennent de sonner le tocsin en citant le film de Kubrick : « Orange Mécanique » rien que pour situer le niveau de la violence atteint par la France.
Une violence pour la violence nous disent les Républicains, gratuite ou fortuite… alors qu’elle n’est ni l’une ni l’autre.
Ils ont l’impression de faire une découverte en enfonçant des portes ouvertes…
Qui fait l’ange, fait la bête, car on le sait depuis belle lurette que le nouveau monde marche sur la tête… en gémissant sous le poids d’une dette contractée par ceux qui se le représentent, le monde, comme un miroir aux alouettes.
Mais le réel n’est réel que lorsqu’on s’y cogne au point que les aveugles finissent par envier les borgnes… ceux là même qui grognent pour s’affranchir de leur besogne.
Premier grognard : un philosophe. Un philosophe qui monte au front pour nous signifier que la police ne rend pas à la cité un véritable service lorsqu’elle pratique les deux poids, deux mesures : d’une part, elle maltraite les Gilets Jaunes et d’autre part, elle bat en retraite lorsqu’elle affronte la racaille.
Faut-il rappeler à cet ONFRAY qui défraye toutes les chroniques que la police en a peut être assez d’être injustement dénoncée. On n’arrête pas de la défaire de sa vertu. Elle ne se laisse pas faire, elle laisse faire le vice. Retour de bâton. Violence et passion.
On lui reproche de crever l’œil de la canaille et de fermer les yeux sur la racaille. C’est de bonne guerre !
Maintenant on peut enfoncer le clou un peu plus dans le mur des cons en disant qu’il ne peut être question que de stratégie politique pour soumettre le peuple à la volonté de ses dirigeants… qui donnent libre cours aux impulsions qui abîment, pour mieux réprimer les soulèvements légitimes.
Ça c’est de mauvaise guerre !
Deuxième grognard : c’est un politique que l’on peut aisément assimiler à un charognard parce qu’il nous ressort toujours le même étendard : Zemmour qui porte cette parole pour exprimer cyniquement ce ras-le-bol : ce sont des sauvageons, des ensauvagés, des individus en voie d’ensauvagement qui sèment le trouble dans nos rangs, qui divisent notre nation et qui désirent la mettre à feu et à sang.
Il s’agit bien sûr des immigrés qui n’ont pas été polis par notre civilisation et qui sapent les fondements de notre pacte républicain… c’est l’invasion barbare ou arabe qui fera de tous les citoyens, tôt ou tard des zonards !
Gaffe à la gaffe… nous dit le PAF : le paysage audiovisuel français.
Avec des chiffres à l’appui, le charognard nous démontre par A+B que la quasi-totalité des délinquants ne sont pas blancs. Ils sont arabes quand ils ne sont pas noirs… et musulmans quand ils ne partagent pas notre façon de voir.
Faut-il rappeler à ce charognard qu’il ne fait rien d’autre qu’espérer une guerre de civilisation… et que si par malheur elle avait lieu, il serait à coup sûr, du côté des perdants. En échec… et mat !
C’est le signe des temps, peut être le seul point non négatif de la mondialisation : les petits vont prendre le pas sur les grands… et les démunis vont prendre le pas sur les bourrés de munitions.
Retournement de l’histoire qui va rendre toute identité dérisoire. La canaille est franco-française… mais la racaille est aussi franco-française…
C’est la nouvelle lutte des classes… nous attendons tous leur rentrée avec ou sans masque, avec ou sans distanciation sociale… avec beaucoup d’impatience.
Une violence pour la violence nous disent les Républicains, gratuite ou fortuite… alors qu’elle n’est ni l’une ni l’autre.
Ils ont l’impression de faire une découverte en enfonçant des portes ouvertes…
Qui fait l’ange, fait la bête, car on le sait depuis belle lurette que le nouveau monde marche sur la tête… en gémissant sous le poids d’une dette contractée par ceux qui se le représentent, le monde, comme un miroir aux alouettes.
Mais le réel n’est réel que lorsqu’on s’y cogne au point que les aveugles finissent par envier les borgnes… ceux là même qui grognent pour s’affranchir de leur besogne.
Premier grognard : un philosophe. Un philosophe qui monte au front pour nous signifier que la police ne rend pas à la cité un véritable service lorsqu’elle pratique les deux poids, deux mesures : d’une part, elle maltraite les Gilets Jaunes et d’autre part, elle bat en retraite lorsqu’elle affronte la racaille.
Faut-il rappeler à cet ONFRAY qui défraye toutes les chroniques que la police en a peut être assez d’être injustement dénoncée. On n’arrête pas de la défaire de sa vertu. Elle ne se laisse pas faire, elle laisse faire le vice. Retour de bâton. Violence et passion.
On lui reproche de crever l’œil de la canaille et de fermer les yeux sur la racaille. C’est de bonne guerre !
Maintenant on peut enfoncer le clou un peu plus dans le mur des cons en disant qu’il ne peut être question que de stratégie politique pour soumettre le peuple à la volonté de ses dirigeants… qui donnent libre cours aux impulsions qui abîment, pour mieux réprimer les soulèvements légitimes.
Ça c’est de mauvaise guerre !
Deuxième grognard : c’est un politique que l’on peut aisément assimiler à un charognard parce qu’il nous ressort toujours le même étendard : Zemmour qui porte cette parole pour exprimer cyniquement ce ras-le-bol : ce sont des sauvageons, des ensauvagés, des individus en voie d’ensauvagement qui sèment le trouble dans nos rangs, qui divisent notre nation et qui désirent la mettre à feu et à sang.
Il s’agit bien sûr des immigrés qui n’ont pas été polis par notre civilisation et qui sapent les fondements de notre pacte républicain… c’est l’invasion barbare ou arabe qui fera de tous les citoyens, tôt ou tard des zonards !
Gaffe à la gaffe… nous dit le PAF : le paysage audiovisuel français.
Avec des chiffres à l’appui, le charognard nous démontre par A+B que la quasi-totalité des délinquants ne sont pas blancs. Ils sont arabes quand ils ne sont pas noirs… et musulmans quand ils ne partagent pas notre façon de voir.
Faut-il rappeler à ce charognard qu’il ne fait rien d’autre qu’espérer une guerre de civilisation… et que si par malheur elle avait lieu, il serait à coup sûr, du côté des perdants. En échec… et mat !
C’est le signe des temps, peut être le seul point non négatif de la mondialisation : les petits vont prendre le pas sur les grands… et les démunis vont prendre le pas sur les bourrés de munitions.
Retournement de l’histoire qui va rendre toute identité dérisoire. La canaille est franco-française… mais la racaille est aussi franco-française…
C’est la nouvelle lutte des classes… nous attendons tous leur rentrée avec ou sans masque, avec ou sans distanciation sociale… avec beaucoup d’impatience.
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