a. Une défiance absolue par rapport au pouvoir et à la politique au sens large
b. Corruption, bureaucratie et incivilités
c. Une société en ébullition
d. Une jeunesse frustrée
e. Le corset du conservatisme
a. Une défiance absolue par rapport au pouvoir et à la politique au sens large
La mission d’information a été frappée par la méfiance manifestée par le peuple algérien à l’égard de ceux qui gouvernent le pays mais aussi de la politique en général. Cette méfiance n’est pas anodine et créé un climat parfois pesant qu’on doit inévitablement prendre en compte lorsqu’on se penche sur l’Algérie d’aujourd’hui.
Cette méfiance a d’abord une origine historique. Ce pays a connu deux guerres – la guerre d’indépendance et la guerre civile des années 90 – en l’espace de trente ans, soit moins d’une génération. Ce pays a été sur-idéologisé et, tour à tour, a été confronté aux expériences du nationalisme arabe, du communisme, du socialisme, de l’islamisme… Autant de systèmes qui ont montré leurs limites et dont les échecs répétés ont logiquement conduit les Algériens à tempérer sérieusement l’enthousiasme qu’ils pourraient encore avoir vis-à-vis de la politique. Au moment des « révolutions » de 2011, l’Égypte et la Tunisie étaient dans des situations différentes puisqu’aucun de ces pays n’ayant eu le même vécu que l’Algérie, ils pouvaient – et peuvent encore – croire à la possibilité d’un changement.
Cette méfiance prend également source dans le sentiment qu’ont de nombreux Algériens que voter ne sert à rien et que quel que soit le résultat des élections, rien ne changera. La permanence du « Nidham », que votre rapporteur a décrite précédemment, l’autorité relative des institutions élues, une opposition qui semble accepter les « règles du jeu » fixées par le pouvoir mais aussi un personnel politique qui, aux yeux de beaucoup d’Algériens, se renouvelle trop lentement voire pas du tout sont autant de facteurs qui affaiblissent la portée des scrutins organisés en Algérie et minent la confiance du peuple envers ses représentants. « À quoi reconnaît-on un « indigné » algérien ? Il ne défile pas dans les rues, comme d’autres dans le monde arabe, au Yémen ou en Égypte, ni ne campe sous une tente comme en Espagne. Il ne porte aucune banderole, ne crie pas de slogans hostiles au pouvoir et ne se voit pour ainsi dire pas. L’« indigné » algérien existe, pourtant. Sa façon à lui de manifester: il ne vote pas »99. D’où des taux de participation aux élections relativement bas, alors même que les chiffres officiels sont sans doute quelque peu artificiellement surévalués, aux dires de plusieurs interlocuteurs rencontrés par la mission d’information. D’où également un désintérêt assez généralisé pour la vie politique algérienne et, dans le même temps, une vraie connaissance du jeu politique français, connaissance facilitée par la large diffusion des chaînes de télévision françaises et par les contacts avec les membres de la famille établis en France. À cet égard, l’année 2012 illustra parfaitement ce paradoxe puisque l’élection présidentielle française précéda de quelques jours les législatives en Algérie et, comme le suggéra si habilement Dilem à l’époque, il semble bien que les premières passionnèrent bien plus les Algériens que les secondes100.
Pour autant, certains Algériens refusent encore de se résigner et croient encore à la possibilité d’apporter des changements à leur pays par le biais, notamment, du débat d’idées et du jeu politique. Bon nombre de double-nationaux ou d’Algériens vivant à l’étranger sont dans ce cas. Leur réussite au-delà des frontières algériennes et leur ouverture sur le monde en font de vraies forces de proposition et un atout majeur pour l’Algérie(101). Votre rapporteur tient également à citer le groupe NABNI (102) qui rassemble des universitaires, des cadres, des chefs d’entreprise, des professions libérales de différents horizons, en Algérie et dans la communauté algérienne à l’étranger, autour de la volonté de débattre et de proposer des mesures susceptibles de transformer en profondeur leur pays. La plus récente publication de NABNI, le rapport publié à l’occasion du cinquantenaire de l’indépendance et suggérant « cinquante chantiers de rupture pour bâtir l’Algérie de 2020 » ne peut que passionner quiconque s’intéresse au devenir de ce pays(103).
b. Corruption, bureaucratie et incivilités
La corruption apparaît être un fléau très sérieux qui mine, aujourd’hui, le développement de l’Algérie et pèse énormément sur la vie quotidienne des Algériens. Transparency International classe le pays à la 105ème place sur 176 dans le monde et à la 21ème place sur 50 pays en Afrique104. Pour l’Association algérienne de lutte contre la corruption, citée par le quotidien Le Matin, ce classement relativement médiocre s’explique « d’une part, parce que les scandales de corruption ne cessent d’éclater, et que d’autre part, non seulement l’absence de volonté politique du gouvernement à lutter contre la corruption est la règle, mais plus grave encore, des ministres en exercice – cités et/ ou impliqués dans des affaires de corruption -, continuent de bénéficier d’une totale impunité et de l’inertie de la justice »105.
Il est vrai que, ces dernières années, l’actualité algérienne a été nourrie par plusieurs scandales notamment l’affaire Khalifa ou celle impliquant la Sonatrach – l’entreprise nationale de pétrole – et des personnes liées au pouvoir106 .
Ces scandales à répétions ne sont pas sans conséquence sur l’opinion publique. Ils diffusent un réel sentiment d’injustice dont la mission d’information a pu se rendre compte au cours de nombreux entretiens. Ils incitent également les Algériens à considérer que toute la société est pourrie et que, in fine, le système sera toujours plus fort qu’eux. Ce phénomène de lassitude voire de résignation est amplifié par le fait que la corruption va souvent de pair avec des pratiques administratives lentes et paperassières qu’un « coup de pouce » opportun permettra toujours d’accélérer ou d’orienter en sa faveur.
Ce constat d’une réalité qui contribue tant au « mal vivre » algérien, la mission d’information l’a fait, au fil de ses auditons, tant à Paris qu’en Algérie. Votre rapporteur a conscience qu’il est délicat de soulever une telle question, d’autant plus que notre pays est loin de pouvoir prétendre à l’exemplarité en la matière. Malgré tout, il faut souligner que les autorités algériennes reconnaissent elles-mêmes qu’il y a là un problème prégnant et que la corruption inflige quotidiennement une véritable souffrance au peuple algérien :
« La corruption mine le tissu social de notre pays. Elle a essaimé sur l’ensemble du territoire national et a touché toutes les classes sociales. La corruption exacerbe les relations sociales, et, annihile les valeurs sur lesquelles doit reposer tout groupement de personnes devant vivre en société.
« Les valeurs fondamentales que sont le travail, le mérite, le savoir, la droiture, l’honnêteté, l’éducation et la citoyenneté sont devenues opaques. Leur visibilité tendant de plus en plus à être estompée par la corruption qui a atteint quasiment tous les niveaux de responsabilités dans l’ensemble des domaines, et qui constitue réellement un « sport national » qui est en train d’hypothéquer les actions tendant au développement économique et social de notre pays. De même, la corruption a transformé la moralité publique en une « foire à tchipas », en une « foire à bakchichs ».
« C’est pourquoi, les citoyens n’ont plus confiance dans leurs institutions. Ils ont recours aux personnes, qui, à différents échelons, peuvent « octroyer » des droits et avantages au détriment de la loi. Ces personnes, cadres ou simples agents de l’Etat, privatisent la fonction exercée, aidées en cela par une nomination sans fin dans leurs fonctions. Et, ils dirigent les différentes institutions et administrations dont ils ont la charge comme un bien qui leur rapporte à chaque acte ou décision des avantages matériels. Une telle attitude est observée à tous les niveaux de responsabilité.
« Le degré de prévalence de la corruption est tel qu’il a introduit d’autres « valeurs» et sous-tend la société uniquement par les choses matérielles. Tout se vend, tout s’achète, tout a un prix. Cette situation est exacerbée, également, par l’impunité. La volonté politique affichée par notre pays dans la lutte contre ce fléau n’a eu aucune emprise sur ce phénomène qui se développe allégrement, se banalise, et, devient, de plus en plus, une source d’enrichissement « licite » »107.
c. Une société en ébullition
Si, fâchés avec le jeu politique, nombre d’Algériens semblent avoir mis de de côté leurs revendications sur ce terrain-là en boycottant massivement les élections, les manifestations à connotation sociale rythment quotidiennement la vie de l’Algérie. Et les actions peuvent être violentes. « L’« « indigné » algérien, pauvre dans un pays riche se révolte. Il dresse des barricades sur la route, incendie des pneus, affronte des policiers, mais toujours dans son quartier, et pour des motifs bien précis: le logement, l’emploi, la vie chère »108. Une flambée des prix sur des fruits ou légumes peut mobiliser bien plus que les réunions de partis sans programme et devenus inaudibles.
Les chiffres exacts ne sont pas connus mais il y aurait, jusqu’à un millier de manifestations, chaque année, en Algérie. Ce fut d’ailleurs le cas quelques jours avant le déplacement, à Alger, de la mission d’information, puisque la ville de Ouargla accueillit une imposante « marche des chômeurs » et fut le théâtre, quelques semaines plus tard, de véritables émeutes dont le mobile déclencheur semble avoir été la protestation contre une liste de logements sociaux affichée par les autorités locales.
Cet état quasi-insurrectionnel permanent témoigne, une fois de plus, du mal-être d’une partie de la société algérienne qui ne profite pas des richesses du pays, sur lesquelles votre rapporteur va avoir l’occasion de revenir. Un exemple frappant est sans doute le secteur de la santé dont beaucoup d’Algériens dénoncent le sous-équipement et la corruption, lesquels rendent incontournable le recours à l’étranger pour pouvoir se soigner correctement(109). Une solution onéreuse que peu de personnes, bien évidemment, peuvent se permettre. En matière d’emploi, « selon les sources officielles, le chômage en Algérie concernerait 10 % de la population. D’autres chiffres – officieux ceux-là –avancent un taux d’inactivité établi à 30 %. Sur une population de 37 millions d’habitants, dont 64 % sont en âge de travailler, c’est beaucoup »110. Cela est d’autant plus inquiétant que la jeunesse algérienne est la principale victime de la situation.
d. Une jeunesse frustrée
La principale victime du « mal vivre » des Algériens est assurément la jeunesse. En 2010, selon une étude du Centre national d’études et d’analyses pour la population et le développement, un organisme algérien spécialisé dans la recherche démographique, 60 % des jeunes scolarisés dénonçaient le flou caractérisant leur avenir, les trois-quarts critiquaient leur cadre de vie, un tiers rêvait de quitter le pays et 90 % affirmaient se désintéresser de toute activité associative ou en lien avec un parti politique111.
Aucune des auditions menées par la mission d’information n’a remis en cause ce constat : le désir d’émigrer est très massivement répandu parmi la jeunesse algérienne. Il n’y a qu’à en juger, par exemple, par les « visa, visas » criés par la foule lors des dernières visites des présidents français en Algérie et que votre rapporteur a eu l’occasion d’évoquer lorsqu’il a abordé la relation bilatérale. De même, la « harga » – l’émigration irrégulière – montre la volonté de partir à tout prix exprimée par certains jeunes, et ce, malgré les dangers et une loi de juin 2008 qui punit passeurs et immigrés d’une peine de prison et de lourdes amendes. Ainsi, en 2012, 5.479 Algériens – les harragas – ayant tenté de venir illégalement dans l’espace Schengen ont été interceptés aux frontières communautaires. Ce chiffre classe l’Algérie au deuxième rang des pays dont sont originaires les immigrants illégaux arrêtés (10 % du total), loin derrière l’Afghanistan (31%) mais devant la Turquie (6, 8%) et la Syrie (6 %)(112). Les routes de l’immigration clandestine sont aujourd’hui diverses et la voie traditionnelle de l’ouest méditerranéen est aujourd’hui légèrement supplantée par les passages plus à l’est, y compris via la Turquie est les Balkans. Le portrait-robot de l’harraga algérien est celui d’un homme, âgé de 18 à 30 ans, confronté à un manque de travail, la plupart du temps célibataire, parlant arabe et, dans une moindre mesure, le français voire l’anglais, ayant de la famille dans l’Union européenne, notamment en France, en Belgique, en Allemagne ou en Espagne, famille qui sera susceptible de l’aider à trouver un travail et à s’installer au sein d’une communauté déjà présente. Concrètement, la bande de territoire comprise entre la frontière marocaine et la ville de Mostaganem est connue pour être le lieu de départ des traversées maritimes clandestines vers Almeria ou Murcia, en Espagne(113).
Au-delà des problèmes d’emploi, c’est aussi un sentiment d’étouffement qui contribue à rendre l’Algérie incapable de garder ses enfants. Ce pays de 37 millions d’habitants compte moins de 50 salles de cinéma et à peine une dizaine de théâtres. Les membres de la mission d’information eux-mêmes ont pu se rendre compte, en traversant à maintes reprises plusieurs quartiers d’Alger, du « calme » de la ville et du caractère atone de sa vie nocturne. Le gouvernement algérien a d’ailleurs compris la nécessité d’agir sur ce domaine et vient de lancer un programme destiné à faire revivre Alger la nuit, y faisant semble-t-il régner « un petit air festif inhabituel »114.
En tout état de cause, les députés membres de la mission qui se sont rendus à Alger au mois de mars dernier ont eu l’occasion de constater la vitalité et la diversité de la jeunesse algérienne en rencontrant les dirigeants et les membres de l’association SOS Bab El Oued. Et cette jeunesse, talentueuse et motivée, aspire légitimement à un bonheur qu’elle mérite pleinement.
e. Le corset du conservatisme
Au soutien de l’initiative tendant à donner une impulsion nouvelle à la vie nocturne algéroise que votre rapporteur vient d’évoquer, le Premier ministre Sellal a déclaré, le 4 juin dernier, que « la jeunesse a besoin de vivre » et qu’on ne peut pas « l’envoyer dormir juste après la prière du soir. »115. La formule est intéressante car, en creux, elle indique la difficulté de concilier modernité et tradition en l’Algérie.
En effet, les chaînes de télévision étrangères sont très largement reçues dans les foyers, la jeunesse ressemble à celles des pays voisins, écoute les mêmes musiques et « surfe » sur Facebook ou les autres réseaux sociaux avec le même enthousiasme. La société de consommation se développe de plus en plus, comme en témoigne l’ouverture récente d’un centre commercial géant de 45.000 m² à Bab Ezzouar, une ville nouvelle et universitaire de la banlieue d’Alger.
En parallèle, l’Algérie est un pays musulman. Le droit algérien le proclame. La Constitution le dit clairement : « l’Islam est la religion de l’État » (article 2) et « les institutions s’interdisent (…) les pratiques contraires à la morale islamique » (article 9). En outre, la famille algérienne est soumise au droit musulman essentiellement selon le rite malékite qui est fondé sur la morale et la religion. Le régime matrimonial des conjoints, par exemple, est soumis aux règles du droit musulman classique : le mariage n’institue aucune communauté de biens entre les époux et laisse subsister distinct le patrimoine de la femme de celui du mari. Quoique peu pratiquée dans les faits, la polygamie est autorisée par la loi et une femme musulmane ne peut épouser un non-musulman. Par ailleurs, le droit établit une inégalité en matière successorale, la fille n’héritant que de la moitié des parts de son frère.
Ainsi la société algérienne demeure-t-elle essentiellement patriarcale et conservatrice. « La tradition pure et dure (…), réduite à ses pires travers, se porte toujours comme un charme en Algérie : contrôle social du groupe culturel ou familial, déni de l’individu, enclavement et méfiance vis-à-vis de l’étranger, machisme et traitement rétrograde de la femme, rejet de tout changement ou nouveauté issu de l’extérieur »116. Des tensions sont alors inévitables. C’est particulièrement vrai s’agissant de la situation des femmes algériennes, à la fois au sein des familles – où l’accès des femmes à l’éducation et à l’espace public modifie en profondeur les équilibres –, qu’au sein de la société, où les réflexes conservateurs se doublent d’une agressivité marquée à l’égard des femmes, par exemple celles se déplaçant seules dans la rue, signe tant d’une profonde frustration sociale que d’un conservatisme prenant prétexte de la religion pour se faire « justice ».
Au final, « cela donne surtout un peuple perdu, dans un total brouillage des repères, meilleur terreau des extrémistes »117.
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99 () Isabelle Mandraud, L’Algérie, l’arme de l’abstention, Le Monde Géo & Politique, 6-7 mai 2012.
100 () http://www.liberte-algerie.com/dilem/dilem-du-06-mai-2012
101 () Voir le site de l’ « Algerian International Diaspora Association » que votre rapporteur a déjà cité précédemment ( http://aida-association.org/diaspora/index.php?sr=6 )
102 () NABNI est l’acronyme de « Notre Algérie Bâtie sur de Nouvelles Idées ». En arabe, « Nabni » signifie aussi « nous construisons ».
103 () http://www.nabni.org/wp-content/uploads/2012/12/rapport-nabni-2012.pdf
104 () http://www.transparency.org/country#DZA
105 () Le Matin, 5 décembre 2012
106 () Cherif Ouazani et Karim Djaad, Algérie : corruption à Sonatrach, le système Chakib Khelil, Jeune Afrique, 5 mars 2013.
107 () Rapport annuel (2011) de la Commission Nationale Consultative de Promotion et de Protection des Droits de l’Homme, p. 111 (http://www.cncppdh-algerie.org/php_VF/images/pdf/RAPPORT-2011.pdf ). Cette Commission, dont la mission a rencontré le Président le 25 mars 2013 lors de son déplacement à Alger, est une institution qui dépend directement de la présidence de la République.
108 () Isabelle Mandraud, L’Algérie, l’arme de l’abstention, Le Monde Géo & Politique, 6-7 mai 2012.
109 () Une situation mise en lumière par l’hospitalisation, à Paris, pendant plusieurs semaines, du Président Bouteflika et qui conduit au lancement, sur les réseaux sociaux, d’une initiative intitulée « Val-de-Grâce pour tous » afin de mobiliser la société alégrienne autour de la question de la prise en charge médicale en Algérie. Voir notamment : « Le Val-de-Grâce pour tous », un slogan pour dénoncer l’abandon des cancéreux, Blog « Visa pour l’Algérie », 4 mai 2013 (http://blog.lefigaro.fr/algerie/2013/05/a-alger-on-se-rassemble-pour-demander-le-val-de-grace-pour-tous.html ) et Farid Ikken, En Algérie, « si tu as le cancer et pas de relations, tu meurs », Rue 89, 24 septembre 2013 (http://www.rue89.com/2013/09/24/algerie-si-as-cancer-relations-meurs-246008 ).
110 () Nadia Henni-Moulaï, A quoi rêvent les Algériens ?, Le Magazine de l’Afrique, juillet-août 2012, p. 7
111 () Cité par Cherif Ouazani dans Les sept plaies de l’Algérie, Jeune Afrique, 19 décembre 2010.
112 () Agence Frontex, AnnualRisk Analysis 2013, p. 66.
113 () Agence Frontex, AnnualRisk Analysis 2013, p. 31.
114 () Isabelle Mandraud, Le « printemps » des façades à Alger, Le Monde 27 juin 2013.
115 () Cité par Isabelle Mandraud, Le « printemps » des façades à Alger, Le Monde 27 juin 2013.
116 () Tarik Ghezali, Un rêve algérien, chronique d’un changement attendu, 2012, p.44.
117 () Tarik Ghezali, Un rêve algérien, chronique d’un changement attendu, 2012, p.45.
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PAR LA COMMISSION DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES de FRANCE
en conclusion des travaux d’une mission d’information constituée le 14 novembre 2012,
sur l’Algérie
Président
M. Axel Poniatowski
Rapporteur
M. Jean-Pierre DUFAU
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