Tipaza

La mort gagne toutes les guerres.

Qui profite des guerres ?

La guerre est une activité humaine terriblement destructrice. Des millions d’êtres humains sont sacrifiés. Des dizaines de billions de dollars de logements, d’écoles, d’usines, d’hôpitaux et d’autres infrastructures sont détruits dans les pays qui sont la cible d’attaques militaires.

La guerre perpétuelle a détruit le fondement même de la liberté et de la démocratie ; il empêche un développement économique sain et équitable du monde; elle conduit à la violation des droits de la personne ; elle ruine les valeurs traditionnelles de nombreux pays et, surtout, elle cause des souffrances humaines durables.

La guerre perpétuelle se chiffre en milliards de dollars, prive des millions d’humains de revenus décents, de logements adéquats, d’aliments nécessaires, de soins de santé indispensables, de sécurité dans la rue, d’infrastructures fiables, d’éducation essentielle et d’autres biens et services nécessaires à une vie décente.

« Chaque arme fabriquée, chaque navire de guerre lancé, chaque roquette tirée signifie en dernier ressort un vol à ceux qui ont faim et ne sont pas nourris, à ceux qui ont froid et ne sont pas vêtus. Ce monde en armes ne dépense pas que de l’argent, il dépense la sueur de ses ouvriers, le génie de ses savants, l’espoir des enfants. »

Questions :

Combien de guerres sont menées?

Comment les guerres sont organisées ?

Quel est le but des guerres ?

Qui sont les bénéficiaires des guerres ?

Quels sont les impacts négatifs des guerres ?

Les guerres vont-elles continuer ?

La guerre est définie en termes d’interventions militaires.

Il existe de nombreuses interventions militaires non déclarées menées par des « entreprises de guerre et des unités des forces d’opérations spéciales et des milliers de bases militaires ».

Invasions :

Guerres civiles :

Guerres multi-cibles :

Comment les guerres sont-elles organisées ?

Pour comprendre la nature et les implications de la guerre perpétuelle :

Dans la littérature et les médias, on utilise la notion de complexe militaro-industriel pour décrire le vaste système de guerres perpétuelles. Mais, en réalité, le système de guerre perpétuelle implique beaucoup plus d’individus et d’organisations qui défendent des intérêts au détriment du bien-être des humains. Il est si bien organisé et si bien enraciné et si puissant qu’il est presqu’impossible de le dissoudre.

Le groupe du complexe militaro-industriel comprend des sociétés en matière de guerre et les gouvernements : l’approvisionnement en marchandises et services de guerre; la création de la demande de marchandises et services destinés à la guerre.

L’efficacité de l’ensemble du système de production et de vente de marchandises et services de guerre dépend de la manière dont le groupe central et les groupes de soutien peuvent travailler en harmonie pour atteindre les objectifs des guerres, à savoir la maximisation du profit et le partage interne des profits dans le complexe militaro-industriel.

L’approvisionnement en marchandises et services de guerre est assuré par des entreprises qui produisent des armes, des entreprises de construction qui construisent toutes sortes de bâtiments et les gèrent, des sociétés de services de restauration qui fournissent des aliments et des boissons aux militaires, des sociétés d’information qui offrent des informations nécessaires aux guerres et même les universitaires qui proposent des idées et des technologies.

Des grandes entreprises réalisent un chiffre d’affaires annuel de milliards de dollars.

L’approvisionnement en marchandises et services de guerre repose sur une chaîne de production étendue impliquant des fournisseurs de matières premières et de produits intermédiaires. En outre, les universitaires et les sociétés d’information proposent des informations, des technologies et d’autres services nécessaires à la production d’armes.

Des universités les plus connues sont impliquées dans les guerres et proposent pour l’industrie de guerre, une variété de marchandises (produits) et de services de guerre.

70% des projets de recherche universitaires sont financés par les gouvernements.

Aides à l’armée par certaines universités :

mono-technologie; améliorations des performances cognitives et physiques des soldats et une quantité de matériel et de services militaires sous le nom d’ « entreprise de guerre », et développent le système d’ingénierie neuronale; et produisent du matériel pour la conception et la vérification de circuits intégrés à collecteur ouvert; vendent de l’apprentissage automatique; développent l’intelligence artificielle; développent une technologie pour la guerre chimique et d’autres produits et services pour la guerre, avec des entreprises militaires; développent du matériel pédagogique pour la guerre et sont les principales sources de ressources humaines pour les industries d’armements et aussi fabriquent les outils nécessaires à l’évaluation des capacités offensives alternatives nécessaires aux combats dans l’espace aérien, maritime et cybernétique.

La triste réalité de ces universités américaines est qu’elles dépendent tellement de l’argent de la guerre et qu’elles sont en train de perdre leur vocation première.

Ces universités négligent leur vocation relative à la recherche et la diffusion de la vérité.

La vraie couleur de ces universités porte davantage sur le financement gouvernemental que sur la noblesse du milieu universitaire.

Les guerres perpétuelles :

Les sociétés de technologie de l’information participent également activement aux guerres et fournissent aux forces armées une technologie de pointe qui facilite la réduction des coûts humains et matériels des guerres.

La demande de marchandises et services de guerre :

Ce qui distingue l’économie de guerre de l’économie de paix, c’est le fait étonnant que l’offre génère la demande.

Dans l’économie de guerre, la demande finale de marchandises (biens) et services de guerre est déterminée par les gouvernements.

Les gouvernements ne disposent pas de toutes les informations nécessaires pour estimer la demande de guerre, de sorte qu’ils s’appuient sur les informations fournies par les entreprises de guerre.

Par conséquent, les entreprises de guerre qui fournissent des produits et services de guerre ont le rôle étonnant de déterminer la demande.

Ainsi, sur le marché des produits et services de guerre, l’offre détermine la demande.

C’est la racine de la nature perpétuelle des guerres et du profit.

Or, pour avoir la guerre, il faut avoir des ennemis. Cependant, les entreprises de guerre n’ont pas la capacité de recherche pour trouver de vrais ennemis ou fabriquer des ennemis. Le rôle de trouver ou de fabriquer des ennemis revient aux groupes de réflexion qui sont généreusement financés par les sociétés de guerre.

Lorsque les sociétés de guerre trouvent ou fabriquent des ennemis, de nouvelles guerres ou la poursuite d’anciennes guerres sont justifiées.

D’un autre côté, les groupes de pression font maintenant pression sur les législateurs et les décideurs politiques pour qu’ils reconnaissent l’identité des ennemis produits par les sociétés de guerre; cela se fait par le biais du lobbying (pots-de-vin).

Quant aux médias, ils ont pour rôle de préparer au mieux la pensée et l’âme des Humains à accepter le budget colossal de la « Défense » (Des intérêts) sans rendre compte des conséquences destructrices des guerres perpétuelles.

Il va sans dire que les groupes de pression et les médias sont financés par les entreprises de guerre.

La demande de marchandises et de services de guerre créée par ces individus et organisations pro-guerre se traduit par le budget annuel de la « Défense » (Défense des intérêts).

Cela signifie que le budget de la Défense Mondiale des Intérêts s’élève à des milliards de milliards de dollars !

Les sociétés de guerre jouent un rôle majeur dans la perpétuation des guerres. Leur fonction est de produire des rapports et des documents pour montrer la gravité de la crise et la nécessité d’augmenter le budget militaire afin que la crise puisse être gérée par la force militaire.

La plupart des médias sont pro-guerre.

Médias d’entreprise, ils sont principalement préoccupés par le gain d’argent plutôt que par le bien-être collectif de l’Humanité.

Lorsqu’ils expriment une opinion, ils se réfèrent généralement à l’opinion de la classe d’élite.

Les médias ne critiquent pas les gouvernements.

Les gouvernements censurent les médias hors ligne.

Les médias sont directement liés à l’industrie de guerre - des médias liés aux forces armées.

Les sociétés de guerre font ouvertement pression sur les médias.

La racine de la guerre : les intérêts et le profit.

Les médias d’entreprise ne remettent jamais en question la cause profonde de la guerre.

En résumé, la demande de guerre est formée par les opinions pro-guerre coordonnées et créées par les corporations de guerre, les groupes de réflexion, les groupes de pression et les médias.

Ces avis sont transmis aux armées qui déterminent l’ampleur des moyens financiers et humains à allouer à la guerre.

La remarquable coordination entre ces individus et organisations ressemble à un orchestre symphonique bien préparé.

Les groupes de réflexion jouent du violon pour produire un son doux pour les sociétés de guerre.

Les groupes de pression jouent de la trompette pour rendre le son plus fort.

Les médias jouent du tambour pour attirer l’attention du public sur la nécessité des guerres.

Tous ces acteurs sont dirigés par les corporations de guerre.

Quel est le but des guerres ?

Il peut y avoir des objectifs défensifs et des objectifs offensifs de guerre. Les objectifs défensifs peuvent inclure la protection du territoire national et des valeurs nationales telles que la religion, la démocratie et les biens nationaux représentant la tradition nationale.

Ensuite, il peut y avoir des objectifs offensifs de guerre qui peuvent inclure l’invasion impériale d’un pays étranger afin de changer le régime politique et économique, changer de religion, s’approprier les ressources naturelles du pays étranger et maintenir une domination hégémonique.

Il y a un autre objectif offensant :

Selon toute vraisemblance, les finalités défensives ne sont pas pertinentes. Aucun pays n’ose défier le territoire dominant et ses valeurs. En revanche, toutes les finalités offensives sont pertinentes.

Pourtant aucun des « buts » offensifs des guerres ne semble avoir été atteint.

La démocratie s’effondre rapidement.

La guerre de changement de régime s’est terminée par la destruction du régime.

L’hégémonie mondiale doit surmonter plusieurs défis.

Quant à l’expropriation des ressources naturelles des pays étrangers, l’impérialisme a un succès rendu possible par la chaîne de valeur mondiale. Ses principaux bénéficiaires sont les multinationales.

Or, en ce qui concerne l’impact de la guerre perpétuelle sur l’économie, le modèle d’analyse usuel montre qu’il peut avoir un effet positif à court terme sur l’économie, mais qu’à moyen terme, il nuira au potentiel de croissance de l’économie. En d’autres termes, la guerre nuit à l’économie civile.

Bref, les guerres ne sont pas nécessaires à la réalisation d’objectifs défensifs.

Ils ne sont pas non plus des moyens utiles pour la matérialisation de fins offensives à l’exception de l’expropriation des ressources naturelles de pays étrangers.

Alors, pourquoi les nations continuent-elles leurs guerres ?

Si la guerre continue malgré ses résultats douteux, il doit y avoir des gens qui trouvent dans la guerre des bénéfices. La conclusion inévitable est que ces mêmes personnes sont les membres du complexe industriel.

Qui sont les bénéficiaires des guerres ?

Le profit des entreprises de guerre doit être anormalement maximisé. En fait, le profit des entreprises de guerre doit être très élevé pour ces raisons.

Premièrement, les entreprises de guerre reçoivent les subventions de recherche des gouvernements et des avantages fiscaux.

Deuxièmement, l’utilisation de systèmes de production basés sur l’intelligence artificielle peut réduire considérablement le coût de la production de marchandises et de services de guerre par les entreprises de guerre.

Troisièmement, les entreprises de guerre jouissent du statut de quasi-monopole grâce à la fusion d’entreprises dans le secteur de la production d’armes hautement spécialisées.

La privatisation de la guerre.

La culture de la corruption éternelle :

Une fois que le profit élevé de l’entreprise est assuré, la prochaine étape pour maintenir les guerres perpétuelles est le partage intra-multinationales du profit de l’entreprise guerrière.

Cela se fait par des pots-de-vin. Ayant reçu des pots-de-vin, les décideurs politiques pro-guerre et les législateurs pro-guerre doivent se joindre aux entreprises de guerre faisant pression en faveur de « plus de guerres ».

Des pots-de-vin sont donnés aux décideurs politiques et aux législateurs pour qu’ils acceptent ce que demandent les sociétés de guerre. C’est le début d’une culture de corruption éternelle.

Un ancien lobbyiste a fait une déclaration significative concernant l’état de la corruption :

« Des années de corruption légalisée m’ont exposé aux pires éléments du fonctionnement politique de notre pays. Aujourd’hui, la plupart des lobbyistes sont engagés dans un système de corruption, mais il s’agit d’une corruption légale, celle qui sévit dans les couloirs des gouvernements ».

La relation porte battante

Cependant, en plus du système de pots-de-vin, il existe une relation de porte battante entre l’industrie de la guerre et les gouvernements.

Les relations de porte battante se traduisent par la participation directe de l’industrie à l’élaboration de la politique de défense. En fait, les décideurs des gouvernements et les décideurs de l’industrie de la guerre sont les mêmes personnes.

La première porte battante permet la circulation dans les deux sens des chefs d’entreprise et des dirigeants militaires.

Le système de pots-de-vin et l’appareil à portes battantes de l’élaboration des politiques soutiennent nécessairement la culture de la corruption.

« Les entreprises américaines dans leur ensemble ont également corrompu les cœurs et les esprits, abrutissant le public de divertissements et l’inondant de commercialisme. »

Quels sont les impacts négatifs des guerres ?

Les guerres ont des impacts négatifs internes et externes. Les impacts négatifs internes des guerres comprennent le coût humain et le coût économique.

Le coût humain de la guerre perpétuelle est élevé. Personne ne sait combien de gens sont tués ou blessés.

« Il n’y a pas de compte rendu honnête de l’endroit où, comment et pourquoi nous tuons, comment les citoyens sont protégés et quels avantages en matière de sécurité profitent réellement aux nations dans la poursuite de la guerre perpétuelle. »

Les coûts économiques et sociaux sont élevés. La destruction de la croissance économique potentielle du monde est le résultat d’investissements insuffisants dans les domaines de l’éducation, de la santé et des infrastructures.

Les nations investissent des milliards de dollars de dollars par an pour soutenir leurs guerres perpétuelles.

Le « coût d’opportunité » des guerres est élevé. Le « coût d’opportunité » désigne les investissements qui ont été évités en raison des guerres.

Voici quelques exemples de « coûts d’opportunité » :

des milliards de dollars pour combattre la pauvreté;

des milliards de dollars pour construire des logements ;

des milliards de dollars pour réparer les infrastructures en mauvais état ;

des milliards de dollars pour le programme de contrôle des maladies ;

des milliards de dollars pour la protection de l’environnement

des milliards de dollars pour les enfants qui meurent de faim

des milliards de dollars pour sauver des centaines de milliers de gens qui meurent chaque année d’overdoses de drogue

des milliards de dollars pour trouver un moyen d’éliminer les tueries ou meurtres de rue qui se produisent tous les jours

des milliards de dollars pour l’assurance médicale hors de portée de la majorité des gens

des milliards de dollars contre l’augmentation de la dette publique

etc etc etc…

Une bonne partie de cette dette est imputable aux guerres. En fait, la guerre produit la dette publique.

C’est une situation très dangereuse, car avec ce type de dette publique, la politique budgétaire des pays devient totalement inutile.

Maintenant, en ce qui concerne l’impact négatif externe des guerres, les impacts sont indescriptibles.

Des millions de personnes ont été tuées, sans parler de l’afflux de millions de réfugiés.

Au fil des ans, les guerres perpétuelles ont ruiné les économies nationales ; ils ont sapé les valeurs traditionnelles ; ils ont enlevé l’espoir d’une vie meilleure aux peuples des pays qui ont été les cibles des guerres.

Ce qui est vraiment troublant, c’est ceci. Les guerres sont censées promouvoir et maintenir un monde plus sûr. Mais, en réalité, les guerres aggravent la sécurité mondiale et celle des civils.

Aucun pays– pas un seul pays au monde – ne peut affirmer qu’il est sûr. Chaque pays qui fait maintenant partie du champ de bataille en expansion de la guerre perpétuelle est un plus grand désastre.

Les guerres vont-elles se poursuivre ?

Malgré son impact terriblement négatif, ces guerres continueront, car c’est bénéfique pour le complexe militaro-industriel.

La guerre perpétuelle requiert les stratégies suivantes : l’existence perpétuelle d’ennemis d’une part et, d’autre part, l’adoption d’une guerre invisible et sans politique.

S’il n’y a pas de demande de guerre, il n’y aura pas de guerre.

Par conséquent, pour que la guerre se perpétue, il doit y avoir une demande continue de guerre.

Mais, pour qu’il y ait demande de guerre, il faut qu’il y ait crise et qu’il y ait des pays ou des individus en crise. Ces pays et ces individus deviennent des ennemis.

La première vague de crise : l’expansion du communisme, 1950-1989

La deuxième vague de crise : la menace du terrorisme, 1990-présent

La troisième vague de crise : le danger de prolifération nucléaire, 1950-présent

La quatrième vague de crise : la guerre contre la drogue, de 1990 à aujourd’hui

La cinquième vague de crise : les violations des droits de la personne de 2001 à aujourd’hui

Ainsi, il y a plusieurs crises et ennemis en cours

La prochaine cible probable de la crise pourrait être la « crise du péril jaune » impliquant la Chine et d’autres pays asiatiques.

Ils décideront d’intervenir en cas de « crise » dans des pays étrangers même sans l’autorisation des pays concernés. Cela peut représenter beaucoup d’ennemis potentiels.

Quoi qu’il en soit, en ce qui concerne l’existence d’ennemis. Il y aura beaucoup d’ennemis, sinon ils vont tout simplement les inventer.

Par exemple, le fait de ne pas être pro-américain pourrait être considéré comme une crise et un créateur de crise, classé comme un ennemi de l’Amérique [États-Unis d’Amérique].

Le prochain obstacle à surmonter est de s’attaquer aux mouvements anti-guerre dans le monde.

La solution est de trouver des moyens de rendre les guerres invisibles, sauvant des vies mais rentables. Cela peut être fait grâce à l’utilisation d’armes sans pilote et à la réduction des coûts de production en utilisant une technologie basée sur l’IA, qui permet une guerre à longue distance en vertu de la stratégie de guerre qui permet d’attaquer l’ennemi sans être présent sur le champ de bataille.

La raison du développement de ce type de guerre est le besoin de se libérer des politiques publiques et anti-guerre.

« La guerre rapporte de l’argent ».

La raison la plus importante de la perpétuité des guerres est le cercle vicieux de la cupidité humaine.

L’argent invite aux guerres ;

Les guerres rapportent plus d’argent;

Plus d’argent conduit à encore plus de guerres et à l’infini.

C’est le cercle vicieux de la cupidité humaine.

Puisque la cupidité humaine n’a pas de frontière, les guerres resteront perpétuelles.

Ainsi, les guerres peuvent continuer jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’ennemis valables.

En d’autres termes, la guerre continuera jusqu’à la destruction totale du monde.

Pour sauver le monde, il faut donc mettre un terme aux guerres perpétuelles.

https://www.poesielavie.com/2023/06/la-guerre-perpetuelle.html

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