« Je voudrais, de toute mon âme, être le Central de la pacification, la vraie cette fois, celle des esprits.
« Je rêve d’une Alger où les hommes s’entraiment enfin, sans plus être séparés par des races, des religions ou des mers. »
- Ces paroles de paix ont été prononcées par Roger Gavoury devant ses collaborateurs lors de la prise de ses fonctions de commissaire central d’Alger, quelques jours seulement avant son assassinat par l’OAS, le 31 mai 1961.Ce dernier assurait depuis plus d’un an les difficiles fonctions de commissaire central adjoint du grand Alger, et fut déjà la cible d’un attentat à l’explosif et de nombreuses menaces de mort.La police judiciaire détermina que le crime a été commis en raison de l’attitude ferme manifestée par ce fonctionnaire, particulièrement investi pour maintenir l’ordre à Alger et réprimer les troubles provoqués par les organisations subversives activistes.Jean-François Gavoury à proposde police à Alger, par l'OASSur sa page Facebook Jean-François Gavoury s’adressant à un ami écrit :Celle-ci se montre implacable ".« Émotion à l’écoute de Delphine Renard qualifiant si opportunément de « Justes » les neuf morts de Charonne et bénissant leur mémoire ».Michel Dandelot
- L’extrait de vidéo ci-dessous est un montage que j’ai réalisé, patientez 10 secondes avant son début.
- Le 8 février 2022 il prononça une allocution lors de la cérémonie commémorative des neuf morts de Charonne.
- " Le combat que je mène depuis une décennie et demie pour la reconnaissance par les pouvoirs publics des victimes de l'OAS se double, depuis tout juste 5 ans, d'un autre... contre la maladie.
- Alors que, dans le sud de la France, l'extrême droite rend hommage aux assassins de l'OAS, Jean-François Gavoury raconte l'assassinat de son père Roger en 1961 par un commando de l'OAS impliquant Roger Degueldre, Albert Dovecar et Claude Piegts. Il s'insurge contre ces hommages et raconte l'affaire de Marignane, où il a combattu avec succès la réalisation d'une stèle commanditée par le maire Front National. A Perpignan, l'histoire se répète...
- de l'assassinat de son père, commissaire
- Dix individus de l’organisation civilo-militaire dissidente impliqués dans son assassinat furent déférés devant les tribunaux militaires. Trois d’entre eux furent fusillés.
- Le 4 juin, l’OAS revendiquait cette « exécution » dans un tract ronéotypé à en-tête « OAS – Sous Secteur Alger-Ouest », distribué dans les boites aux lettres de la ville en précisant que l’organisation avait « jugé » le commissaire divisionnaire Gavoury notamment pour « crime de haute trahison » et « complicité avec le régime ».
- Au cours de la nuit du mercredi 31 mai 1961, dans le contexte de la guerre d’Algérie, le commissaire divisionnaire Roger Gavoury, cinquante ans, fut assassiné à coups de poignard de parachutiste par un commando de l’Organisation Armée Secrète, à l’intérieur de son studio situé au 4e étage de l’immeuble du 4-6 rue du Docteur Trolard à Alger (ex-Algérie française).
SHur sa page Facebook Jean-François Gavoury s’adressant à un ami écrit :
" Le combat que je mène depuis une décennie et demie pour la reconnaissance par les pouvoirs publics des victimes de l'OAS se double, depuis tout juste 5 ans, d'un autre... contre la maladie.
Celle-ci se montre implacable ".
Le 8 février 2022 il prononça une allocution lors de la cérémonie commémorative des neuf morts de Charonne.
« Émotion à l’écoute de Delphine Renard qualifiant si opportunément de « Justes » les neuf morts de Charonne et bénissant leur mémoire ».
L’extrait de vidéo ci-dessous est un montage que j’ai réalisé, patientez 10 secondes avant son début.
Sur sa page Facebook Jean-François Gavoury s’adressant à un ami écrit :
" Le combat que je mène depuis une décennie et demie pour la reconnaissance par les pouvoirs publics des victimes de l'OAS se double, depuis tout juste 5 ans, d'un autre... contre la maladie.
Celle-ci se montre implacable ".
Le 8 février 2022 il prononça une allocution lors de la cérémonie commémorative des neuf morts de Charonne.
« Émotion à l’écoute de Delphine Renard qualifiant si opportunément de « Justes » les neuf morts de Charonne et bénissant leur mémoire ».
L’extrait de vidéo ci-dessous est un montage que j’ai réalisé, patientez 10 secondes avant son début.
http://www.micheldandelot1.com/
.
Les commentaires récents