Quelqu’un a dit que l’islam n’était pas une civilisation, mais une barbarie.
Un roquet ou un perroquet nommé Michel Onfray a répété après lui que l’islam n’était pas en effet une civilisation mais une barbarie… à visage inhumain avait-il envie de rajouter pour attester de son haut niveau de lucidité.
Les deux bisons futés n’ont pas tort mais raison de croire que l’islam n’était pas une civilisation susceptible de s’éteindre un jour ou l’autre… parce que l’islam c’est la quintessence de toutes les civilisations, ce qu’il y a en elles d’essentiel et d’éternel… de plus sûr et de plus pur.
En littérature comparée et en passant de l’arabe au français, on peut évoquer analogiquement le mot de Stendhal, celui d’une cristallisation :
« En un mot il suffit de penser à une perfection pour la voir dans ce qu’on aime ». C’est le cristal des cristaux : La foi qui conçoit son propre amour pour se débarrasser de l’amour propre.
Pour relater cet idéal et cette idéalisation : on peut comparer toutes les civilisations passées et présentes « aux mines de sel de Salzbourg » je cite Stendhal : « on jette dans les profondeurs abandonnées de la mine un rameau d’arbre effeuillé par l’hiver ; deux ou trois mois après on le retire couvert de cristallisations brillantes : les plus petites branches, celles qui ne sont pas plus grosses que la patte d’une mésange, sont garnies d’une infinité de diamants mobiles et éblouissants ; on ne peut plus reconnaître le rameau primitif… »
Ces diamants éblouissants sont comparables aux versets du Coran… pour celui ou celle qui perçoit que tout amour recèle la présence de Dieu.
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