Le port, j'en garde encore l'image distincte. Camus en parle peu.
Et encore bien des réminiscences. Ce blog, ce livre m'aident à faire remonter à la surface des souvenirs à peu près effacés en relisant mon carnet :
« L'hôtel du Rivage, les petits escaliers de pierres usées et les ruines assaillies d'herbes et de petites fleurs. L'imagination : les maisons, les places, les temples.
SansCamus, sans « ses » Noces, aurais-je aimé Tipasa comme je l'ai aimé ? Il est passé au milieu des ruines, s'est roulé dans les absinthes plus de vingt ans avant moi. "
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