Qu’en penser de ce virus qui semble être fait pour faire le vide ?
C’est un agent infectieux, un peu désastreux pour les hommes, qui vide les lieux. Sans raison apparente. Séance tenante. La science reconnaît avoir rarement connue une pente aussi glissante… au point de se sentir insuffisante, inopérante…
Pour ne pas mourir bête, on est tentés de mener l’enquête pour savoir quel bien peut-on tirer de ce mal qui retourne toutes les têtes !
Examinons les effets secondaires de ce fléau qui s’est abattu sur nous d’une manière primaire… et se demander, face au virus qui en profite le plus ?
Question avouons-le, un peu cynique mais qui a un sens et une portée politique.
Primo :
On peut commencer par attirer l’attention sur un intérêt d’apparence anecdotique alors qu’il est systémique, lié à l’écosystème qui pose à l’humanité ses plus gros problèmes…
Mais on peut dire que les ravages de ce virus profitent aux minéraux, aux végétaux, aux animaux… qui bénéficient comme d’un moment de répit. D’une trêve, de la réalisation d’un vieux rêve :
L’homme ne leur marche plus dessus, de moins en moins, à cause de son « internement »qu’on appelle : confinement pour lui faire avaler la pilule et pour qu’il ne quitte pas sa petite cellule.
Secundo :
L’intérêt démographique : il y a trop d’êtres qui font trembler la planète et qui la vident de toutes ses ressources nourricières comme l’eau ou l’air…
Qui dit mieux que ce virus qui entraine de plus en plus d’hommes et de femmes à quitter les lieux, à commencer par les plus vieux et en finissant par les plus nécessiteux.
Tertio :
L’intérêt économique :
Manifestement, les pays sont à l’arrêt et ne produisent plus de nouvelles denrées, mais en attendant, ils se débarrassent de tous leurs parasites : les très faibles, les très pauvres, les très malades et les très vieux, de tous les retraités qui pèsent et lèsent leur Majesté.
Coronavirus c’est un terminus pour ceux qui ont un besoin vital de transports en commun… au sens propre comme au sens figuré.
Quarto :
L’intérêt politique :
La gouvernance mondiale est en vacances. Plus de pression mais seulement une légitime répression pour que le monde soit bien tenu en laisse sans réunion, ni communion.
Les gouvernants ont désormais le temps de prendre leur temps pour asseoir leur pouvoir ou surseoir à leur devoir.
Plus de révolution en vue, tout le monde a désormais intérêt à prendre de nouvelles résolutions… Pour sortir de soi, de chez soi, de prison !
C’est un agent infectieux, un peu désastreux pour les hommes, qui vide les lieux. Sans raison apparente. Séance tenante. La science reconnaît avoir rarement connue une pente aussi glissante… au point de se sentir insuffisante, inopérante…
Pour ne pas mourir bête, on est tentés de mener l’enquête pour savoir quel bien peut-on tirer de ce mal qui retourne toutes les têtes !
Examinons les effets secondaires de ce fléau qui s’est abattu sur nous d’une manière primaire… et se demander, face au virus qui en profite le plus ?
Question avouons-le, un peu cynique mais qui a un sens et une portée politique.
Primo :
On peut commencer par attirer l’attention sur un intérêt d’apparence anecdotique alors qu’il est systémique, lié à l’écosystème qui pose à l’humanité ses plus gros problèmes…
Mais on peut dire que les ravages de ce virus profitent aux minéraux, aux végétaux, aux animaux… qui bénéficient comme d’un moment de répit. D’une trêve, de la réalisation d’un vieux rêve :
L’homme ne leur marche plus dessus, de moins en moins, à cause de son « internement »qu’on appelle : confinement pour lui faire avaler la pilule et pour qu’il ne quitte pas sa petite cellule.
Secundo :
L’intérêt démographique : il y a trop d’êtres qui font trembler la planète et qui la vident de toutes ses ressources nourricières comme l’eau ou l’air…
Qui dit mieux que ce virus qui entraine de plus en plus d’hommes et de femmes à quitter les lieux, à commencer par les plus vieux et en finissant par les plus nécessiteux.
Tertio :
L’intérêt économique :
Manifestement, les pays sont à l’arrêt et ne produisent plus de nouvelles denrées, mais en attendant, ils se débarrassent de tous leurs parasites : les très faibles, les très pauvres, les très malades et les très vieux, de tous les retraités qui pèsent et lèsent leur Majesté.
Coronavirus c’est un terminus pour ceux qui ont un besoin vital de transports en commun… au sens propre comme au sens figuré.
Quarto :
L’intérêt politique :
La gouvernance mondiale est en vacances. Plus de pression mais seulement une légitime répression pour que le monde soit bien tenu en laisse sans réunion, ni communion.
Les gouvernants ont désormais le temps de prendre leur temps pour asseoir leur pouvoir ou surseoir à leur devoir.
Plus de révolution en vue, tout le monde a désormais intérêt à prendre de nouvelles résolutions… Pour sortir de soi, de chez soi, de prison !
Quinto : Et enfin l’intérêt paradigmatique qui nous incite tous et sans exception à changer de modèle de paradigme, de système de fonctionnement, puisque l’on sait désormais qu’on peut vivre et mourir autrement… Sans usure, ni démesure.
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