On l’aurait parié et gagné, notre Paris sera incessamment sous peu dans le caca de la tête aux pieds. Les agriculteurs en fureur vont tapisser les murs avec leur lisier et recouvrir le sol avec leur fumier.
En direct, colère des agriculteurs : le président de la FNSEA annonce la poursuite de la mobilisation.
Il s’appelle Alain… de loin on dirait Finkielkraut. Essayiste et sophiste qui a toujours manqué de respect pour les femmes soumises ou conquises par l’Islam. Il vient de publier une sorte de récit : je vous restitue sa perle à la lettre : «
L’amour relève de l’emprise et cette emprise est une bénédiction. Aimer, c’est être dominé, subjugué, assujetti. Aimer c’est passer après ».
Si je vous dis que Karim Benzema est son amant, est-ce que vous pouvez deviner le nom de sa maitresse ? Non ce n’est pas Zahia… mauvaises langues que vous êtes, mais عدالة. Non pas le vice mais la Justice… Je vous retrace son parcours en soulignant deux ou trois feux d’artifice…
l paraît que le jour du jugement dernier, nous serons tous désemparés car le frère ne pourra pas voler au secours de son frère, ni le fils au secours de son père…
J’entends le loup et le renard chanter…mais pas la belette. La France n’est plus du tout dans son assiette avec la déclinaison des noms de ses nouveaux dirigeants, elle a même très mal à la tête.
ATTAL : L’HOMME FATAL
Le président qui s’était déjà autoproclamé homme providentiel vient de nommer l’ange Gabriel Attal : homme fatal… pour gouverner le pays le plus ingouvernable… qui n’a d’autre constante que des variables… Eh oui…On est toujours en quête de l’homme total, par delà le bien et le mal. Et là, mister president, c’est un choix radical, une idée plutôt qu’un idéal pour rendre la gouvernance un peu plus cruciale.
LE COMMIS SERT ATTAL
Je suis entrée au commissariat sans crier garde… du coup ils se sont tous mis debout… au garde à vous. Je me suis sentie perdue un peu, beaucoup… en garde à vue ! Je leur ai dit Salut. O hisse ! vive la police
Evènements douloureux Crimes répétés Malheurs prolongés Qui émaillent la vie Dans cette prison à ciel ouvert Dans cette enclave oubliée Dans cette cage laissée à son sort.
Gaza aux bras chaleureux Aux doigts généreux Gaza la ville millénaire Oublie les ultimes larmes de son cœur Les tréfonds de sa douleur Pense à la vie pas à la mort.
Gaza la vie résiste toujours Elle oublie la peur La violence, les années noires et la guerre Dépasse ses blessures, L’injustice poursuivie, les massacres perpétrés , Le silence complice, et juste le regard Devant l’impunité de l’agresseur, Gaza, la fierté des solidaires Qui portent avec elle le fardeau de l’espoir
Elle existe par la flamme de l’espoir, Sa patience extraordinaire, Et son courage exemplaire Sa résistance abat tous les murs Attend des jours meilleurs Sans cesse elle espère Avec ses oliviers qui poussent encore.
Ces oliviers à l’odeur de soleil et de lune Pointent à l’horizon parfumé Croissent partout à Gaza, Près des rivières Près de la mer Sous les plaines Au sommet de la colline Dans les profondeurs mêlées de son âge Aux reflets d’or et d’ombre.
Nos oliviers caressent sables et pierres Ils touchent âmes et cœurs Sont une mélodie pour le chant légendaire D’un oiseau migrateur Ils donnent toujours fruits, huile et victoire Malgré l’atrocité d’un occupant agresseur Vivant dans les ténèbres Qui arrache ces oliviers tous les jours, Même en pleine nuit sombre.
Oui, nos oliviers sont nos espérances, Notre amour irréductible Ils symbolisent paix, justice, et avenir Sont plantés avec la sueur De nos longues années de combat Soignés par notre histoire glorieuse, Arrosés avec nos sangs, Et récoltés en nos âmes.
Nos oliviers passionnés de justice Sont nos jours heureux Où se dessinent tous les rêves Ou se réalisent toutes les espérances, Où s’écrivent toutes les promesses. Nos racines sont aussi profondes que nos oliviers.
Entre l’humanisme de l’opprimé, Et la brutalité de l’oppresseur Les oliviers de la terre fertile de Palestine Résistent dignement Ils nous aident à dépasser désespoir Dans cette ville abandonnée Chargée d’histoire., De vie, et de beaux souvenirs.
Avec nos oliviers qui poussent toujours à Gaza Plantés et récoltés Génération après génération Nous attendons quelque chose de vrai D’authentiques jours meilleurs Pour notre avenir, Quelque chose de plus beau !
Gaza ouvre son cœur Avec une lutte, par un sourire Une dignité , un grand amour, Beaucoup d’espoir Elle persévère en des paroles pures Gaza tu poursuivras ton bonheur Avec tes oliviers qui poussent encore !
La loi Darmanin sur l’immigration, rejetée à l’Assemblée, revient par la petite porte, dans une version de droite dure. Dans « À l’air libre », débat avec les députés Benjamin Lucas (écologiste), Élisa Martin (LFI) et Cécile Rilhac (apparentée Renaissance). Et François Héran, professeur au Collège de France.
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